Sur toutes les radios, la mort de Mandela... jusqu'à plus soif. Pas de télé ce soir...
Publié le 6 Décembre 2013
Depuis Barak Hussein Obama, le premier Président des USA noir, musulman d'éducation qui n'a pas, loin de là, fait de son pays quelque chose de différent et qui surtout a permis que ses services secret espionnent y compris et quasiment dans les toilettes de la Reine d'Angleterre ou d'Angela Merkel est forcément pour la bien pensance un homme bien. Normal il est noir.
Là c'est Mandela. Il est mort et l'on va nous en faire baver toute la journée. D'abord les infos sur chaque radio, puis ce soir à la télé, demain sur des retransmissions et puis viendront les séries télévisées, les films, puis les commémorations. Vous en voulez, vous en avez. Vous n'en voulez pas, vous en aurez quand même.
Cette autoflagellation du blanc parce que blanc, cette admiration totale du noir parce que noir devient véritablement un probème relevant quasiment de la psychiatrie.
Au secours comment on soigne un pays
Gérard Brazon
La mort de Nelson Mandela déclenche une prévisible hystérie médiatico-politique.
Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens et slogans idiots en vue.
Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême-gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain).
Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres.
Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.
Depuis 1994, plus de 4000 fermiers blancs ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante, etc.
Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti l’ANC, toujours au pouvoir.
Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.
Sur quatre millions de Blancs, un quart a déjà fui le pays.
Ci-dessous une video de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :
Et l’africaniste Bernard Lugan (auteur d’une Histoire de l’Afrique du Sud) rappelle quelques vérités sur ce pays et sa situation :