10/ La Kafala: une loi religieuse qui sévit en Europe! - Par Gérard Brazon
Parce qu'il faut bien connaître son adversaire: l'islam liberticide! Et surtout savoir que nos dirigeants ne sont pas des ignares, de simples incultes des lois de l'islam et de son système juridique. Croire cela c'est déjà leur donner des excuses et qui sait leur pardonner à l'avance leurs erreurs de jugements. C'est faire comme avant 1940 et oublier que les politiques de l'époque savaient tous que "Monsieur Hitler" était un homme dangereux pour la paix en Europe! Certes, ils ignoraient la "solution finale" mais ils pouvaient parfaitement la deviner dans les comportements des SA et de la SS par la suite! Ils avancent vers vous en bergers mais sous les habits ce sont des loups féroces disait Saint Mathieu. C'est une citation qui me revient toujours en mémoire sur ces sujets. Sans compter les innombrables témoignages des réfugiés juifs qui trouvent leurs corollaires aujourd'hui par les réfugiés chrétiens venus de toutes ces "terres d'islam" par ce que la bien-pensance appelle "l'épuration ethnique" sauf que les chrétiens sont là depuis bien plus longtemps que les musulmans sur ces terres! J'ai une pensée pour la Serbie et la honte européenne du Kosovo arraché à ce pays au nom de l'islam finalement.
Qu'est-ce que la Kafala? C'est un article un peu procédurier que je vous propose mais qui en dit long sur l'islamisation de nos pays et singulièrement de la France! Il s'agit de l'adoption d'enfants venus de ses "terres d'islam"! La kafala, loi religieuse, loi islamique venu tout droit de la charia fait partie de ces lois qui s'imposent dans notre législation en principe laïque et républicaine. Ces lois de nos dirigeants politiques, sont la preuve des abandons de souveraineté au profit d'une religion au nom d'intérêts diplomatiques.
Qu'est-ce que la Kafala? C'est l'adoption ou plutôt la non adoption du point de vue du droit français d'un enfant né musulman
La kafala est une procédure d'adoption spécifique au droit musulman, qui interdit l'adoption plénière, et s'oppose en général à la procédure d'adoption au nom de la famille, considérée comme pilier de la société. Un enfant, en particulier naturel (né hors mariage, etc.), peut donc être recueilli par une famille adoptive, mais n'aura jamais les mêmes droits d'héritage qu'un enfant légitime: il s'agit d'une tutelle sans filiation, l'adopté gardant son patronyme d'origine. Cette particularité de l'interdiction de l'adoption dans l'islam est liée à la vie du prophète Mohammed.
Ce qui est étonnant c'est que la Kafala est reconnue par la Convention relative aux droits de l'enfant de 1989 alors même que c'est une loi religieuse, une loi coranique issue de la charia!
Quoi d'autres
La Kafala peut être définie comme l’institution par laquelle une personne ou une famille s'engage, à l’instar d’un parent pour son enfant, à prendre en charge la protection, l'éducation et l'entretien d'un enfant abandonné. La famille qui accueille un enfant dans le cadre d'une Kafala exerce sur celui-ci l'autorité parentale sans pourtant toutefois créer un lien de filiation, ni un droit à la succession. Étant considérée comme une institution d’inspiration religieuse, elle trouve sa source première dans le Coran.
La Kafala est contraire à nos lois qui garantissent l'égalité de traitement entre les enfants d'un couple! A ce stade, on peut se poser la question de l'adoption d'un enfant musulman par un couple homosexuel dans le cadre de la nouvelle loi : "le mariage pour tous". Pour info, la Kafala est aujourd’hui réglementée, dans le droit marocain, par la loi n°15-01 du 13 juin 2002 relative à la prise en charge des enfants abandonnés.
Mais un peu d'histoire religieuse pour mieux comprendre ce qu'est cette loi inique du point de vue de notre droit républicain:
Pourquoi ce refus de l'adoption en droit musulman. C'est encore venu de l’inénarrable Mahomet et de son sens pratique pour satisfaire ses pulsions sexuels. Zaynab était la femme du fils adoptif de Mohammed. Celui-ci trouvant sa brue désirable à souhait, s'est retrouvé en porte à faux par rapport à la législation de l'époque sur l'inceste et il a fallu donc une "révélation spéciale" -Sourate 33.37-38: Allah « n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants » pour abolir l'adoption dans l'islam.
Révélation divine bien sûr et s'appliquant à Mahomet à "l'insu de son plein gré"!
Révélation qu'Aïcha, sa dernière et très jeune épouse, celle qui fût violée à l'âge de neuf ans, a tout de même considéré comme particulièrement étonnante. Mais à cette époque, il valait mieux sans doute qu'elle se taise.
Mohammed renie Zayd son fils adoptif! Il le déshérite et ne peut plus porter le titre de "ibn Mohammed". La mesure est généralisée dans l'islam: l'adoption est interdite à tous les musulmans et remplacée par la Kafala islamique. Cette loi qui est entrée par la petite porte dans notre droit français.
Pour l’anecdote cela a des conséquences ridicules sur le plan des droits de l'homme et sur celui des femmes françaises nées musulmanes qui obéiraient aux lois islamiques sur notre territoire laïc et républicain !
Si les enfants adoptifs doivent être reniés et que les lois sur l'inceste ne s'appliquent plus que faire des enfants adoptifs devenus adultes qui sont encore au foyer? Mohammed recommande que les mères allaitent au sein les enfants adoptifs dans ce cas pour rétablir des règles leur interdisant les relations sexuelles: la mère tétée devient "mère de lait". L'allaitement étant un acte maternel qui empêcherait tout acte sexuel entre les deux.
La fatwa de la tétée entre collègues de sexe opposés est promulguée en se basant sur ces recommandations. Nous imaginons même pas les conséquences dans nos entreprises françaises! Une fatwa similaire donne le droit au mari de demander à sa femme de se laisser téter par ses amis durant le ramadan.
De fait, si un ami musulman vous demande de têter sa femme, n'allait pas croire que c'est parce qu'il vous aime bien ou qu'il envie de faire une partie à trois! C'est tout simplement parce qu'il obéit à cette fatwa et qu'au fond, il se méfie de vous. Quant à sa femme il peut la frapper... C'est aussi cela l'islam!
Débat en France: Les discussions furent âpres tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat, entre partisans du respect absolu de la loi du pays de naissance, par souci de diplomatie essentiellement et les défenseurs du droit des enfants à bénéficier d’une famille.
Le Parlement néanmoins, a voté le texte prohibitif proposé par les services du ministère de la justice, lequel figure désormais à l’article 370-3 alinéa 2 du code civil : « L’adoption d’un mineur étranger ne peut être prononcée si la loi personnelle prohibe cette institution, sauf si ce mineur est né et réside habituellement en France. » On ne peut être plus clair. Ce texte impose aux juges français d’appliquer la loi du pays de naissance des enfants recueillis en kafala et leur interdit d’appliquer la loi française, contrairement aux règles énoncées par la loi du 6 février 2001 en matière d’adoption internationale. Merci à Lionel Jospin! Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy à partir de 2002, n'ont rien modifié!
Dans un premier temps, les juges du fond se sont montrés réticents à appliquer cette règle nouvelle, qui fige les enfants dans un statut imposé uniquement par leur lieu de naissance, jusqu’à ce que par deux arrêts du 10 octobre 2006, la Cour de cassation leur rappelle fort logiquement qu'en droit français, l’article 370-3 alinéa 2 du code civil interdit de prononcer l’adoption, même simple, d’un enfant né en Algérie ou au Maroc et recueilli dans son pays de naissance en kafala.
- Loi n° 2001-111 du 6 février 2001 relative à l’adoption internationale.
- Civ. 1ère 10 octobre 2006, Bull. Civ. I n° 431, cassant, sur pourvois dans l’intérêt de la loi du Procureur Général de la Cour de cassation, deux arrêts de cours d’appel (Reims 2 décembre 2004 – enfant né au Maroc le 6 février 2003 et Toulouse 15 février 2005 – enfant né en Algérie le 28 juin 2002).
Ce qui nous éclaire sur les comportements de la droite et de la gauche vis à vis de l'islam durant ces 40 dernières années et singulièrement vis à vis du Maroc, de l'Algérie, de la Tunisie, du Qatar, etc.
Il aurait pourtant suffit de pondre une loi réaffirmant la souveraineté de la France et l'égalité des droits entres les enfants! Le débat était clos et la justice passait tout simplement. Ce ne fût pas le cas. Les conséquences sont parfois ubuesques!
Quand des parents tentent par ailleurs de transformer une kafala en adoption, la justice les déboute. Car « l’adoption d’un mineur étranger ne peut être prononcée si sa loi personnelle prohibe cette institution". L'enfant appartient donc à la loi de son pays d'origine même s'il n'y a pas mis les pieds depuis de longues années! Il reste d'origine et surtout il reste musulman! Beau pays que le notre tout de même!
On voit bien la dhimmitude des politiques français sur ce sujet! Ce sont aussi des dirigeants politiques européens qui par leur bassesse infinie, autorisent les délires d'un prophète à interférer et influer sur des pays chrétiens pour la plupart et juridiquement laïc pour le notre.
On voit bien en tirant sur un fil législatif, comme celui de l'adoption, à quel niveau de dhimmitude nos pays sont tombés! Il est temps que les français prennent conscience que l'islam n'est pas une simple croyance en un dieu et en des préceptes religieux mais surtout un système politique et juridique qui ne laisse aucune autre place.
La charia (système juridique) n'accepte aucun partage. Est-ce que nos sociétés à la culture avancée voudront retourner à l'obscurantisme et particulièrement à celui du monde des bédouins du 7 iéme siècle. A boire de la pisse de chameaux pour soigner les maux de têtes. C'est tout le débat et le combat que les résistants à l'islamisation mènent.
Gérard Brazon (Puteaux-Libre)
Lire aussi : La Kafala et l'Espagne qui viole ses propres lois.
Ainsi que: Islamisation de la jurisprudence espagnol