La provocation islamique symbole du renoncement de l'occident. Par Enquête et Débat

Publié le 25 Septembre 2012

Des musulmans se plaignent une fois encore d’une provocation qui leur aurait été faite. Cette fois c’est une série Z diffusée sur Youtube, la dernière fois, un Coran brûlé, cette fois encore, des caricatures de leur prophète… Mais la logique de la provocation aurait plutôt tendance à désigner l’islam comme LA provocation majeure actuellement.

Burqas, voiles, minarets, halal dans les cantines, prières dans la rue, etc. : autant de provocations orchestrées par des musulmans, modérés ou non, si tant est que les musulmans modérés existent. S’ils existaient, ils manifesteraient massivement pour dénoncer les agissements insupportables d’autres musulmans moins modérés. Ils financeraient les gardes du corps d’apostats de l’islam. Ils militeraient pour la liberté de conscience, le droit à l’apostasie de l’islam. Ils se chargeraient de réformer l’islam en profondeur. On voit bien que les musulmans modérés n’existent pas. Pourtant, des musulmans et les grands médias veulent nous faire croire que ce sont les musulmans qu’on provoquerait, et non l’inverse.

Voici une preuve de plus que l’Occident a perdu cette volonté de défendre son modèle civilisationnel, tandis que l’islam l’affirme de plus en plus. Imaginez : un minaret de 20 mètres est en train d’être construit à Poitiers, mais aucun kouffar ne se sent provoqué ? Des burqas se balladent encore à Paris et ailleurs en France malgré la loi l’interdisant, mais aucun Français non-musulman pour se sentir provoqué ? Des voiles, indiquant que des femmes sont réservées aux musulmans, et que l’islam est de plus en plus présent et décomplexé dans notre pays, se multiplient un peu partout sur le territoire, mais aucune association féministe ou antiraciste n’y trouve rien à redire ? On crie dans Paris qu’il faut s’en prendre aux juifs, et on prie dans la rue sur les Champs-Elysées, après une manifestation non-autorisée et appelant à la haine, mais cela ne provoque personne, même pas la police française, ou ce qu’il en reste ? Des banlieues entières sont inaccessibles aux policiers, aux pompiers, et il faut désormais que des « grands frères » accompagnent les médecins lors des visites de nuit dans les quartiers sensibles : “Et si des « grands frères » accompagnaient les médecins lors des visites de nuit dans les quartiers sensibles? C’est l’idée de deux habitants de Mantes-la-Jolie, Khalid Balfoul et Majid Eddaikhane, qui ont grandi au Val-Fourré. En s’inspirant d’associations telles que SOS Médecins, ces deux habitants de Mantes-la-Jolie ont voulu faire revenir dans leur quartier des médecins qui ont déserté la cité, victimes la nuit d’incivilités et de problèmes de sécurité.” Le Parisien, 13 septembre 2012

Je propose une chose : jouons ce jeu du qui est le plus provoqué par l’autre, et l’islam se retrouvera rapidement perdant. Que se passera-t-il quand les voiles créeront des troubles à l’ordre public à cause de réactions plus ou moins légitimes ? Ou qu’une manifestation devant la mosquée de Poitiers pour dire stop à la provocation sera organisée ? Ou que des burqas seront localisables par tous sur une application Iphone et visualisables par tous ? Qui provoquera qui ? Et ces manifestations contre un film de série Z, ne sont-elles pas des provocations ? On voit bien qu’il s’agit de prétextes pour faire reculer un peu plus la République, ou ce qu’il en reste… La tester, encore et toujours, pour valider que les élites en place se couchent bien, comme en 38 à Munich devant Hitler. Mais qu’on ne s’y trompe pas, les premières victimes de l’islam, ce sont les musulmans.

Chirac restera dans l’histoire pour une histoire de provocation en Israël :

Hollande restera peut-être le complice historique de la provocation islamique.

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Le Nazislamisme

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