le Président Nicolas Sarkozy vient au secours du bon sens et de la logique politique
Publié le 5 Décembre 2009
Encore une fois le Président Nicolas Sarkozy vient au secours du bon sens et de la logique politique, en décrivant l'issue du référendum suisse comme "l'illustration que les gens, en Suisse comme en France, ne veulent pas que leur pays change, qu'il soit dénaturé. Ils veulent garder leur identité. Les Français ne veulent pas voir des femmes en burqa dans la rue, mais cela ne veut pas dire qu'ils sont hostiles à la pratique de l'islam."
En réponse à tous ces politiques qui se sentent obligés de s'excuser, comme d'habitude, y compris ceux qui disent lutter contre le politiquement correct comme Jean François Copé qui affirme que c'est "un message de stigmatisation d'une pratique religieuse". Comme si L'islam avait besoin de signes extérieurs toujours plus visibles pour exister et comme tous ces bien pensants qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs chaussettes.
Les Français dans leur immense majorité de droite comme de gauche sont las de ces représentants tremblotants et craintifs face aux réalités. Face à la volonté d’une minorité menée par Tarik Ramadan grand adorateur de son grand-père, créateur des Frères musulmans dont on connaît la nuisance extrémiste au moyen orient et maintenant en Europe.
La crainte face à cette minorité qui cherchent, depuis plus de 10 ans maintenant, à bousculer notre système de vie, notre laïcité, nos paysages par des signes de plus en plus ostentatoires d'une religion.
Plutôt que de dire que les français ont peur, sont populistes voire influencés par l'extrême droite, ces femmes et hommes politique qui parlent trop souvent au nom des français sans prendre la peine de les écouter, feraient bien de descendre de leurs estrades, sortir de leurs bureaux dorés et de comprendre. Réaliser enfin cette inquiétude qui monte, cette angoisse que se fait jour de plus en plus, cette volonté de ne pas vouloir changer leur mode de vie, d'être submergé par des usages et des coutumes venus d'ailleurs. Non pas qu'ils ne seraient pas capables de les accepter en les adaptant mais simplement parce qu'elles s'imposent quasiment par la force (les rues barrées pour les prières) ou dans les écoles par les exigences de traitement particuliers qui deviennent généraux dans la foulée (interdiction de manger du porc dans les écoles publiques) (horaires des piscines publiques aménagés pour les femmes sans les Maîtres nageurs habituels)! Par la force d'une volonté culpabilisatrice tous azimut en revisitant l'histoire de France dans le sens de la culpabilité comme si tous les pays du monde n'avaient pas des cadavres planqués dans leurs placards à commencer par les pays nouvellement indépendants comme l'Algérie! (Voir les moines assassinés par l'armée algérienne sans que celle-ci s'excuse elle, auprès de la France).
La France n’a jamais connu quoiqu’ils en disent, ce type d’immigration vivant dans l’exigence permanente. Que ce soit les Polonais, les Italiens, les Espagnols et bien d’autres avant eux ! Pour les plus récents, ils étaient fiers d’obtenir leurs cartes de séjour, leur carte d’identité, d'être devenus français et ne défilaient pas dans les rues de France en hurlant sales français lors des matchs de foot ou dans les cités!
Le nier est une aberration ! Faire semblant de ne rien voir, un scandale ! Ne pas comparer ces différentes immigrations est une tromperie car ces précédentes immigrations ne se sont jamais traduites par l’entrée de plusieurs millions d’immigrés dans les 35 dernières années et par la naturalisation de 100 000 d’entre eux par an !
Si à cela, s’ajoute des revendications contraires au bon sens politique et à rebours de la bonne volonté et la générosité des français, il faudra s’attendre à des réactions plus vives dans les années qui viennent !
Heureusement il existe encore des femmes et des hommes comme Nicolas Sarkozy qui sont conscients et sont à l’écoute des français ! Des femmes et des hommes qui ne sont pas obnubilés par les élections et prêt à abandonner l’intérêt général pour leurs intérêts particuliers ! C’est à cela que l’on reconnaît les grands hommes d’état et... les autres !
Gérard Brazon