Face aux violences islamiques sur notre sol, une seule solution : la force ! Par Maurice Vidal
Publié le 21 Juillet 2014
Le visage de la haine... (ndlr Gérard Brazon)
Par Maurice Vidal pour Riposte-Laïque
Bien qu’interdite par le chef de l’Etat, la manifestation pro-palestinienne prévue à Paris pour le samedi 19 juillet s’est déroulée le jour dit, dans un climat de violence qui n’augure rien de bon, car si le gouvernement persiste dans la non-répression, les Français eux-mêmes finiront par combattre ceux qui, bafouant nos lois, ne cessent de détruire le bien public, en brandissant, de surcroît, des drapeaux étrangers !
Le conflit israélo-palestinien a beau être israélo-palestinien, il s’importe hélas ! Et de la pire des façons, en faisant fi du politique au profit du religieux. La preuve : ceux qui sont visés sont les juifs ; ceux qui les visent sont les musulmans. Le nier, c’est prendre des risques, car ces musulmans-là soutiennent le Hamas, qui en appelle au terrorisme et à la mort d’Israël. Comment donc, en France, des Français peuvent-ils agir de la sorte ? Comment des Français peuvent-ils crier « mort au Juifs », ou encore « Allah u Akbar » ? Comment des Français peuvent-ils outrepasser à ce point l’interdit du chef de l’Etat ?
La réponse est simple : nous sommes face à la montée d’un antisémitisme militant, qui fait retentir sa voix par des actes. Le réveil islamique mondial y est pour beaucoup, et l’immigration musulmane aussi. Les deux, conjugués, alimentent le refus de toute option non islamique, ce qui, à terme, peut renverser notre démocratie. Une inscription antisémite peinte sur un mur n’est pas démocratique ; un cocktail Molotov lancé contre une synagogue l’est encore moins ; l’assassinat de juifs innocents relève du fascisme : Mohamed Merah et Mehdi Nemmouche ont montré le chemin ! Ils ont surtout montré que l’intégration ne fonctionne plus, et qu’une nouvelle Histoire est en marche, à l’instar de ces « Françaises » voilées vociférant en faveur du Hamas.
Dans un tel contexte, quel Français non musulman est à même de se sentir en sécurité sur son propre sol ? Est-ce le 19 juillet 2014 que le conflit israélo-palestinien est entré chez nous ? N’est-il pas, depuis déjà des années, dans nos quartiers dits « sensibles » ? Et comment expliquer cela, sinon par la place grandissante que prend l’islam dans notre pays ?
Il semble que l’on n’ait pas encore compris la nature expansionniste de l’islam, dont l’expression communautariste se traduit d’abord dans le vestimentaire, avant de verser dans des exigences cultuelles toujours plus nombreuses.
Pourtant, les solutions existent, pour peu que l’on sache rompre avec l’émotionnel. En effet, l’immigration musulmane, ça peut se stopper ; les djihadistes, ça peut s’expulser ; l’antisémitisme, ça peut se sanctionner ; les appels au meurtre, ça peut se condamner ; l’anti-France, ça peut s’interdire ; la nationalité française, ça peut se retirer ; les quartiers « sensibles », ça peut se boucler ; les forces de l’ordre, ça peut rendre force à la loi ; l’armée, ça peut intervenir.
Ne pas être capable de cela, c’est aller dans le mur, et le mur est tout proche !
Maurice Vidal