Musulmans et Occidentaux : Les différences psychologiques, par Nicolai Sennels
Publié le 3 Juin 2011
Dans son article présenté par Dr Nancy Kobrin, psychanalyste américaine, il explique la psychologie des musulmans dans des termes que les Occidentaux peuvent comprendre.
27 février 2008. Un mercredi froid et venteux (pour un cycliste comme moi), j'ai pris une grande inspiration, j'ai saisi le micro et j'ai fait quelque chose qui a changé ma vie. Devant le bureau de l'adjoint au maire de Copenhague pour l'intégration et les services sociaux étaient rassemblés plusieurs journalistes, un fidèle musicien musulman du célèbre groupe Outlandish de MTV, des dizaines d'imams et de porte-paroles musulmans et quelque deux cents travailleurs sociaux d'origine danoise ou musulmane. J'ai commencé à dire ce que tout le monde savait déjà mais que personne ne voulait ou n'osait dire : à savoir que ceux que l'on désigne sous les appellations de criminels étrangers, d'extrémistes religieux ou d'apprentis terroristes et qui sont à l'origine de sociétés parallèles criminelles (c'était le thème de la conférence « Diversité et sécurité dans la ville ») sont tous des musulmans.
J'ai expliqué qu'il fallait cesser de parler de « criminels étrangers » et se mettre à user d'un terme plus précis : « criminels musulmans ». En tant que psychologue ayant eu affaire à plus d'une centaine de patients musulmans, je leur ai dit que les politiciens et les travailleurs sociaux doivent comprendre le contexte culturel et religieux des criminels étrangers. Au moins si on veut pouvoir mettre sur pied des plans un peu efficaces et ciblés pour calmer l'agitation sociale, les mouvements religieux antidémocratiques et les forces antisociales et violentes qui parcourent les étrangers.
J'ai été vivement critiqué de toutes parts et personne ne m'a soutenu !
En fait, je tentais de mettre fin à la prétendue stigmatisation de tous les immigrés non musulmans en mettant l'accent sur le seul groupe responsable de tous les problèmes. Comme pour les soldats au front, où la plupart sont tués lors de la première attaque, beaucoup de ceux qui s'en sont pris au politiquement correct ont souffert de conséquences sociales ou professionnelles négatives. Et je n'ai pas fait exception. L'adjoint aux services sociaux de la mairie a été clair : soit je cessais d'utiliser des expressions stigmatisantes, soit je me trouvais un autre emploi. En fait, je tentais de mettre fin à la prétendue stigmatisation de tous les immigrés non musulmans en mettant l'accent sur le seul groupe responsable de tous les problèmes. Mais on ne peut pas lutter contre la mairie. Nos plus grands journaux et programmes d'information à la radio se sont saisis de l'affaire et le maire a été vivement critiqué par les experts médiatiques de la liberté d'expression et par la blogosphère danoise. Pendant un mois environ, il ne s'est pas passé un jour sans que mon nom soit cité dans un ou plusieurs journaux, et les combattants de la liberté d'expression sont revenus à la charge. Je n'étais plus un psychologue anonyme. Mon nom était connu de tous les lecteurs de journaux au Danemark et ce sont tout particulièrement les blogs critiquant l'islam sur Internet qui m'ont mis sous la lumière des projecteurs.
...on a vraiment besoin d'une discussion sérieuse sur les liens entre la culture musulmane et les comportements criminels et antisociaux. Au lieu de me taire, j'ai décidé d'écrire un livre sur mon expérience avec les musulmans, en me fondant sur des centaines de séances de thérapie. Tout le cirque qu'on avait fait autour de moi avait déjà montré à quel point il était nécessaire de briser les tabous relatifs aux musulmans criminels. Qui plus est, on a vraiment besoin d'une discussion sérieuse sur les liens entre la culture musulmane et les comportements criminels et antisociaux. J'ai réussi à négocier un départ avec une indemnité de quatre mois de salaire. Je suis probablement le premier psychologue de Copenhague à qui on ait offert 20 000 dollars pour quitter volontairement son poste. Je pense qu'ils voulaient juste se débarrasser de moi aussi tôt que possible. J'ai trouvé un travail bien payé comme psychologue à l'armée, pour faire du débrouillage psychologique chez les soldats revenant d'Afghanistan. J'ai également commencé l'écriture de mon livre, où je décris le profil psychologique de la culture musulmane. Le livre s'intitule « Parmi les musulmans criminels : expérience d'un psychologue à la municipalité de Copenhague » (Among Criminal Muslims: A Psychologist's Experiences from the Copenhagen Municipality, Free Press Society, 2009).
Lu sur Point de Veille par Marie Claire Muller