Les indigènes égaux à eux-mêmes, écœurants et anti France. Préface Gérard Brazon
Publié le 24 Juillet 2013
La police française se comporterait-elle comme une armée d'occupation à Trappes. La police française serait-elle devenue l'égale de la Milice Française à la recherche du basané, du "djeune", du différent, de la pauvre femme niquabée victime, forcèment victime...
Serions-nous devenus les tyrans de cette population qui est venue de son plein gré, quasi gratuitement, par amour pour nos libertés, pour reconstruire la France qui sinon serait restée coincée entre les grottes et les cabanes en bois depuis 1945. Ils sont venus pour nous ces braves gens et non comme le pensent ces salauds d'islamophobes et autres racistes, forcèment racistes... pour des avantages sociaux et une meilleure vie que celle qu'ils avaient au bled ?
C'est que nous disent les "indigènes de la république" cette association largement subventionnée dont l'égérie Houria Boudeldja qui a pour la France un grand amour qu'elle a décrit dans un de ses livres "Nique la France".
Voici ce que ces "indigènes" pensent des émeutes de Trappes:
En banlieue, le scénario est désormais bien rôdé : sous prétexte de verbaliser une jeune fille portant un niqab, les forces de police se sont livrés, à Trappes, à une nouvelle provocation. Celle-ci, particulièrement violente, a entraîné une réaction de solidarité et d’autodéfense de la population. (sic)
(...) Pourquoi diable la police s’évertue-t-elle à provoquer les musulmans et habitants des quartiers précisément durant cette période de recueillement et de pardon, période de paix et de sérénité par excellence ? Il y a ici un enseignement qui ne doit pas nous échapper.
En effet, il semble que le resserrement des liens familiaux et communautaires, la fréquentation massive des mosquées, les rythmes de vie particuliers, propres à cette période soient vécus comme une véritable provocation par l’Etat. (A mon avis, ils ne suivent pas les émissions de TF1 et de France Télévisions mais plutôt Al Jeezira. ndlr Gérard Brazon) Lui qui pourtant organise la ségrégation sociale et spatiale des populations issues de l’immigration entend dans le même temps réaffirmer sur elles sa souveraineté absolue. Dans la pensée orientaliste classique, l’arabe n’a pas de patrie, c’est l’islam qui en fait office. En cela, l’islam établit une concurrence intolérable car il y a conflit de loyauté. La déclaration de ce Trappiste évoquée dans Le Monde du 20 juillet 2013 : « On n’a pas la haine par hasard. On se battrait pour la France, mais il faut arrêter de venir toucher à la religion tout le temps », dans son extrême ambivalence - à la fois profondément intégrationniste mais dévouée au sacré - peut témoigner de cette tension.
Ainsi, l’islamophobie de l’Etat témoigne d’une chose : Sa volonté de réaffirmer son empire sur 6 millions de musulmans. Il exprime aussi sa crainte que ceux-ci fort de cette autonomie cultuelle accrue en période de ramadan ne finissent par lui échapper complètement en s’autonomisant sur le plan politique. On n’a pas de peine à imaginer la teneur des réunions place Beauvau : Comment assurer le contrôle d’une communauté musulmane qui semble vouloir obéir à des principes transcendant le cadre national-républicain ?
Comment contrecarrer son potentiel défaut de loyauté ? Dans cette tâche, il est secondé par tout un pan de la société française, jaloux de ses privilèges. C’est ainsi qu’il faut comprendre, à la fois les actes et agressions racistes de nazillons et groupes paramilitaires et le défaut de solidarité d’une grande partie de la société civile qui tacitement approuvent et partagent avec les agresseurs - non pas forcément les méthodes musclées - mais l’esprit.(...)
Le reste est à l'avenant.Ecoeurant et volontairement provocateur.
qui adore