Rubrique finance: Et la décence...
Publié le 4 Octobre 2008
Un peu de moralité dans ce monde de la finance! Ce n'est pas pour me déplaire mais c'est surtout une nécessité, une impérieuse obligation par rapport aux effets désastreux sur l'opinion publique.
Chacun peut penser ce qu'il veut de Nicolas Sarkozy mais je continue de penser qu'il est couillu le bougre.
Je n’imagine pas Jacques Chirac ni les faux-culs du PS agir de cette façon! Bon certes, il y aura toujours des pisse-froids qui verront un loup! Mais les faits sont là, c'est un coup de pied dans le monde feutré, capitonné, doucereux mais redoutablement violent des notables de la finance.
Bref, le patron de Dexia, Axel Miller, a renoncé à une indemnité de départ de 3,7 millions d'euros, sous la pression du gouvernement français qui a menacé de ne pas débloquer l'argent nécessaire au sauvetage de la banque franco-belge, face au tollé suscité par ce "parachute doré». UN porte-parole de Bercy a fait savoir, vendredi, que M. Miller, qui a présenté sa démission mardi après l'annonce d'un plan de sauvetage de 6,4 milliards d'euros de l'établissement, avait "accepté de renoncer aux indemnités de départ auxquelles il avait droit contractuellement".
C'est un minimum!
Gérard Brazon
Chacun peut penser ce qu'il veut de Nicolas Sarkozy mais je continue de penser qu'il est couillu le bougre.
Je n’imagine pas Jacques Chirac ni les faux-culs du PS agir de cette façon! Bon certes, il y aura toujours des pisse-froids qui verront un loup! Mais les faits sont là, c'est un coup de pied dans le monde feutré, capitonné, doucereux mais redoutablement violent des notables de la finance.
Bref, le patron de Dexia, Axel Miller, a renoncé à une indemnité de départ de 3,7 millions d'euros, sous la pression du gouvernement français qui a menacé de ne pas débloquer l'argent nécessaire au sauvetage de la banque franco-belge, face au tollé suscité par ce "parachute doré». UN porte-parole de Bercy a fait savoir, vendredi, que M. Miller, qui a présenté sa démission mardi après l'annonce d'un plan de sauvetage de 6,4 milliards d'euros de l'établissement, avait "accepté de renoncer aux indemnités de départ auxquelles il avait droit contractuellement".
C'est un minimum!
Gérard Brazon