Leçon d’histoire à une beurette qui se sent davantage Algérienne que Française

Publié le 22 Décembre 2012

Gérard 53 ans Voici un article qui se veut instructif pour une beurette de type Amel Bent qui monte sur scène avec un drapeau algérien sans rien connaître de ce pays qui est si loin de ses espérances et de sa vie.

Un article pour des milliers de beurs vivant dans les cités de France, faisant leur vie en France et qui ont cette chance formidable d'être nés du bon côté de la mer Méditerranée.
De l'autre côté, ceux qui sont nés "en terre ancestrale" pleurent pour venir les rejoindre en France et l'obtention de leur sésame, le visa. Qu'est-ce qui réunit ces deux jeunes issus de deux mondes? La haine de la France!
L'un a été nourri par la France qu'il a fini par détester, l'autre lui reproche de lui refuser l'entrée sur son territoire d'ancien colonisateur. Cherchez l'erreur? Il n' y en a pas!
C'est le résultat de cette éducation nationale (en minuscule), le résultat de parents incultes, de parents "libérés" en Algérie, en Tunisie, au Maroc et venus chez l'ancien colon pour travailler et manger. Ils ont préféré fuir après avoir participé la plupart d'entre eux à la "résistance"! La fuite? Quelle gloire n'est-ce pas?
C'est le résultat d'années d'apprentissage de la culpabilité à notre jeunesse et des français en général par voie de presse interposée, majoritairement de gauche .
Entre le sabotage intellectuel des jeunes dans les classes par des profs gauchistes, par des socialo-communistes qui avaient beaucoup à faire pour s'excuser et le manque de courage de cette droite infâme pour ne pas dire infâmante, nous nous retrouvons avec des "français de papiers" qui brûlent notre Drapeau tout en vivant sur notre dos au nom des 132 ans 'd'occupation' ! (qui a donné naissance à un pays, l'Algérie, inexistant auparavant). Ils ignorent tout de l'histoire de leur très récent 'pays de coeur'. Son passé esclavagiste particulièrement, et l'occupation des arabo-musulmans qui a détruit leurs racines berbères.
Gérard Brazon  
 par Eve Sauvagère de Riposte-Laïque

Mardi soir, au journal de 20 heures sur la 2, M.  Pujadas nous présentait un reportage tourné dans une famille française d’origine algérienne.

Trois générations : le père, ouvrier du bâtiment dans les années 50, le fils, né en France, auto-entrepreneur.  Et pour finir, la fille de 17 ans qui nous expliquait qu’elle ne se sentait pas française mais algérienne.

Et son père de se défendre de lui avoir bourré le mou.  C’est que sa fille aurait posé des questions sur ce couple maudit France-Algérie, et les réponses lui auraient fait comprendre à quel point cette France est haïssable, elle qui a colonisé la terre de ses ancêtres en 1830, elle qui a commis des actes abominables durant la Guerre d’Algérie, elle qui maltraite ses enfants issus de l’immigration maghrébine…  On arrêtera là.

J’ai envie de dire à cette belle jeune fille que son pays, l’Algérie, a une histoire coloniale bien antérieure à son invasion par la France.

J’ai envie de lui rappeler que l’Algérie, pour faire bref, a été colonisée par les Romains puis au 16ème siècle par les Ottomans, qui en ont été chassés à leur tour par les Français.

J’ai envie de lui dire que si elle avait vécu sous le joug du Sultan d’Istambul, elle aurait, au mieux, passé sa vie sous une tente à servir les hommes de sa tribu.   Au pire, belle comme elle est, elle aurait été capturée pour rejoindre ses compagnes d’infortune dans le harem du Dey d’Alger.  Un sort peu enviable s’il en est.

J’ai envie de lui dire qu’elle aurait trouvé dans ce harem des centaines de jeunes femmes étrangères, capturées par les Barbaresques qui écumaient la mer Méditerranée pour piller les bateaux, envoyer l’équipage et les passagers mâles en esclavage, balancer par-dessus bord les vieillards, les femmes trop vieilles ou trop laides, violer les autres et garder les plus belles  pour les enfermer à vie dans les lupanars légalisés des dignitaires de l’Empire ottoman.

J’ai envie de lui rappeler que les Français se sont emparés d’Alger pour mettre fin aux exactions de tous ces pillards que l’Histoire appelle à juste titre «Barbaresques ».

J’ai envie de lui dire que, si elle est ici aujourd’hui, dans cette France qu’elle n’aime pas mais  où elle peut se promener librement, étudier, s’exprimer en toute liberté devant les caméras d’une chaîne de télévision, c’est à cette histoire franco-algérienne horrible qu’elle le doit, et à nous autres, les méchants Français.

J’ai envie de lui rappeler que la Kabylie, le pays de ses ancêtres,  a été islamisé de force, et dans le sang. Et qui l’a fait ? Pas les méchants Français.  Ses compatriotes d’outre-méditérranée, les Arabes algériens.

J’ai envie de lui dire que l’Histoire n’est ni toute blanche ni toute noire mais qu’elle est écrite une fois pour toutes et que le devoir des générations nouvelles est d’avancer.  Avancer, ne pas regarder en arrière.  Ne pas perdre son temps. Il y a tant à faire !

J’ai envie de lui demander pourquoi elle ne choisit pas d’aller vivre au bled, ce bled qu’elle a découvert récemment durant ses vacances scolaires.

Après tout, si elle est si malheureuse ici, si elle ne se sent pas Française, elle a probablement la double nationalité, comme tous les Maghrébins de France ?

J’ai envie de dire à cette jeune fille que ses racines sont en Kabylie mais que c’est en France qu’il peut lui pousser des ailes.

Eve Sauvagère

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Point de vue

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D
<br /> Qu'elle prenne vite ses ailes pour aller retrouver ses racines. Qu'elle aille vivre vite en algérie, un pays plein de ressources et d'avenir. Mais bon sang pourquoi ne le font ils pas tous ces<br /> pleureurs algériens qui nous ressortent à tout moment des pleurs et lamentations sur ce pays construit par LES FRANCAIS ?<br />
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L
<br /> Et moi, j'ai envie de dire :" faire un cours d'Histoire à certains, c'est donner du lard aux cochons ". Et si cette demoiselle ne se sent pas bien en France, qu'elle retourne vite fait dans<br /> son pays d'origine.<br />
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M
<br /> Et moi je nai RIEN envie de lui dire car comme Michel Audiard<br />  "je ne parle pas aux cons, ça les instruits" <br /> <br /> <br />  <br />
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P
<br /> <br /> Et moi j'ai envie de lui dire, que puisque elle ne se sent pas française, mais algérienne ; surtout qu'elle mette ses actes en accord avec ses désirs et se dépêche de prendre le premier<br /> bateau en partance pour son pays. Nous, les vrais français, serions très nombreux à accepter de nous cotiser pour assumer les frais de voyage sans retour. Si par chance quelques millions<br /> d’autres personnes se trouvent dans le même état d’esprit, surtout qu’ils n’hésitent et profitent du voyage en aller simple<br />
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