Sécurité ou ramadan:Jacques Bourgoin, Maire de la dhimmitude à Gennevilliers a choisi!
Publié le 1 Août 2012
- Une information que l'on n'a pas entendue sur nos chaînes de télévision: les animateurs de colonies de vacances de la ville de Gennevilliers faisaient le jeûne du ramadan. On imagine les dégâts occasionnés sur la santé physique sans compter la fatigue et le manque de tonus consécutif à la deshydratation. Pour surveiller des enfants ce n'est pas l'idéal. Le maire communiste de la ville a eu la bonne réaction en retirant aux animateurs la responsabilité des enfants! Mais devant la bronca des associations islamistes et du CFCM, le maire s'est dégonflé. Qu'importe les gosses (quoique à Gennevilliers, la population est largement majoritaire). Le ramadan est devenu la loi. Il est plus important que la sécurité. Belle preuve de dhimmitude Monsieur le Maire. Un maire captif de son électorat qui ne lui aurait jamais pardonné son manque de souplesse avec la charia. 2014 n'est pas loin avec les élections municipales.
- Gérard Brazon
Devant l'afflux de réactions indignées qui ont suivi sa décision de suspendre quatre animateurs pour avoir suivi le ramadan, le maire PCF de Gennevilliers à décidé de ne plus interdire le jeûne aux employés.

Quatre animateurs avaient été suspendus lundi de leur poste au motif qu'ils observaient le jeûne du ramadan. Mais devant la menace du Conseil français du culte musulman (CFCM) de porter plainte pour discrimination et celle des employés de saisir les prud'hommes, le maire PCF de Gennevilliers, Jacques Bourgoin, a fait machine arrière. (Le Maire avait toutes les chances de gagner devant les prudhommes-contrats signés par les animateurs - et la plainte du CFCM n'était pas recevable face à l'impératif de la sécurité des enfants. Monsieur le Maire vous vous êtes dégonflé et c'est bien triste pour le premier magistrat d'une grande ville. Ndlr Gérard Brazon)
Au cœur de la polémique, l'article 6 du contrat de travail signé par les animateurs, selon lequel l'animateur «veille à ce que lui-même ainsi que les enfants participant à la vie en centre de vacances se restaurent et s'hydratent convenablement, en particulier durant les repas» et doit être «en pleine possession de ses moyens physiques».
La municipalité avait justifié lundi la décision de suspendre ses employés en affirmant que les animateurs «n'ont pas respecté, en cours de séjour, les obligations de leur contrat de travail, pouvant ainsi mettre en cause la sécurité physique des enfants dont ils avaient la responsabilité».
«Pour apaiser le débat», la mairie a décidé mardi «de ne pas imposer l'application de l'article incriminé du contrat de travail sur le mois d'août», explique-t-elle dans un communiqué. «Pour conserver ses exigences en termes de sécurité physique des enfants», la mairie renforcera les contrôles dans ses centres de vacances.
«L'article a été mal interprété», a expliqué le maire communiste de Gennevilliers, Jacques Bourgoin. «Tout est parti d'un accident qu'il y a eu il y a deux ans, où deux enfants avaient été blessés parce que la conductrice du minibus, qui jeûnait, avait fait un malaise.» «C'est pour cela qu'on a ajouté cet article au contrat de travail, mais comme l'article apparaît pour certains discriminatoire, on souhaite que le débat soit posé de manière sereine», a poursuivi l'édile. (Un article sur la sécurité des enfants devenu discriminatoire? on n'arrête pas le progrés en dhimmitude dans le 92 qui commence à ressembler à son voisin 93 tant la population change à grande vitesse. C'est cela le repeuplement que l'on dénonce à longueur de lignes sur ce site avec les conséquences citées plus haut. Ndlr Gérard Brazon)
La mairie a prévu d'organiser à la rentrée une réunion de travail avec la direction départementale de la jeunesse et des sports des Hauts-de-Seine, les organisations syndicales des salariés, les mouvements d'éducation populaire et les collectivités organisatrices de centres de vacances.