Coups de gueule sur l'Europe passoire si loin des peuples.

Publié le 14 Avril 2010

            L'Europe n'a jamais était celle que l'on nous a affirmé, chaque jour, depuis 30 ans. Un pays comme le nôtre à moins de pouvoir que la Californie qui est pourtant un état fédéral. La faute à qui ?

         Cette Europe s'est construite sur l'économie, sur les entreprises, sur le capital bref, sur l'argent comme moteur. La notion de l'homme, du citoyen, de l'individu, de la culture des peuples, des ses langues et du respect de la démocratie a été totalement absente. Il y a un vrai désamour pour les uns, une confirmation pour les autres que cette Europe, au fond, ne parle à personne. Des symboles comme l'hymne européen, le drapeau, hormis pour les dirigeants des 27 pays, n'ont pas d'importance pour les citoyens lambda. Ce qui compte, pour les peuples, ce sont les symboles nationaux. L'Europe amène une manne financière certes, mais qui prendrait les armes, comme à Valmy, pour défendre une 'Europe sans âme et sans frontières existantes. Même le nom de la monnaie commune a été décidé dans les cabinets de Bruxelles entre des représentants de chefs d'états. Une commission nommée décide pour des millions d'européens. Une commission qui n'est pas élu par les peuples mais qui façonne peu à peu, le plus souvent de force,  nos modes de vie afin d'uniformiser le futur homo-européen avec un caddie greffé sur le ventre et la tête vidée de son particularisme, son nationalisme, sa culture. Pour quel résultat ? 

           Cette Europe n'a pas d'âme disais-je, n'a pas de tripe non plus. C'est une Europe passoire pour l'immigration clandestine, pour les financiers, pour les industriels, les entreprises, les délocalisations, pour nos riches artistes, acteurs et chanteurs décorés de la légion d'honneur qui nous font la morale et vivent aux Etats-Unis, (Halliday, Noah, Leboeuf, etc.) mais pour le tout venant, c'est surtout une Europe de la contrainte pour imposer des normes et contre les us et coutumes. Une Europe de contraintes pour le citoyen de base qui se lève tôt, galère à l'usine, aux champs ou dans les transports?  Une Europe désarmée pour lutter contre l'immigration irrégulière.

          Voici une vidéo venu de Belgique qui explique clairement comment faire pour s'installer en Europe. Une vidéo qui souligne combien il est inutile de mener un combat contre l'immigration clandestine sur le sol national quand personne n'a le contrôle des frontières et des lois pour y faire face. Faut-il en conclure que les discours sur l'immigration contrôlée, juste ou nécessaire, humanitaire et autres que nos politiques nous répètent ne sont en fait que des postures ?

Gérard Brazon

 

De RTL Belgique:

Ces derniers mois, le nombre de cohabitations légales augmente fortement, notamment dans plusieurs communes à Bruxelles. A Schaerbeek par exemple, on est passé d’une centaine de demandes par an à 180 rien que pour le 1er trimestre 2010. Parallèlement, le nombre de mariages blancs est, lui, en diminution.

Les autorités soupçonnent dès lors de nombreux cas de cohabitations entre un Belge et un étranger sans-papier afin que ce dernier obtienne une régularisation. Et cela n’est pas illégal puisque rien ne prévoit cette situation dans la législation belge. Au bout d’un an de cohabitation, le sans-papier obtient une régularisation.

 

Un double avantage

Des pratiques que Bernard Guillaume, échevin de l’état civil à Schaerbeek, observe régulièrement. "Il y a un afflux bien entendu des illégaux vers la cohabitation légale. C’est également une voie qu’empruntent ceux qui ont échoué au mariage, donc là où il y a eu refus de mariage. Ils vont alors tenter une cohabitation légale ", explique l'échevin ce vendredi matin sur Bel RTL

 

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Politique Française

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