Un ami est mort. Un patriote Français, né en Arabie Saoudite. Par Gérard Brazon

Publié le 29 Août 2014

Gérard Brazon affligé  Jour de deuil. Aujourd'hui est un jour triste pour moi. Un ami vient de rendre l'âme. Malade depuis quelques mois, le crabe a fini par avoir sa peau.

Drapeau 03Juriste et chef d'entreprise, il faisait partie de ces grandes gueules, très libre d'esprit et surtout indépendant. Proche du Front National. Né musulman, né en Arabie Saoudite, il n'était pas le dernier à lever le verre de l'amitié autour d'un plat de charcuterie bien de chez nous. Plus français que lui, il n'y avait pas.

L'amour de la France il l'avait au fond des tripes. Marié à une Française, ses deux enfants, dont une fille, ne portent pas sur eux les stigmates d'une culture dévalorisante pour la femme.

Il aimait la femme et la respectait en tant que femme libre. Sa famille en est la preuve.

Il aimait la vie, passionnément, au point sans doute de la négliger par des journées de travail à rallonge et des jours de repos à la petite cuillère. Difficile pour lui de décrocher mais toujours là pour vous rendre service au moindre appel. Arranger ou débloquer une situation.

Arrivé en France très jeune, la France était pour lui un grand pays et il ne comprenait pas l'aberration islamique. Il est vrai qu'il n'était pas croyant et donc pas du tout pratiquant, même pas par tradition.

Alors oui, il ne faut pas tout confondre. Oui, il y a des musulmans de naissance qui n'ont rien à voir avec les islamistes. Oui, ces femmes et ces hommes souffrent probablement des démonstrations de ces barbares d'Irak et d'Afrique. Oui, ils évitent le plus souvent de dire d'où ils viennent pour ne pas avoir à expliquer quoi que ce soit. C'est une réalité.

J'ai d'autres amis qui sont dans ce cas là, dont deux qui faisaient partie de ma liste aux dernières municipales. 

Jamais mon ami Güder ne m'a reproché mon combat contre l'islamisation de mon pays, son pays, sa France. Bien au contraire, il comprenait parfaitement bien mes craintes et mes angoisses face à la montée du péril vert qu'est l'islam. Et nous levions le verre de l'amitié.

Il ne voyait pas de haine raciale dans mes propos, pas de racisme anti quoi que ce soit. Il voyait un Français de souche qui voulait que la France reste la France, celle que lui-même aimait profondément: terre des libertés, de l'égalité des sexes, de la libre pensée et d'expression.

J'ai eu bien plus de soucis avec des "français" collabos de l'islam qui sont à l'UMPS.

Bien plus avec ces associatifs qui prétendent défendre les droits de l'homme et détruisent les fondamentaux  culturels de notre pays.

Bien plus avec ces "faux amis" qui au nom du "vote musulman" cherchent à vous combattre et vous traînent dans la boue.

Güder, mon ami devenu Français, patriote jusqu'au bout des ongles, par choix, par volonté, par amour de la France qui a créé de la richesse en France, la vraie, pas celle de ces salauds de "français de papiers".

Güder mon ami, reposes en paix. Tu seras toujours là dans mon cœur et c'est à toi qu'iront mes pensées quand viendra l'heure des prochaines batailles politiques contre l'islam, l'islamisation de mon pays.

 

Gérard Brazon

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Point de vue

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