On dit le regard est le miroir de la pensée. Effrayant ce regard de Belkacem... Par Jean Sobieski
Publié le 30 Août 2014
Regardez bien ces photos de Najet Belkacem, marocaine longtemps salariée par son Roi pour contrôler l’état d’esprit de ses compatriotes « perdus en France », assistant à la transformation d’un garçonnet en fillette, dans une école de la République Française.
Pour Riposte Laïque
Maintenant, lisez simplement ces quelques lignes glanées sur Wikipedia.
« The Uses of Enchantment, traduit en français sous le titre Psychanalyse des contes de fées, est un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976. Selon l’auteur, il a « été écrit pour aider les adultes, et plus spécialement ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre l’importance des contes de fée »1.
À travers plusieurs contes populaires tels que Blanche-Neige ou La Belle et la Bête, Bettelheim y analyse le contenu psychanalytique des contes pour enfants, s’attachant en particulier à de grands thèmes comme le complexe d’Œdipe ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants. Il montre comment ces contes répondent aux angoisses des enfants en les informant sur les épreuves à venir et les efforts à accomplir avant d’atteindre la maturité. Il met en perspective différentes versions des contes et montre quelles sont celles qui correspondent le mieux à la structuration psychologique de l’enfant. Ainsi, telle version des Trois Petits Cochons permet au jeune enfant d’intégrer la nécessité, pour grandir, de passer du principe de plaisir (régi par la prévalence du monde imaginaire, de la toute-puissance infantile) au principe de réalité (régi par les contraintes de la vie quotidienne, liées à la socialisation) ; ce que ne permettent pas, d’après Bettelheim, d’autres versions.
Il est important que l’association de ces photographies et de ce texte circule le plus largement possible. Car nous sommes là devant un conte de fées assez diabolique dont il eut été intéressant de connaitre la morale tirée par Bettelheim. Celui-ci n’étant plus de ce monde, je me risquerai à emprunter son chemin pour tenter une approche.
Ici, le petit prince a été proprement émasculé. Une sorcière l’a changé en fillette juste bonne à baigner et emmailloter une poupée, sous le regard ébloui d’une parentèle réduite à l’expression corporelle des autruches ou mieux, des vaches vieillissantes promises à l’abattoir.
La sorcière qui a jeté un sort à l’enfant veille à ce que l’affaire aille à son terme, lequel étant la sodomisation précédant la décapitation programmée de l’enfant devenu adolescent, puis adulte, par le fougueux cavalier surgi des sables du désert pour imposer sa loi au plus faible, au plus vulnérable, au plus dépossédé de son droit à se défendre. Le prince est nu. Il ne sera jamais roi, pour qui que ce soit.
Le problème est que personne ne viendra à son secours. Ses sujets sont déjà en hébétude, ses conseillers ont rallié l’ennemi dans le sillage de régents pressés d’en finir avec leur propre magistère. On appelle ça la fin d’un monde.
À l’inverse de chez les grands conteurs pour enfants, la sorcière triomphe dans la France du Roi Hollande. Cela se voit sur son visage. Venue d’une contrée où tout est interdit, celle-ci se venge sur celui où tout est permis. Regardez bien ses yeux au regard de givre, ses lèvres retroussées sur le pli carnassier de sa bouche, et la jouissance inscrite sur ce cauchemar à deux pattes.
Cela s’appelle orgasme. Najat Belkacem en éprouve un à la vision d’un petit Français (blanc et d’aspect plutôt chrétien, comme c’est bizarre…) de cinq ans caressant un baigneur.
Oserait-elle ébaucher la manœuvre au Maroc ?
Elle en serait dans l’instant dissuadée par l’obscure terreur baignant son milieu social.
Proposerait-elle le geste exécuté en France par un petit musulman ?
Elle se prendrait illico la communauté toute entière sur le râble.
Elle est lâche. Perverse. Meurtrière sous contrat.
Rien n’est en vérité plus touchant qu’un père s’occupant de son petit.
Rien n’est plus infamant que de voir son devenir d’homme confisqué par les tenants de l’esclavage à venir, lequel croîtra sur les ruines de ce qui fit, deux millénaires durant, la force, l’endurance et aussi la chance de survie d’un peuple nommé français.
Jean Sobieski