L'islam est cette boîte de Pandore. Restera-t-il l'espérance ? Par Gérard Brazon

Publié le 23 Août 2014

Gérard Brazon interview3 Par Gérard Brazon

Certains peuvent manquer de constance. Peuvent ignorer les faits. Peuvent se mettre la tête dans le sable. D'autres choisir le "vote musulman". Savoir mais ne pas prendre parti. Comprendre et ne pas bouger. Mais il y a pire ! Il y a ceux qui non seulement savent mais autorisent et permettent le crime contre nature, contre la culture, contre la France et ses origines judéo-chrétiennes, son histoire de 1500 ans d'âge et trompent sciemment les français qui les ont élus en pensant qu'ils allaient les protéger. 

J'ai écrit l'article suivant en Août 2009. Il n'a pas pris une ride contrairement à l'auteur. Il n'y a pas grand-chose à changer. A l'époque j'étais encore au Conseil National de l'UMP où j'espérais encore un sursaut, une application d'un programme même si je ne me faisais déjà plus trop d'illusions.

J'ai quitté ce parti politique de la honte peu de temps après. Il m'était devenu impossible de cautionner des dirigeants cyniques qui trahissaient ouvertement leurs électeurs. Le saltimbanque Nicolas Sarkozy bien sûr, mais aussi François Fillon qui a inauguré la mosquée d'Argenteuil et grand dépensier de l'argent public pour ses petits voyages en Normandie. Le triste sire et repris de justice Alain Juppé grand "subventionneur" de la mosquée de Bordeaux et qui prouva par la suite en soutenant la guerre en Libye et plus tard en Syrie, qu'il cultivait des liens avec les frères musulmans.

Toutes cette engeance est à vomir et je suis souvent agacé que des militants UMP n'aient toujours pas compris qu'ils ne sont que des moutons aux mains de bergers peu recommandables qui les amènent à l'abattoir. 

Depuis je suis au Front National et j'ai trouvé une justesse de ton, une conscience de la France qui souffre, une volonté d'agir pour soulager notre souffrance à tous devant les résultats de ces politiques de droite comme de gauche. 

C'est mieux en le disant.

Gérard Brazon

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Lundi 10 août 2009

L’Islam est vu comme la boite de Pandore pour les uns ou comme une bombe à retardement

C’est les vacances, le mois d’Août est propice au farniente mais aussi à la réflexion. C’est le moment de prendre conscience mesdames, sur les plages et dans les rues, sans pour autant paniquer, que les choses du quotidien sont en pleines mutations.


Des lecteurs me diront sans doute que ma plume s’engourdit, que ma verve s’assèche de n’écrire en ce moment que sur les libertés des femmes et principalement celles des femmes musulmanes. Je vais donc conclure pour le moment ma série d’article sur la burqa et le niqab en espérant tout de même que les femmes qui m’auront lu, au-delà des frontières de la ville de Puteaux, auront à l’esprit l'idée que la liberté n’est pas un bien impérissable.

Que la Liberté de la femme a d’abord été une conquête de leurs aînées et bien souvent dans le sang. Alors, si une religion, quelle qu’elle soit, une philosophie politique, quelle qu’elle soit, devait un jour attenter à cette liberté fondamentale de la femme à vivre libre et égale à l’homme, j’espère que vous ne serez pas les dernières à vous lever comme les femmes d’Algérie, d’Afghanistan et d’Iran contre la dictature des mots et des attitudes.  

L’Islam est vu comme la boite de Pandore  pour les uns ou comme une bombe à retardement pour beaucoup d’autres. Que ce soit nos dirigeants politiques mais aussi de nombreux responsables économiques. 
Pandore ou bombe pour des raisons d’intégration ou tout simplement pour faire face à une immigration massive qui fût le plus souvent incontrôlée.


Immigration de la misère venues d’horizons variés et souvent d’obédience islamique.  Ces dirigeants et responsable totalement dépassés par le phénomène s’alarment désormais ou baissent les bras. Pourquoi ?

La déchristianisation de l’Europe allant de pair avec la montée en puissance de l’Islam provoque des remous puissants que nos cultures occidentales ne peuvent plus tout à fait contrôler.

Notre culture Judéo-chrétienne est niée et reste niée à ce jour. Souvenons-nous de l’épisode Jacques Chirac qui avait refusé de l’intégrer dans ce qui failli être la constitution européenne pour ne pas offusquer la Turquie.
Notre culture Judéo-chrétienne est donc ravaler au niveau inférieur comme étant une réminiscence d’un temps dépassé si ce n’est passéiste au nom d’une politique culturelle minimaliste (voir les émissions de télévisions bêtifiantes) et par une politique de consommation à outrance de biens matériels.


Les particularismes des peuples sont réduits à leur petits travers, leurs cultures sociétales également. L’Europe sans frontière des marchands et des banques, tel un rouleau compresseur, écrase tout sur son passage. C’est donc sur vide culturel et cultuel que s’installe une religion et une culture radicalement différente qui n’a pas de contrepartie.

Ce qui fait dire à des extrémistes musulmans de l’Amicale de Créteil en novembre 1999 devant ce vide  "Ce Continent s'offre à nous, ou plutôt c'est Allah qui nous l'offre, comme un fier guerrier métamorphosé en femme soumise".

Gérard Brazon

 

 

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Islamisation française

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C
<br /> Je reste tout à fait d'accord avec votre texte de  2009. C'est ce que je pense depuis la fin de l'AFN en 1962.<br />
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P
<br /> J'avais voté pour Chirac en 1995 (au second tour). Quand j'ai compris que le RPR, sous son impulsion, était devenu une gauchiasse bis, je n'ai plus revoté pour lui. J'ai voté FN au second<br /> tour de 2002, et aujourd'hui, quand je vois la situation, et ce qui nous attend, j'en suis pluôt fière.<br />
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