Société: L'équipe de France n'est que le résultat de la politique d'aujourd'hui.

Publié le 22 Juin 2010

           La grande affaire, la belle affaire. Déplorable comportement qui ne représente que la société française actuelle. Une équipe de France en dessous de tout. Par le jeu bien sûr mais surtout par la représentation qu’elle donne de notre société in fine. Car au fond, qui sont-ils ces joueurs, la plupart incultes ne sachant pas aligner une phrase même simple mais roulant dans des voitures de luxe et montrant un profond mépris non seulement de ceux qui les regardent, qui les admirent mais du Pays qu’ils sont sensés représenter. Ils sont la risée du monde du foot. Pas seulement, c’est la France qui est la risée du monde. L’Inde fait un gros titre en annonçant « la révolution française » dans un grand moqueur ! Ces jeunes issus des cités, propulsés pour se plier au multiculturalisme, n’a aucune conscience de ce qu’elle représente. Trop occupé par eux-mêmes, leur nombril, leur droit à l’image : argent facile, esprit fragile. Ils démontrent, s’il le fallait, le pauvre intellect qu’ils ont.

            Mais qui seraient-ils sans l’entourage ? Qui seraient-ils s’il n’y avait pas eu cette volonté de faire de l’équipe de France une vitrine. La vitrine du multiculturalisme, de la couleur, des noirs, des arabes issus de l’immigration et tout de même des blancs de souche. (Les souchiens d’Houria Boutetja). Le fameux Black, Blanc, Beur  dont on nous a rebattu les oreilles depuis des années ou l’histoire du pâté d’alouette nouvelle formule qui ne passe plus.

Pourquoi en faire un article ? Parce que je suis satisfait de voir cette équipe démontrait que nos « bien pensants » ont tort et d’une façon magistrale. Quelle belle leçon que cette affaire. Une leçon de modestie aurai-je envie de leur dire à ces bobos bien pensant et autres idiots utiles.

Il ne suffit pas d’aller piocher quelques jambes, quelques pieds, surmontaient par un cerveau à peine instruit, à peine cultivé pour que : la France soit. La France ne fût pas. La France ne fuse pas, loin s'en faut. On est bien loin du général de Gaulle.

Ribery-et-l-Algerie.jpgIl suffit d’écouter Franck Bilal Ribéry pour s’en rendre compte ! Voilà un joueur incapable d’aligner une phrase dans un français simple. lui qui se drape dans le drapeau algérien vient ensuite parler de la France qu'il aimerait nous dit-il. C'est affligeant. Ne le plaignons pas il "gagne" 10 millions d'euros par an.

 

Il suffit pour se donner une idée de la puissance intellectuelle de cette équipe que d’écouter le « capitaine » de l’équipe Patrice Evra qui veut éliminer le traitre. On est en pleine banlieue, dans les caves de Trappes, des Saint-Denis, de Villepinte. On règle des comptes de minables. Déplorable.

Ce n’est pas ces gens là les vrais responsables de cette descente en enfer. De cette risée de la France. C’est de la faute de l’idéologie bien pensante, des bobos de droite comme de gauche, de cette gauche caviar qui s’esbaudit encore de cette jeunesse qu’elle a mis en avant.

Il faut faire le ménage entends t’on dire ! Mais alors c’est la pyramide de la société mis en place depuis 30 ans qui faut revoir. Y compris le coup de boule de Zidane que chacun feint d’oublier et qui soutient aujourd'hui l'équipe d'Algérie, les crachats et les doigts d'honneur vers les arbitres ou les journalistes sans compter la main d'Henry qui a "rapporté" 600 000 € par joueur ainsi que pour l'entraîneur.

Il serait temps non pas d’estimer que les propos sont normal puisque qu’ils font partie du langage nouveau. Ce fameux langage dont la bien pensance aime à s’encanailler. On le retrouve partout chez les animateurs de télévision, tous ces jean foutres dirait de Gaulle. Il serait temps de revenir aux vraies valeurs. Celle de l’effort, du travail bien fait, de la patrie et du respect pour ne citer que celle-ci. Il serait temps que ces responsables assument leurs erreurs qui consistaient à mettre en avant des femmes ou des hommes non pas sur leurs valeurs personnelles mais sur leur origines. Ces quotas, qui ne disent pas leurs noms dans les équipes de foots et d’ailleurs, ne sont pas la solution.

Alors aujourd’hui, c’est la fédération de foot qui va payer la note. Des têtes vont tomber. Je ne vais pas les regretter. Toutefois ces quelques têtes ne sont certainement pas les bonnes. Ces têtes sont celles qui ont obéis aux ordres de la politique ambiante. Ces têtes n’ont fait que se conformer à l’idée politique première, la fumée de la réussite des banlieues. Cet écran de fumée n’est plus suffisant pour masquer l’échec de cette politique. Il faut prendre le problème de la banlieue à bras le corps. Cela consisterait en premier, à maitriser les flux migratoire, redonner les moyens d’une réussite à l’école, à remettre l’autorité au centre d’une classe, contraindre les parents à assumer leurs responsabilités, etc.

Pour conclure, je crois surtout qu’il faudrait donner à ces joueurs, à ces jeunes des banlieues l’amour de la France. Le voile se déchire et nous voyons que la France souffre. Car ce sont les enfants de ce pays qui n’aiment pas la France. La preuve ? Regardez l’équipe d’Algérie, la plupart sont des français. Des français de papier ?

Gérard Brazon

 

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Politique Française

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Z
<br /> <br /> Bravo à Gérard Brazon pour cette analyse à laquelle je souscris totalement.<br /> <br /> <br /> C'est pourtant simple! Aimer la France et respecter ses valeurs est un minimum qui devrait être exigé pour intégrer une équipe de France. A partir de là chanter la Marseillaise est un impératif<br /> qui va de soi. Celui qui ne se reconnait pas dans les paroles de notre hymne national, et c'est son droit, n'a rien à faire dans cette équipe. C'est du simple bon sens, très loin de l'idéologie<br /> du vivre ensemble entre les braves gens et les racailles.<br /> <br /> <br /> <br />
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K
<br /> <br /> > « la révolution française » dans un grand moqueur !<br /> c'est quel type de récipient "un grand moqueur" ?<br /> Je crois qu'il manque un mot : dans un grand --RIRE-- moqueur !<br /> <br /> > Ces jeunes issus des cités, propulsés pour se plier au multiculturalisme, n’a aucune<br /> n'ONT aucune Le sujet c'est "ces jeunes" il faut donc le verbe au pluriel :<br /> Ces jeunes (...) n'ONT aucune<br /> <br /> > aucune conscience de ce qu’elle représente<br /> Le sujet c'est "ces jeunes" donc il faut le masculin pluriel :<br /> aucune conscience de ce qu’ILS représenteNT.<br /> <br /> > Trop occupé par eux-mêmes,<br /> pluriel : Trop occupé--S--<br /> <br /> > le pauvre intellect qu’ils ont.<br /> Euh... quand on dénonce le piètre intellect des autres il faut veiller à l'orthographe sinon c'est l'infirmerie qui se fout de l'hopital.<br /> <br /> > je suis satisfait de voir cette équipe démontrait que<br /> de voir cette équipe démontr--ER-- que<br /> (vous diriez : "je suis satisfait de voir cette équipe MORDRE" et non pas ""je suis satisfait de voir cette équipe mordait" donc il faut le verbe à l'infinif : démontrer)<br /> <br /> > quelques pieds, surmontaient par un cerveau<br /> quelques pieds, surmont--és-- par un cerveau<br /> <br /> > dans les caves de Trappes, des Saint-Denis,<br /> DE Saint-Denis<br /> <br /> > Ce n’est pas ces gens là<br /> Ce NE SONT pas ces gens là<br /> <br /> > cette descente en enfer<br /> cette descente aux enfers (pour éviter la répétition "en en"<br /> <br /> >  entends t’on dire<br /> entend-t-on dire<br /> <br /> > la pyramide de la société mis en place<br /> mis--E-- en place<br /> <br /> > depuis 30 ans qui faut revoir.<br /> depuis 30 ans qu'--IL-- faut revoir.<br /> <br /> > les propos sont normal<br /> les propos sont normAUX<br /> <br /> > jean foutres<br /> jean-foutre<br /> <br /> > revenir aux vraies valeurs. Celle de l’effort<br /> Celle--s--<br /> <br /> > pour ne citer que celle-ci.<br /> pour ne citer que celle__S__-ci.<br /> <br /> > non pas sur leurs valeurs personnelles mais sur leur origines<br /> sur leur valeur personnelle mais sur leur origine. (on n'a qu'une valeur et une origine)<br /> <br /> > dans les équipes de foots<br /> de foot<br /> <br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> Vous avez raison Monsieur le correcteur. Ou si vous le voulez Korektor.<br /> <br /> <br /> Je suis étonné de toutes ces fautes qui ne m’ont pas sauté  aux yeux<br /> lorsque, dans mon enthousiasme, ma grogne voire, ma rage, j'écris. Sans doute parce que le contenu est plus important que le contenant. <br /> <br /> <br /> Vous avez raison et déjà, d'autres me l'avaient signalé avant vous. D’une manière plus délicate le plus souvent, plus<br /> violente lorsqu’il s’agissait de punir le vilain.<br /> <br /> <br /> Il va me falloir faire attention, plus attention encore aux serviteurs de la langue française pour ne pas dire aux<br /> serviteurs tout court sans que je sache au fond au service de qui.<br /> <br /> <br /> Comme vous n'avez fait aucun commentaire sur le contenu ma foi j’ignore la raison de ce commentaire.<br /> <br /> <br /> Vous auriez pu le mépriser avec un rictus significatif de prof de français.<br /> <br /> <br /> Vous auriez pu le signaler et en plus, construire une argumentation contre le contenu. Ou en corrigeant, à votre sens,<br /> le propos. Non, vous avez essuyé le verre. Soufflez dessus pour mieux le rendre transparent. Prêt à l’emploi, prêt à servir. Un peu comme ses bistrotiers qui examinent le verre avant de le mettre<br /> sur le comptoir. Juste avant de dire : qu’est-ce que je vous sers monsieur ?<br /> <br /> <br /> Pour moi rien ! Ne me servez pas monsieur le Korektor.<br /> <br /> <br /> Votre commentaire ne me sert à rien. Il est inutile pour tous ceux qui vont le lire. Il ne fait pas avancer le débat. Il<br /> n’y a aucune idée. Il n’y a que la volonté de me nuire.<br /> <br /> <br /> Souligner les fautes de grammaires est et restera l’apanage des miséreux de l’esprit. Ceux qui vénèrent l’outil à défaut<br /> d'avoir le talent de l’utiliser. Je préfère, et de loin, un Monsieur facteur cheval qu'un besogneux cherchant à faire du<br /> pompier.<br /> <br /> <br /> Mon père disait : l’orthographe est la science des ânes! Non pas<br /> parce qu’il n’aimait pas la belle langue mais simplement parce qu’il se méfiait de ces gens là  qui avaient besoin de chercher à ridiculiser pour mieux exister.<br /> <br /> <br /> Bien entendu, je vais laisser votre commentaire. Pas question de vous censurer. Il est tellement d’époque.<br /> Le paraître plutôt que l’être. Je ne vous salue pas monsieur l’anonyme.<br /> <br /> <br /> Gérard Brazon<br /> <br /> <br /> <br />