01-L’hypocrisie musulmane face à l’humanisme des mécréants - Hommage à Sanaa Badri par Malek Sibali
Encore une de ces femmes de courage issues du monde musulman, insensibles aux discours des tarés de l'islam, ces fous de dieu !
Ces femmes de courage qui disent la réalité d'une civilisation basée sur l'hypocrisie, le mensonge, la volonté de réduction de la femme, la violence de ses juges, la mauvaise foi, la capacité d'engendrer des horreurs, appels aux meurtres des juifs et des chrétiens, etc.
Sanaa Badri, comme Wafa Sultan, Brigitte Gabriel, Hayan Isis Ali, etc. Toutes ces femmes qui soulignent d'autant plus, le silence des "feministes" françaises devenues trop âgées, trop isolées, ou simplement indifférentes à leurs combats d'hier. Où sont les femmes françaises, les résistantes ?
Gérard Brazon
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Pour Riposte-Laïque
Le phénomène de la migration de ressortissants syriens et irakiens vers l’Europe ne cesse de susciter maintes interrogations au sein de l’intelligentsia musulmane libérale. De nombreuses voix se lèvent et dénoncent l’attitude des pays musulmans qui ferment leurs frontières et ne souhaitent pas accueillir leurs coreligionnaires migrants qui fuient les guerres dans leurs pays. Ils les poussent plutôt vers l’Europe et se félicitent de leur migration vers des pays mécréants.
Sanaa Badri, essayiste musulmane ou issue de l’islam, qualifie cette attitude de scandaleuse. Elle analyse ce phénomène sur son blog ahewar.org/m.asp?i=6749,en date du 9 septembre 2015. Elle note comment l’humanisme dans les pays occidentaux démasque toutes les prétentions hypocrites de l’islam ainsi que tous ses slogans fallacieux concernant la solidarité islamique, la fraternité inter musulmane, la prétendue hospitalité séculaire arabe, les millions de dollars collectés chaque année au titre de zakat pour secourir les nécessiteux, les pauvres et les malheureux.
(Extrait)
Toutes les feuilles de figuiers et de muriers qui cachent la honte des prédications islamiques à propos des solutions religieuses qualifiées d’inébranlables et des bonnes mœurs prétendues intouchables, viennent de tomber. La conscience des musulmans est morte. Leurs cœurs se figent. Leur sens humain s’est éteint. Tous les slogans religieux de l’islam se sont avérés utopiques, obsolètes, paroles creuses depuis l’avènement de cette croyance. Il ne manque plus que d’annoncer l’enterrement définitif de l’islam. Il ne mérite aucun regret. Il n’a cessé, tout au long de son histoire, que d’engourdir les esprits, les escamoter, les empêcher de fonctionner et de raisonner logiquement.
« L’islam est la solution », hurlent les islamistes.
Ah ! De qui se moquent-ils ? De quel islam parlent-ils ?
Est-ce de l’islam sunnite, chiite, hanbalite, saoudite, iranien, afghan, tchéchène, turc, égyptien, celui d’al-qaïda ou de Daech ?
Est-ce de l’islam dit modéré, médian, fondamentaliste, salafiste, soufi ?
Est-ce de l’islam jihadiste, califal, ou de celui de la gouvernance du juriste théologien (Velayat-e-faqih) ?
De grâce, dites-nous de quel islam il s’agit. Qui représente le vrai islam ? Quelles sont les solutions économiques, politiques, scientifiques, technologiques que préconisent les différents islams ?
Même l’aspect humaniste élémentaire n’est effleuré par l’islam que par des slogans creux.
L’instinct humain a-t-il besoin d’une religion ?
Le sens humain est inné. Même les mécréants, les athées ou les laïcs sont de loin plus humains que les musulmans. Il nous suffit d’observer les assassinats, les tueries, les destructions, la criminalité, les violations, et tout ce qui est perpétré au nom de l’islam, pour pouvoir dénier tout aspect humaniste à cette croyance barbare.
Caïn le sunnite tue son frère Abel le chiite à cause du nombre des prosternations (Rakaat) dans la prière. Nous ne savons plus qui est Caïn ni qui est Abel, puisque tous les musulmans prétendent une fratrie commune. Quelle hypocrisie !
« Les musulmans constituent la meilleure nation créée pour l’humanité », nous rappelle le Coran de l’islam.
De quelle « meilleure nation » parle-t-il ? Est-ce de l’islam qui combat l’islam, ou de celui qui excommunie, exclut, ignore l’autre qui est différent de lui ?
Est-ce que « la meilleure nation » abandonne ses fidèles au risque de la mort, de la répression, de la servilité, de l’abjection ? Quelle honte !
« Soutiens ton frère, fût-il opprimé ou oppresseur ! », ordonne encore le prophète de l’islam et tous les prédicateurs corrompus.
Quel soutien offrent les « frères musulmans » du Golfe, les richissimes Saoudiens, Qataris, Emiratis, Koweïtiens, à leurs « frères musulmans », Syriens, Irakiens, Yéménites, Libyens, Libanais, etc. ? Ils refusent d’accueillir leurs frères qui fuient les horreurs de la guerre et du terrorisme, alors qu’ils ont eux-mêmes allumé cette guerre, et continuent à l’entretenir par l’argent, les armes, les mercenaires !
« Les pays arabo-musulmans sont notre patrie », clament fièrement les gens du Golfe.
Et pourtant, ils interdisent aux Syriens, aux Irakiens, aux Palestiniens …, d’entrer chez eux sans visa, sans garant, sans tutelle, sans soutien, et surtout sans baiser d’abord le derrière de chacun d’entre eux…
« Pas de différence entre un Arabe et un autre que par la piété, » nous rabâche encore le Coran.
Or, l’Arabe du Golfe semble monopoliser, à lui seul, la piété et la richesse. C’est lui qui va à la recherche des filles de joie en Occident, ainsi que du mariage de jouissance, du voyageur (al-misyar) et du tourisme (al-misfar), dans les pays arabo-musulmans qu’il considère ]de jure[ comme sa patrie.
« Une nation arabe unique ayant une mission éternelle ».
C’est le slogan qu’on nous a toujours chanté et fait répéter depuis notre enfance. Il est totalement obsolète comme tous les autres slogans.
« Pas de contrainte en religion », nous annonce aussi le Coran.
Cependant, si tu veux sauver ta peau, convertis-toi à l’islam. Mais pas à n’importe lequel. C’est plutôt à un islam wahhabite, intégriste, salafiste, fondamentaliste, qui incite à couper les têtes, à mutiler les corps, à capturer les femmes et à les violer.
« La femme est déficiente au niveau de l’intellect, de la religion, de la gratitude. Elle est une ]oura[, c’est-à-dire une tare ou une souillure. La femme est inférieure… » C’est l’enseignement de Mahomet dans son coran comme dans sa sunna.
Toutes ces prétentions coraniques et de la sunna s’estompent devant la chancelière allemande, les présidentes du Brésil, du Chili et de l’Argentine, les premières ministres du Danemark, de la Suède, de la Finlande, de l’Australie, de l’Islande, et des millions de femmes dans le monde qui ont prouvé leur égalité avec les hommes, mais aussi leur capacité mentale et leur créativité tant au niveau politique, économique, social et surtout humaniste.
« Moi et mon frère contre mon cousin, moi et mon cousin contre l’étranger. » C’est le principe de base qui régit les relations entre musulmans.
Chers coreligionnaires, vos frères vous ont abandonnés à un destin tragique en haute mer. Oubliez vos prétendus frères, cousins ou coreligionnaires qui ne reconnaissent pas les valeurs dont vous avez besoin, notamment l’humanisme, la conscience, la pitié, la solidarité ! Vos coreligionnaires qui prétendent garder la foi de l’islam et ses lieux saints, ne viendront jamais à votre secours, car ils sont imprégnés de perfidie, de turpitude, d’imposture, d’égarement, d’abjuration, de fourberie, de haine, de mensonge, d’orgueil, etc.
« Le vrai ami est celui qui vient à ton secours en cas d’épreuve. »
Tandis que les Arabes et les musulmans abandonnent dans le goulet leurs frères ou leurs amis éprouvés, ce sont les chrétiens, dits mécréants, qui les accueillent, les nourrissent, les habillent, les soignent, leur font de place.
« Les êtres humains sont égaux comme les dents d’un peigne. »
On répète régulièrement ce principe fondamental universel dans le monde arabo-musulman, mais sans jamais en respecter la moindre notion. Les gens y sont toujours identifiés, répertoriés entre bons, mauvais, orgueilleux, riches, pauvres, etc.
« Il est possible d’avoir un frère que ta mère n’a pas enfanté. »
Ce postulat s’avère aujourd’hui bien crédible. Voici, en effet, l’Européen que nous qualifions de mécréant, de laïc, d’athée, se comporter beaucoup mieux, et de loin, que tous nos « frères musulmans » qui ont la marque de la piété, plutôt de l’hypocrisie, sur leur front (al-zabiba) ou qui se paradent, vaniteusement, dans les rues avec leurs chemises musulmanes (la dachdacha).
Ayons le courage d’avouer et de nommer les choses par leur nom. A la fonte de la neige, la prairie émerge. Dans les épreuves et les tourments, l’ami se distingue de l’ennemi.
Autrefois, nos ancêtres disaient par ignorance ou par jalousie : « Rien de bon ne peut venir de l’Occident. »
Mais aujourd’hui, l’Occident prouve qu’il est de loin plus noble, plus humain et mieux que nous tous, par son humanisme, sa solidarité, ses mœurs, sa science, ses inventions, sa pensée, sa créativité. Honte à nous tous ! »
Enfin, Sanaa Badri s’adresse avec indignation aux migrants et aux réfugiés :
« Vous devez avoir honte de vous-mêmes. Au lieu de remercier les États qui vous accueillent et vous sauvent de la mort, de la faim, de la disparition, du vagabondage, vous refusez la nourriture qu’ils vous offrent sous prétexte qu’elle n’est pas hallal, ou parce qu’elle est distribuée dans des caisses portant le sigle de la Croix Rouge suisse, lequel n’a aucun lien avec la religion.
« Sachez que celui qui ne respecte pas, n’apprécie pas ceux qui, pour des raisons humanitaires, l’accueillent, ne doit pas s’étonner s’ils éprouvent de l’antipathie à son égard, le vomissent ou le rejettent. Je conseille à ces ingrats de retourner chez eux, de vivre dans la misère de la guerre, ou de chercher refuge dans les riches pays musulmans pour voir comment leurs coreligionnaires, très charitables en paroles, vont leur claquer la porte au nez ! »
Merci, Mme Badri ! Votre tâche est immense. Continuez à bousculer les consciences endormies et les esprits engourdis des musulmans. Si les intellectuels musulmans se réveillent enfin comme vous, le crépuscule de l’islam et de sa barbarie adviendra rapidement.
Malek Sibali