L’appel à nos morts est une honte pour un homme qui méprise la France - Par Gérard Brazon

Publié le 3 Mai 2017

Convoquer les morts ! Ceux  des camps de concentration, ceux d’Oradour n’est qu’une infamie politicienne. Qu’un homme le fasse au nom d’une France qu’il accuse par ailleurs, de crimes contre l’humanité, relève de la forfaiture.

La récupération des morts de la dernière guerre mondiale est fondamentalement indécente. Est-ce que les Vendéens manifestent, interpellent sur leur génocide, sur les crimes de guerre, et de l’humanité effectués  par la république de Robespierre, dont se gargarisent les « Républicains socialistes ». Que dit le petit Macron sur les centaines d’Oradour sur Glane lors de la « pacification » et de l’éradication des Vendéens par les colonnes infernales du général Turreau * ? Des massacres décidés par le Comité de Salut Public. Les femmes éventrées, les enfants aux crânes fracassés contre les murs, les viols et les vieillards torturés. Les Vendéens d’hier, hantent encore les plaines de leurs descendants survivants de cette Vendée massacrée par la République révolutionnaire. Oradour sur Glane est un crime de Nazis, un crime de SS, et en aucun cas un crime commis par des Français.

Comme d’habitude, les socialistes en prennent à leur aise avec l’Histoire. Ils occultent, pour mieux mettre en valeur ce qui les arrange !

Comme d’habitude, ils ne vont jamais au bout de la logique de l’histoire de notre France et mélangent tout, nivellent tout,  comme pour la colonisation que le petit Macron décide de considérer comme un crimes contre l’humanité. Les pieds noirs seraient donc des SS, les soldats de France seraient donc des nazis. Et ce misérable ose rendre hommages à nos morts ? Sans rougir de honte !

Comme celle de passer outre leur complicité avec les nazis avant, et pendant la dernière guerre. En 1936, les uns défilaient pour les congés payés, tandis que les nazis envahissaient la Rhénanie dans le même temps. Ce sont des socialistes qui se couchaient devant Hitler. Un simple rappel devrait être suffisant pour rappeler ce qu’étaient les nazis:le parti National-Socialiste des Travailleurs Allemand (NSDAP) était comme  son nom l’indique, socialiste. Tout comme le fascisme, invention du socialiste Benito Mussolini. Sans parler des Lénine, Trotski et autres Staline et Mao.  

Comme d’habitude, ils passent sous silence que le Maréchal Pétain a été élu par 286 parlementaires qui avaient une étiquette socialiste ou de centre-gauche, et 237 une étiquette de droite ou de centre-droit et 46étaient sans étiquette ! Seul 80 parlementaires ont voté contre le Maréchal Pétain.  Les socialistes ne sont pas des ignorants sur ce sujet, ce sont des faux-culs, des hypocrites ! Ils ont simplement retourné la responsabilité des uns, sur l’autre allant même jusqu’à traiter le général De Gaulle, certes bien plus tard, de dictateur. N’est-ce pas le socialiste Mitterrand, ancien décoré de la Francisque en 1943, ayant juré sur l’honneur, fidélité au Maréchal qui affirma le « coup d’état permanent » lors de la nouvelle constitution de la cinquième République en 1958.

Le petit Macron aurait dû épouser une prof d’histoire. Il aurait dû s’informer plus avant, et réaliser que les acteurs d’aujourd’hui, n’ont plus grand-chose à voir avec ceux d’hier.

J’en veux beaucoup à cette droite qui durant quarante ans a laissé faire la gauche en culpabilisant les patriotes, le drapeau et y compris la Marseillaise. Je me souviens de ces militants du RPR et puis de l’UMP à l’époque où j’y militais, de cette volonté de nier les symboles de notre France, en chantant « mezza voce » notre chant national par crainte de passer pour des fascistes. De mes coups de gueule sur certains qui niaient nos symboles qu’ils assimilaient au Front National. Les « Républicains » de Sarkozy et autres Fillon et Baroin n’ont aucune leçon à donner, eux qui ont trahi notre Pays en le vendant au Qatar et à l’Arabie Saoudite.

Le petit Macron fait partie de cette engeance, et c’est en cela qu’il est indigne d’être un président de la République. Il est la quintessence de cette France mangée de l’intérieur par les termites anti France.

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À ce point de mon propos, je remercie Nicolas Dupont-Aignan pour son engagement clair. J’espère la prise de parole de Philippe de Villiers. Je signale la prise de position de Marie France Garaud, cette personnalité forte qui avait bien compris ce qu’étaient ces gens de droite qui se prenaient pour des gaullistes et ce qu’elle disait à propos de Jacques Chirac : J’ai cru qu’il était de l’acier dont on faisait les meilleurs canons. Il n’était que de la faïence dont on fait les bidets!

C’est encore elle qui a affirmé : Assez des médiocrités et des nonchalants de l’action. Assez des gestionnaires de la décadence. Tout est dit !

Alors j’attends les prises de positions de tous les patriotes face à ce choix crucial entre la France, ou la liquidation de notre Pays en sorte de Lander, région, ou entité négligeable, dans un environnement axé sur la finance. Une France de l’individualisme, de la fin de notre culture nationale, et régionale.

Voici ce que disait De Gaulle sur les socialistes : Les gens de gauche ont rarement de grand projet. Ils font de la démagogie et se servent des mouvements d’opinion. La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça que l’on a fini dans l’abîme en 1940…  Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux (…).

Les apatrides mentaux est l’expression en deux mots, de la réalité de ces socialistes d’aujourd’hui !

Qu’ils se disent gaullistes ou de gauche. Qu’ils se disent UMP, Radicaux Socialistes, Communistes. Depuis quarante ans, nous avons mis au pouvoir, des apatrides mentaux ! Il serait temps de remettre la France sur pied, et de mettre l’intérêt de la France au premier niveau.

Les descendants des SS sont ces antifas qui cassent tout et brûlent tous sur leur passage avec la couverture du gouvernement socialiste.

Qui sont les tueurs ?

Qui veut tuer des policiers si ce n’est ceux-là même qui leur rendent hypocritement hommage par la suite.

Gérard Brazon (Liberté d’expression)

  • Le 19 janvier 1794, les députés de la Convention et le Comité de Salut public approuvent le plan d’extermination de la Vendée proposé par le général Louis-Marie Turreau.

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Politique Française

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