Scandale diplomatique : profitant de sa généreuse invitation, les palestiniens poignardent le pape dans le dos.
Publié le 16 Juin 2014
Incorrigibles ces islamistes. Plus fort qu'eux. Tu les invites au vatican, tu parles de paix, de tolérance, d'union et au dernier moment, ils te poignardent. La taqqya, toujours cette taqquya qui vous donne le sourire et lache le venin. Comment un Pape, un Rabbin peuvent-ils être aussi naïfs face à cette engeance. Le Coran est un livre de guerre. C'est écrit dans ce livre que la cette guerre sera jusqu'à la mort du dernier non-musulman.
Sourate 2 - Verset 191. Tuez-les partout où vous les trouvez et chassez-les d'où ils vous ont chassés, car la subversion est pire que le meurtre. Ne les combattez pas, cependant, auprès de la Mosquée sacrée, à moins qu'ils ne vous y attaquent les premiers. Dans ce cas, n'hésitez pas à les tuer. Ce sera la juste récompense des infidèles.
J’ai contacté l’historien politique et auteur Germano-égyptien Hamed Abdel-Samad qui a le premier entendu et signalé le verset récité.
Hamed Abdel-Samad, pouvez-vous m’expliquer ce que l’imam a dit dans sa prière lors de la rencontre au Vatican entre les présidents Peres et Abbas, et le pape ?
Hamed Abdel-Samad : « l’imam priait Allah. A la fin de sa prière, il a dit : vous êtes notre supporter, aidez nous à obtenir la victoire sur la nation des incroyants. C’est la fin du verset de la Sura 2 (la vache) dans le coran ».
Où étiez-vous exactement à ce moment là ?
« Je regardais la cérémonie du Vatican à la télé allemande. Voici la vidéo. A la minute 50:47, l’imam chante pour la victoire contre les « incroyants » [en Allah] :
Est-ce que quelqu’un s’est plaint ou a fait mention de l’affront à part vous ?
« Je suis le premier qui s’est plaint. Radio Vatican, dans un premier temps, a nié ce que j’ai dit, mais plus tard, après que des experts ont confirmé ce qu’a dit l’imam, Radio Vatican a confirmé ce que l’imam a déclaré, mais a ajouté qu’il ne fallait pas exagérer le sens du verset du coran. »
(La dimmitude du Pape est patente...)
L’incident tel que je le vois est intéressant à plus d’un titre.
Le Pape François avait invité les deux leaders politiques à une prière d’« invocation pour la paix », dans les jardins du Vatican, le 8 juin 2014, et l’imam palestinien a été d’une honnêteté irréprochable : déférent de la sainteté des lieux, il n’a pas senti le besoin de cacher que les Palestiniens ne veulent pas faire la paix avec les Juifs, et il l’a exprimé en ajoutant une prière qui n’avait pas été prévue dans le protocole car elle aurait été refusée.
Ainsi, en usant de ce stratagème habituel où les palestiniens disent vouloir la paix lorsqu’ils parlent anglais, et la guerre lorsqu’ils s’expriment en arabe, l’imam n’a pas produit le texte en anglais dont il savait qu’il serait refusé, et il a exprimé au monde qui parle arabe qu’il n’était pas question de paix avec Israël, mais de demander à Allah qu’il donne la victoire aux palestiniens.
Les arabes palestiniens ont profité de la tribune internationale que leur offrait le pape pour faire avancer la paix, et ils l’ont trompé, trahi, et lui ont planté, en arabe, un couteau dans le dos.
Oserai-je ajouter qu’il serait bien surprenant que les médias, habitués à maquiller en agneaux les terroristes arabes de Palestine, en parlent ?
Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.