L'Eglise catholique commence à comprendre les dêgats?
Publié le 31 Octobre 2010
Est-ce que l'Eglise catholique commencerait à réaliser ce que se passe en Europe! Après la purge des chrétiens d'Orient de leur pays d'origine par les régimes islamique, il serait temps qu'enfin, cette Eglise catholique réalise que c'est désormais en Europe et à Rome que le combat du salut de l'Eglise va se faire. Il ne s'agit plus de critiquer comme le font les catholiques de France les conversions de Kabyles en Algérie mais bien de regarder ce qui se passe en France et singulièrement dans nos banlieues déja islamisées voire, dans certaines villes comme à Roubaix ou Lilles en passe de l'être. Etant laîc, je ne devrais pas me sentir concerné. Pour autant, mes racines sont judéo-chrétiennes et cela me fait mal de voir des curés et des abbés dhimmisés tendant la main à des islamistes qui ne rêvent que de les convertir ou leur couper la main!
Gérard Brazon
Vatican : "Les immigrés doivent respecter l'identité des pays d'accueil"
En d'autres mots, ceux qui immigrent en Occident ne doivent pas chercher à islamiser leur pays d'accueil. Les immigrés musulmans sont d'ailleurs les seuls à vouloir saper les fondements philosophiques de la civilisation occidentale. Pas tous, heureusement, mais nombre d'entre eux, avec la collaboration d'une cinquième colonne animée par la haine des démocraties occidentales, qu'ils cherchent à déstabiliser. Cette oeuvre de sape d'une civilisation est immorale ; elle est aussi contraire à l'éthique humaniste.
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Le pape Benoît XVI a souligné mardi en présentant son message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié que ces derniers "ont le devoir de respecter les lois et l'identité nationale du pays d'accueil" même si la communauté internationale doit les protéger.
"Beaucoup de personnes doivent affronter l'expérience difficile de la migration, dans ses différentes expressions: intérieures ou internationales, permanentes ou saisonnières, économiques ou politiques, volontaires ou forcées. Dans divers cas, le départ de son propre pays est provoqué par différentes formes de persécutions, de sorte que la fuite devient nécessaire", a déclaré le pape. "De plus, le phénomène même de la mondialisation, caractéristique de notre époque (...) comporte également +une humanité qui devient de plus en plus interconnectée+, dépassant les frontières géographiques et culturelles", a poursuivi Benoît XVI. "Tous, appartiennent donc à une unique famille, migrants et populations locales qui les accueillent, et tous ont le même droit de bénéficier des biens de la terre, dont la destination est universelle", a-t-il estimé.
Cependant, "dans le même temps, les Etats ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières, en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine. En outre, les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale", a souligné le pape.
Il y a dans le monde plus de 15 millions de réfugiés, dont 10,4 millions sous la responsabilité du Haut commissariat de l'ONU (HCR), et environ 27 millions de personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays, a rappelé au cours de la conférence de presse de présentation du message le père Gabriele Bentoglio, membre du Conseil pontifical pour les migrants. La prochaine Journée mondiale du migrant et du réfugié sera célébrée le 16 janvier.
Source : Yahoo News, 26 octobre 2010