Marine Le Pen à RTL - préface de Gérard Brazon
Publié le 22 Août 2013
Je trouvais Marine Le Pen bien silencieuse ces derniers temps mais il est vrai que la parole médiatique est toute entièrement donnée, y compris pour ne rien dire, aux ténors de l'UMP et du PS. Jusqu'à saturation le plus souvent devant les incohérences, les reculades, les attitudes et les postures/impostures. Lire, écouter, entendre et comprendre une autre parole fait du bien d'autant plus lorsque celle-ci relève du bon sens et remet les pendules à l'heure.
Le bon sens, celui du peuple, celui du terroir, celui du labeur, celui qui sait, a toujours su que demain on ne rasera pas gratis. Celui qui n'a plus envie qu'on lui dise que le bout du tunnel est là. Depuis Raymond Barre, la distance qui nous sépare du bout du tunnel est restée gigantesque.
Aujourd'hui, les socialistes nous affirment que la France sera le phare du monde en 2025. Pitoyable. Grâce à eux et aux supplétifs de la droite molle,(UMP, UDI) la maison France n'existera plus en 2025 si personne ne relève notre drapeau, notre économie, notre pays et remettant en place les meubles patriotiques.
Les bateleurs et autres vendeurs de soupe nous ont ruinés avec l'Europe entres autres. Pire, ils vendent de l'eau tiède pour de la soupe aux Français et réservent les légumes aux "déshérités" comme ils disent, à savoir au flux permanent d'immigrés qui sont décrétés arbitrairement "richesse de la France". Une richesse que les français savent ruineuse.
Marseille: c'est la faute à Sarko, la délinquance, c'est la faute à la misère.
Tant pis si le Cantal est la région la plus pauvre et la moins délinquante de France. Il faut croire que la misère n'a pas les mêmes effets selon la culture des "pauvres".
Qu'importe n'est-ce pas du moment que l'on a la rime, le Sarko comme Rousseau et la misère comme Voltaire ! Vieille antienne d'un parti qui se dit moderne et a gardé ses vieux réflexes gauchistes. Sauf que les "pauvres", les Français dans la peine, dans la misère, dans l'inquiétude, dans la galère ont déjà compris que pour la Socia-lie, ils ne sont pas (plus?) le vrai centre d'intérêt. La gauche n'a plus que les yeux de Chimène pour l'immigré devenu le nouveau prolétaire.
Gérard Brazon
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INVITÉE RTL - La présidente du Front national est revenue sur la polémique qui oppose Manuel Valls à certains membres de la gauche sur la politique en matière d'immigration.