Louis-Napoléon Bonaparte "l'autorité pour la liberté". Un temps qui n'est plus hélas... Préface Gérard Brazon
Publié le 16 Avril 2013
C'était un temps où la France était forte, crainte et surtout respectée. un temps pas si lointain que la République s'est acharnée à faire oublier.
Aujourd'hui, dans cette petite France ligotée, mise au piquet, si vous dites que vous n'êtes pas Républicain, vous passez pour un imbécile ou pire pour un fasciste alors même que Mussolini n'était pas né.
Mais sait-on seulement que la République n'en finit pas avec son adolescence destructrice de la mère patrie. Tous les historiens vous le diront: la République n'est pas la meilleure des choses qui soit arriver à la France.
Elle est entrée par la petite porte (l'amendement Wallon) les Français étaient majoritairement Royalistes ou Bonapartistes. Les Républicains ultra minoritaires et n'ayant leurs forces que dans les villes. Depuis cette République entrée presque par effraction, s'est ingéniée à dissiper, à faire oublier ce que la France de Louis Napoléon était en 1870. Un grand pays, un peuple fier de lui et surtout le premier pays le plus industrialisé de l'Europe. Monsieur Philippe Seguin était l'un des grands politiques a admettre l'injustice faite à cet Empereur. (Lire Napoléon le Grand)
Il serait sans doute temps que la république s'en souvienne et qu'elle cesse son ostracisme envers un homme d'état qui a bien servi la France! D'autant plus lorsque l'on voit dans quelle état notre France se trouve! Quasiment en loques et la risée du monde. Ceux qui voyage savent que la France n'est plus que l'ombre d'elle-même.
Depuis, hormis Clémenceau et Charles de Gaulle, c'est le vide sidéral.
Depuis, la France est devenue une province envahie par l'immigration et la peur. Sans parler de la culpabilité permanente diffusée par cette gauche infâme.
Gérard Brazon