Interview d'un ancien musulman ayant apostasié.

Publié le 4 Février 2012

01/02/2012 - Poste de Veille

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Le Nazislamisme

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S
<br /> Sur ce témoignage il me semble bidon, trop caricatural pour qui connait un peu le maghreb. C'est cousu de fil blanc.<br /> <br /> <br /> Mais voici un témoignage authentique, d'un juif qui a décidé de sortir de la prison mentale du judaisme... Epoustouflant de vérité :<br /> <br /> <br /> http://video.google.com/videoplay?docid=2124208486113592347<br />
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S
<br /> Tidiane Ndiaye est un partisan de la colonisation de l'Afrique par l'Occident donc pas très recommandable.<br /> <br /> <br /> Des études moins partiales et plus rigoureuses ont reconnu qu'il était impossible de donner un chiffre sur les traites orientales. Certains évoquent 8 millions de victimes. D'autres 10 ou 12<br /> millions. Pour la traite occidentale, le chiffre est de 15 millions d'esclaves Noirs, et est plus fiable ; n'oublions pas non plus les dizaines de millions d'Amérindiens...Ce qui fait environ 30<br /> millions de victimes. Ajoutons à cela que la moitié des Noirs étaient jetés par dessus bord. La traite atlantique, qualifiée odieusement par Tidiane de simple "ponction", a été une saignée la<br /> plus féroce de l'Afrique.<br /> <br /> <br /> Ajoutons qu'ensuite, après les prétendues abolitions, il y eut les colonisations, qui ne sont autres que la perpétuation de l'esclavage sur place...<br /> <br /> <br /> Précisons enfin que les castrations dont parlent Tidiane ont été réalisée par des chrétiens et des juifs, puisqu'il l'islam l'interdit. Des marchands juifs d'esclaves, de loin les plus nombreux,<br /> ont été les fer de lance de la traite orientale mais aussi de la traite blanche chrétienne. Tidiane le reconnait lui-même.<br />
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M
<br /> Bravo monsieur pour votre courage.Codielement.<br />
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M
<br /> Canada : le génocide arabo-musulman des Noirs (mois de l'histoire des Noirs)<br /> <br /> Au Canada, février est le Mois de l'histoire des Noirs. C'est une bonne occasion de parler de l'histoire dont on ne parle pas, celle de la traite négrière arabo-musulmane. Cette traite a été la<br /> plus meurtrière, un véritable génocide : 17 millions de morts, déportés, castrés par les musulmans. Tidiane N'Diaye, un musulman sénégalais, anthropologue et économiste, est l'auteur du livre Le<br /> génocide voilé, une enquête historique. Sous la vidéo, une présentation de son ouvrage par le suisse Alain Jean-Mairet.<br /> <br /> _________________________<br /> <br /> Ce livre de Tidiane N’Diaye est l’une des choses les plus fortes et les plus douloureuses qui soient à lire:<br /> <br />     Sous l’avancée arabe, (…) des millions d’Africains furent razziés, massacrés ou capturés, castrés et déportés vers le monde arabo-musulman. Cela dans des conditions inhumaines,<br /> par caravanes à travers le Sahara ou par mer, à partir des comptoirs à chair humaine de l’Afrique orientale.<br /> <br />     Telle était en réalité la première entreprise de la majorité des Arabes qui islamisaient les peuples africains, en se faisant passer pour des piliers de la foi et les modèles<br /> des croyants. Ils allaient souvent de contrées en contrées, le Coran d’une main, le couteau à eunuque de l’autre, menant hypocritement une «vie de prière», ne prononçant pas une parole sans<br /> invoquer Allah et les hadiths de son Prophète.<br /> <br /> Et l’auteur nous livre (presque) tous les détails. Les tactiques employées inspirées du djihad (attaques surprises en pleine nuit, suivies du massacre des vieux) puis enseignées aux partisans, le<br /> cynisme, la zizanie, les justifications racistes bestiales, les motivations mercantiles, la légalisation et la sanctification de la traite, l’effondrement des civilisations africaines, le<br /> dépeuplement systématique de régions entières, grandes comme des pays européens, et les cortèges d’esclaves, le long de routes marquées de part et d’autre par les squelettes blanchis et les<br /> dépouilles plus récentes, mutilées, de leurs prédécesseurs tombés en chemin, les castrations systématiques, souvent totales (75% de mortalité, mais une valeur multipliée sur le marché), les<br /> avortements et assassinats réguliers des enfants des esclaves sexuelles, l’épouvantable «normalisation» de ces processus, des siècles durant:<br /> <br />     Stanley constata que dans certaines régions d’Afrique, après leur passage [des négriers arabo-musulmans], il ne subsistait guère plus de 1% de la population. Dans le<br /> Tanganyika, les images des horreurs de la traite étaient visibles partout. Nachtigal, qui ne connaissait pas encore la région, voulut s’avancer jusqu’au bord du lac. Mais, à la vue des nombreux<br /> cadavres semés le long du sentier, à moitié dévorés par les hyènes ou les oiseaux de proie, il recula d’épouvante.<br /> <br />     Il demanda à un Arabe pourquoi les cadavres étaient si nombreux aux environs d’Oujiji et pourquoi on les laissait aussi près de la ville, au risque d’une infection générale.<br /> L’Arabe lui répondit sur un ton tout naturel, comme s’il se fût agi de la chose la plus simple du monde: «Autrefois, nous étions habitués à jeter en cet endroit les cadavres de nos esclaves morts<br /> et chaque nuit les hyènes venaient les emporter: mais, cette année, le nombre des morts a été si considérable que ces animaux ne suffisent plus à les dévorer. Ils se sont dégoûtés de la chair<br /> humaine.»<br /> <br /> Et les chiffres, les comparaisons, les estimations. Les dates, les décisions. Quelques dessins et photographies. La reconnaissance de la lutte contre l’esclavage par divers mouvements civiques,<br /> religieux et politiques de l’Occident, mais aussi les tergiversations des acteurs des grandes puissances après que tout cela ait été révélé et officiellement condamné. Les veuleries, les<br /> complicités. Mais surtout: la totale absence de repentir, de quelconque regret, des Musulmans ou des Arabes actuels:<br /> <br />     Il serait grand temps que la génocidaire traite négrière arabo-musulmane soit examinée et versée au débat, au même titre que la ponction transatlantique. Car, bien qu’il<br /> n’existe pas de degrés dans l’horreur ni de monopole de la cruauté, on peut soutenir, sans risque de se tromper, que le commerce négrier arabo-musulman et les jihâd (…) provoqués par ses<br /> impitoyables prédateurs pour se procurer des captifs furent pour l’Afrique noire bien plus dévastateurs que la traite transatlantique. Et ce, encore sous nos yeux aujourd’hui (janvier 2008), avec<br /> son lot de massacres, avec son génocide à ciel ouvert.<br /> <br /> L’auteur décrit les différents types d’esclavage. Celui des Africains entre eux (qu’il assimile à un servage), celui des Arabes, puis celui des Occidentaux. Il passe en revue les grands<br /> événements, les capitulations et les actes de résistance (contre Saladin, par exemple, qui finit par écraser les révoltés noirs), fait le portrait des acteurs marquants, de criminels abjects, et<br /> de héros, et héroïnes, de la tragédie. Il dessine les routes de l’esclavage, en explique les motivations, les impératifs, les sources et les utilisations; il cite les témoins.<br /> <br /> Son approche de l’Islam est très équilibrée. Il veut croire que le Coran permet des interprétations humanistes, digne d’une religion normale; il cite des hadiths utilisables dans ce sens,<br /> conteste la validité d’interprétations racistes des textes, mentionne des Musulmans qui ont combattu l’esclavage, et prend la peine, à plusieurs reprises, d’affirmer que les motivations<br /> religieuses des négriers servaient de paravent à des intentions purement criminelles. Mais il relève tout de même que<br /> <br />     L’esclavage étant validé et institutionnalisé par l’Islam, il eût été impie chez les Arabes de le remettre en cause. «L’esclavage en terre d’Islam reste un sujet à la fois<br /> obscur et hypersensible, dont la seule mention est souvent ressentie comme le signe d’intentions hostiles», notait ainsi l’historien Bernard Lewis.<br />     (…)<br />     Ces Arabes commettaient les pires crimes en Afrique, mais pensaient qu’ils n’en restaient pas moins fidèles aux principes de l’Islam, qui autorisent l’esclavage. Leurs actions<br /> étaient favorisées par les moeurs et encouragées par des traditions religieuses qui, à leurs yeux, étaient plus fortes que toutes les lois de la terre. Ils n’avaient donc à cacher leurs crimes<br /> qu’aux croiseurs européens, puisque leurs gouvernements les approuvaient entièrement.<br /> <br /> Et on ne peut pas manquer d’être troublé, même si l’ouvrage ne le signale pas, par le parallélisme entre le phénomène religieux islamique et ce que l’auteur nomme l’«extinction ethnique<br /> programmée» menée par des Musulmans en Afrique.<br /> <br /> Source :  La traite musulmane, au-delà de l'horreur, AJM, 7 juin 2008<br /> (SOURCE POSTE DE VEILLE CANADA)<br />
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