Une victime de la société avait enlevé Chloé, une "richesse de la France" de plus...
Publié le 17 Novembre 2012
Signalé par Danielle Moulins
Style de journaleux à gerber! D'ailleurs les commentaires ne sont pas tendres.

Le Gardois Kamel Bousselat sortait de prison suite a une condamnation en 2009 pour une série d’agressions sexuelles. Selon son avocat de l'époque, le trentenaire "était conscient de sa dangerosité". (On se demande pourquoi il est sorti et à décharge, le ministre de la justice était sarkozyste! ! Ndlr Gérard Brazon)
Kamel Bousselat, 32 ans, le ravisseur présumé de Chloé retrouvée vivante vendredi en Allemagne, est un Gardois (bis) originaire de Roquemaure, qui était sorti de la prison de Béziers depuis le 14 septembre dernier. Il y purgeait une peine de cinq ans de prison, dont deux avec sursis, infligée le 12 mai 2009 par le tribunal correctionnel de Nîmes, pour une série d’agressions sexuelles commises sur des promeneuses, à Vallon-Pont-d’Arc (Ardèche), Comps et Pouzillac (Gard).
"Des pétages de plombs", avait alors expliqué à l’audience cet homme qui s’en était pris à au moins six femmes, qu’il repérait alors qu’elles faisaient du vélo ou qu’elles marchaient en bord de route.
Son mode opératoire était particulier : il poussait ses victimes dans sa voiture, les caressait et leur montrait des photos pornographiques. Sans aller toutefois jusqu’à commettre de véritables viols. "Chaque fois que les femmes se débattaient, il s’en allait. Il n’est jamais allé jusqu’au bout", se souvient son avocat, Me Jean- François Corral, qui l’avait défendu dès son arrestation, en juin 2007. (Ouf alors, s'il n'est jamais allé jusqu'au bout alors tout va bien Monsieur l'avocat et tant pis si la victime elle aura des séquelles psychologiques pour le restant de sa vie! Ndlr Gérard Brazon)
"Il dormait et mangeait dans sa voiture"
"Il était à l’époque complètement à la dérive après une rupture sentimentale. Il dormait et mangeait dans sa voiture. J’avais été frappé de voir qu’il n’essayait pas de minimiser les choses, et qu’il était conscient de sa dangerosité : il avait demandé au juge de l’incarcérer, par peur de 'faire une connerie'” , poursuit l’avocat nîmois. "Il avait eu un suivi psychiatrique en détention, et il savait que c’était nécessaire." (C'est du délire car au fond le juge n'a pas cru cette victime de la société et l'a libérée pour qu'elle puisse exprimer ces "pétages de plombs" tranquillement! Ndlr Gérard Brazon)
Dix jours après sa libération, Kamel Bousselat ne s’est pas rendu au service de probation d’Avignon, où il était condamné. Et il a très vite pris ses distances avec le foyer du Vaucluse où il devait être domicilié.
Il est gentil le journaleux tout de même! Pas de parti pris, pas d'idée, pas d'à priori, tout à décharge! Pauvre Cloé... Gérard Brazon