Jean-Baptiste Santamaria : Pourquoi nous vaincrons l’islam, qui n’est fort que de nos faiblesses

Publié le 28 Septembre 2011

J'édite cette interview parce qu'elle redonne espoir, parce qu'elle nous confirme que nous sommes sur la bonne voie, parce qu'il faudra un jour que ceux qui pendant tant d'années nous ont "vendus pour un plat de lentilles" à l'Europe, à l'islam,  se retrouvent  face à leurs responsabilités.

 

 

Qui est Jean Baptiste Santamaria? Une des nombreuses victimes du harcélement syndicalo-marxiste. Il n'est pas bon d'être différent ou d'exprimer une différence politique dans des entreprises où les syndicats CGT, SUD, SNES et FO sont trop souvent en position dominante. Ils savent vous faire comprendre qui vous êtes à leurs yeux et vous indiquer la place "nauséabonde" et "heures les plus sombres" qui est forcèment votre place ! Alors si en plus vous avez fréquenté ou vous côtoyez des partis dits  "d'extrême droite" alors vous êtes bon pour le poteau d'exécution ou le pilori. Car ces vaillants démocrates ont en "sainte" horreur d'être pris en défaut. Avec eux, Staline n'est jamais bien loin mais ils oublient toujours le pacte Staline / Hitler de 1939!

Nombreux sont ceux qui connaissent Jean-Baptiste Santamaria, ce professeur de philosophie de Lunel, dont l'éloge n'est plus à faire : père de famille, tri-athlète, pédagogue de haut niveau, ancien syndicaliste, reconverti à la force du poignet alors qu'il avait débuté sa vie professionnelle comme ouvrier métallurgiste dans le Nord. Un parcours qui aurait pu (dû) se conclure par l'attribution des palmes académiques (Dixit Entraide-Solidarité)

Gérard Brazon

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 par Pierre Cassen

 

Riposte Laïque : Peux-tu expliquer à nos lecteurs, en quelques mots, ton étonnante situation dans l’Education nationale, depuis plus de dix ans, et les derniers événements qui viennent de t’arriver à Lunel ?

Solidarité avec Jean-Baptiste Santamaria

Jean-Baptiste Santamaria : Il y a une douzaine d’années j’ai réagi en salle des professeurs, par l ‘affichage d’un libelle, aux méthodes staliniennes des progressistes et droit de l’hommistes. Notre région (Languedoc Roussillon) était la seule où la droite libérale avait fait alliance avec le FN. Les lycées étant financés par la Région, un des élus siégeait de droit au conseil d’administration de ce lycée à Lunel.

J’y étais professeur de philosophie. Militairement le SNES, la FCPE et certains élèves embrigadés empêchent l’élu (par ailleurs FN) d’entrer et d’exercer son mandat. A l’époque mon parcours politique sensibilisé par la lutte contre les totalitarismes m’avait conduit à penser que le fascisme ne constituait pas un danger dans la période actuelle, que le FN n’était pas un parti fasciste et qu’aujourd’hui l’anti-racisme et le droit de l’hommisme dans le prolongement du stalinisme constituait le « danger principal », ce que Finkielkraut appellera le communisme du XXI° siècle.

Au nom du libre exercice par un élu de son mandat j’ai dénoncé ces agissements totalitaires. L’éducation restait un des fiefs de la Gauche traditionnelle. Celle-ci était orpheline du prolétariat et était en cours de transfert de l’anti-fascisme à l’anti-racisme. Maintenant les méthodes et les intérêts sociaux sous-jacents de « reductio ad hitlerum » de toute contestation.

Immédiatement, je suis l’objet de rumeurs dans la presse aux ordres (négationnisme, croix gammées sur les copies et j’en passe, déclarations d’élèves disant que depuis qu’ils m’avaient ils ne savaient plus ou étaient le bien et le mal…interrogation qui est le but même de cette année de Philo) et de « mobilisation » des bien-pensants.

La communauté juive de Lunel et Montpellier et même de Paris (pieds-noirs d’Algérie, notamment le fils de l’historien Georges Bensoussan) se mobilise en ma faveur. Daniel Bensoussan (alors au CRIF et ayant mené une lutte contre la chaîne Al Djezira) écrit au rectorat et les anti-racistes prennent alors la voie plus vague de l’extrême-droite avant que d’inventer le nouveau fourre-tout d’Islamophobe.

Je perds dans un premier temps le tiers de ma classe de terminale ES (les 2/3 votent mon « maintien ») et garde la totalité de mes autres classes dont une terminale Littéraire option cinéma, traditionnellement plutôt apprentis bobos. L’année suivante je suis déplacé à Lattes dans un lycée mais in-partibus, sans élèves. Alors que le professeur de terminale L (8 heures hebdo) est malade et la classe reste de longs mois sans professeur , moi dans la salle vide à côté…

Suivent dix ans de placard complet ou de balayage de Bibliothèque ou au contraire de chevauchement sur deux lycées ou de suspension de salaire, menace de radiation sous les huit jours sans passage en commission ou d’envoi au fin fond du département dans le but de faire craquer la bête immonde. Je passe pudiquement sur les rapports de certains proviseurs, les communiqués de délation des « collègues » du SNES et toutes les petites vexations au jour le jour de la bureaucratie weberienne.

Je ne suis reçu ensuite qu’au bout de six ans au rectorat. On m’y dit que je n’aurai jamais de poste fixe, encore moins sur Lunel car ma présence dans un établisssement (je cite) constitue un trouble à l’ordre public. Enfin après dix ans, le médecin du rectorat me convoque et me suggère fortement de fournir un certificat médical.

Suivent deux ans de « longue maladie » administrative. Puis il me semble que s’opère un changement de cap sous le coup de ce que je crois un raté de la bureaucratie ou les besoins dus aux « tensions sur le marché » des professeurs disponibles… Le 2 Juillet je suis affecté sur un poste définitif dans un nouveau lycée à Lunel où je réside.

Je me présente à la rentrée précédé d’une campagne de dénonciation préalable menée par le SNES et la FCPE dans Midi-Libre et FR3 Languedoc-Roussillon. Malgré tout, les élèves prévenus de la toxicité de mes pensées, me font bon accueil et nombreux sont ceux qui interviennent sur le site de Midi-Libre en ma faveur.

Dix jours d’enseignement puis le proviseur – fort contrit au demeurant – me convoque et me signifie que mes classes me sont retirées immédiatement. Un obscur conseil médical a décidé que mon état de santé m’empêchait d’excercer. Mes élèves de terminale L et S option SI lancent une pétition pour ma ré-intégration sur le poste.

FR3 tente de désamorcer par une fausse nouvelle: je serais non viré mais « déplacé à Montpellier car en fin de mission »…

Riposte Laïque : Quel est ton regard, après un tel vécu, sur la réalité de l’Education nationale, et surtout, quelles solutions proposerais-tu ? 

Jean-Baptiste Santamaria : L’éducation nationale est un fossile. Elle est en retard sur le reste de la société civile. Durant deux siècles la gauche a mené un très bel effort militant sur ce secteur et en touche actuellement les dividendes. D’ailleurs, contrairement au credo économiciste libéral ou marxiste, elle a montré par là que la lutte des idées est centrale par rapport à la lutte dans les forces productives. Mais cette hégémonie est en chute libre.

Les solutions? Transférer les tâches éducatives (à la famille, à des forces mixtes d’auto-défense, aux églises et j’en passe) et se concentrer sur l’instruction. Se borner dans celle-ci au basique (niveau de maîtrise du certif d’antan) jusqu’à 16 ans pour la plupart.

Restaurer les humanités et l’EPS au même niveau de sélectivité que les maths. Restaurer l’autorité et resanctuariser l’Instruction publique.

Riposte Laïque : Tu as un parcours des plus originaux. Tu as commencé à la Ligue communiste Révolutionnaire, tu as été syndicaliste CGT en usine, et tu t’es tourné vers ce qu’on appelle l’extrême droite, FN ou Identitaires. Peux-tu expliquer à nos lecteurs les réflexions qui ont pu t’amener à une telle évolution ?

Jean-Baptiste Santamaria : Après trois ans dans les troupes aéroportées j’ai intégré à 20 ans les IPES en Lettres à Montpellier. Séduit par l’imaginaire prolétarien je démissionne des IPES et entre en usine sidérurgique (j’étais un peu curé à l’époque…) à Usinor Dunkerque en 1975, première concentration prolétarienne de France où je vis les dernières grandes luttes du prolétariat d’avant le premier choc pétrolier.

- Délégué CGT de l’aciérie 1. Shell Chimie Aubette démarre une usine à Berre, avec mon CAP j’entre comme opérateur et fonde la section CGT que je dirige un peu moins de dix ans.

Voilà pour le parcours prolétarien. Mais les idées vertèbrent ma progression existentielle. Ecologiste et situationniste en 1973 si j’intègre le FCR puis LCR en 1975 c’est par souci d’efficacité. Dès le départ en désaccord avec la ligne majoritaire je cofonde la tendance B anti-trotskiste donc anti-léniniste.

Cette rupture d’avec le bolchévisme se poursuit par celle d’avec le marxisme puis ensuite d’avec toute référence au messianisme prolétarien. Cornelius Castoriadis est l’élément moteur de ces modifications. En bon cartésien je tire le fil : de Castoriadis à Merleau-Ponty puis Heidegger. Enfin j’arrive à Julien Freund, Jules Monnerot et à l’Espagnol Ortega y Gasset. Simone Weil et Hannah Arendt baliseront mon approche du déracinement, des limites de l’universalisme, du totalitarisme face au besoin d’identité. C’est là le noyau métaphysique de mes croyances c’est ce niveau que je crois déterminant.

La politique c’est à dire mon appartenance ponctuelle (« il n’y a que les huîtres qui adhèrent… » disait Valéry) n’est que le résultat d’un compromis pratique avec le réel et les organisations politiques qui apparemment le structurent (mais j’en suis de moins en moins certain). D’où mon appartenance ensuite au FN, au MNR au Bloc Identitaire comme autant de moments dans une démarche de combat de l’Ennemi (pour moi l’Islam ) et la poursuite de l’imaginaire occidental (le regard vide si bien décrit par JF Mattéi).

Riposte Laïque : Tu te présentes volontiers comme occidentaliste. Quelles valeurs mets-tu dans cette définition, et quelle place accordes-tu à la République une et indivisible dont se réclame notre site, et aux principes laïques ?

Jean-Baptiste Santamaria : Occidentaliste est un fourre-tout pratique. Pour me distinguer de l’extrême droite traditionnelle ou de la Nouvelle droite classiquement anti-américaine et anti-sioniste.

Bien sûr critique du modèle anglo-saxon en voie d’hégémoniser l’Europe je le rattache cependant à notre imaginaire traditionnel.

Pour moi le compassionnel protestant US, les droits de l’hommes comme le totalitarisme sont le fruit de notre histoire commune dont j’hérite en bloc. Et comme notre imaginaire implique (contrairement aux autres dans le monde) l’activité critique et réflexive… Je suis d’autant plus occidentaliste que je critique le consumérisme et le droit de l’hommisme (que je défendrais, bec et ongles, contre l’Autre).

Idem pour Israël que je considère comme une tribu européenne. En Israël vous voyez des manifs pro-Palestine, la réciproque n’est pas vrai.

La République et la Nation ne sont qu’un moment de l’histoire de nos peuples. Moments que je considère avec tendresse et fierté. Connaissant la folie prométhéenne de nos tribus je me doute que ces formes historiques sont caducques. Mais en tous cas, je les défends comme production de notre imaginaire occidental. Et bien sûr les transformations qui les affecteront doivent échapper à toute pression de l’Autre, l’Islam ou la Chine en l’occurence. Idem pour la laïcité déjà inscrite dans l’Aristotélisme ou les évangiles..

Riposte Laïque : Toi qui a eu un parcours politique mouvementé, comment as-tu ressenti l’apéro saucisson-pinard et les Assises sur l’islamisation de nos pays, où les Identitaires, à qui tu as appartenu, Riposte Laïque et d’autres ont uni leurs efforts, malgré des divergences assumées ? Y vois-tu une possible recomposition politique, et si oui, autour de quel projet ?

Jean-Baptiste Santamaria : C’est avec joie que j’ai vu trois courants s’unir à cette occasion, chacun avec ses spécificités, ses points forts de mon point de vue.

Renaud Camus s’y est exprimé avec sa vibrante pédagogie coutumière, le Bloc Identitaire a fait preuve de sa fonctionalité, son efficacité militante, Riposte Laïque a réinvesti toutes ces traditions de dialogue militant issues du meilleur du mouvement ouvrier.

Ma recomposition rêvée? La doctrine du parti de l’In-nocence (Renaud Camus), la fougue des Identitaires et son ancrage dans la jeunesse, la liberté de débat et la démocratie organisationnelle de Riposte Laïque issues de la tradition des groupes ouvriers anti-totalitaires et tout cela sur l’assise électorale de la Droite populaire et du FN….(Oh combien j'approuve et j'applaudis des deux mains - Ndr de Gérard Brazon)

Riposte Laïque : Les islamistes ne cachent plus leur certitude de conquérir la France et l’Europe, ils estiment que ce n’est qu’une question de temps, et de démographie. Crois-tu en un sursaut du peuple de France, et sous quelles formes le crois-tu possible ?

Jean-Baptiste Santamaria : Evidemment le combat contre l’Islam est bien engagé et nous en sortirons vainqueurs.

Tous les « indicateurs » de l’opinion de la société civile de nos contrées sont en adéquation avec nos conceptions résistancialistes. Nos peuples souhaitent conserver leurs us et coutumes qu’ils jugent bons ou du moins supérieurs aux principes de l’Islam.

L’Islam est fort de notre faiblesse, nous peuples policés d’Occident. Ces peuples ont connu des moments dans l’histoire des deux derniers millénaires bien plus délicats.

La lutte contre l’Islam implique donc un resaisissement qui passe par la restauration du primat du politique donc de l’encadrement de l’élite productiviste.

Bien sûr, des débats et des conflits auront lieu. Débats qui seront arbitrés, nous le souhaitons, par une élite intellectuelle que nos peuples et nos institutions continuent de produire en nombre et qualité. Débats sous la vigilance de ce peuple toujours mieux nourri,soigné et moyennement instruit et peut être pas plus mal éduqué qu’avant 14.

C’est ces débats qui agitent toute la société civile que ces courants mentionnés plus haut doivent mener dans la liberté de confrontation la plus totale.

Propos recueillis par Pierre Cassen

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Politique Française

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L
<br /> <br /> 100% d'accord avec les propos de Me Collard, mais j'ai terriblement peur qu'ils n'en aient que peu d'impacts sur le reste de la population, hélas. De plus, je pense que dans très peu de temps,<br /> nous ne pourrons même plus échanger nos idées sur le net, la police des pensées veille. Hier, j'ai suivi, sur le site "d'Enquêtes et Débats" une conférence d'un homme passionnant qui traduit le<br /> coran en plusieurs langues, et nous en explique les contradictions dans notre monde actuel et ses dangers. Il vit en suisse, est chrétien d'origine palestinienne (j'y ai appris à cette occasion<br /> que les palestiniens, autrefois, étaient chrétiens!!!)Il nous explique les dangers des frères ramadan, que lorsque l'Egypte sera complètement sous leur coupe, alors l'Europe sera en grand danger.<br /> Il n'incrimine pas les musulmans mais surtout tous nos dirigeants. Je voulais faire circuler ce témoignage de grande importance, malheureusement sur le même site plus aucune trace!!!! Plus<br /> qu'étrange, non? Je n'ai malheureusement pas noté le nom de cet intervenant mais peut-être que quelqu'un le connait!<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Comme on a fait souffrir ce professeur,comme ces idéologues sont tordus et arriérés, comme c'est abominable de confier des enfants à ces criminelles de la pensée!!!!!!<br /> <br /> <br /> Un vent de liberté souffle heureusement et nous apporte la délivrance de la parole qui précédera le réveil des citoyens :<br /> <br /> <br /> Maitre Collard nous parle:<br /> <br /> <br /> 2011/09 Déclaration de guerre de Me Gilbert Collard à l'islam qui envahit et pollue notre patrie.<br /> <br /> Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres. Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en<br /> veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif.<br /> <br /> <br /> Je nie le droit de l’islam à prospérer en France.<br /> <br /> <br /> Je nie que l’islam soit une religion. C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de<br /> s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”.<br /> <br /> <br /> Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son<br /> caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs. Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou<br /> sculptural. Rien. Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour<br /> cause, un Real del Sarte islamiste.<br /> Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France. Aucune oeuvre d’art, on l’a vu. Aucune oeuvre de<br /> charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative. Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de<br /> l’islam” ( la Zakkat. En français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité) ?<br /> <br /> <br /> Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatwa a jamais fait pour les pauvres, les malades,<br /> les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire<br /> intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les<br /> chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam. Aucune oeuvre de progrès, enfin. On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de<br /> mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie. ils ont été les récepteurs de quelques-uns de ces savoirs et leurs vecteurs: il y a loin de là à l'invention<br /> qu'on veut leur imputer !!!! Mais c’est se foutre du monde ! Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans. Où sont les Pasteur, les<br /> Curie, les Pascal islamistes ? Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique,<br /> artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu<br /> prospérer en dépit de cet obscurantisme.<br /> La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous. La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe<br /> (donc de la France ) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud. L’islam “à la française” est une double absurdité et<br /> un crime de haute trahison. Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’Oumma, loi islamique qui nie la nation. Parce<br /> que les politiciens renégats qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois<br /> ans, se résignèrent à la Collaboration. La différence entre les Collabos d’hier et les “Coallahbos” d’aujourd’hui, c’est que Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le<br /> regroupement familial (très grave erreur...). Chirac n’a cesse, après Mitterrand, de le répéter. Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de<br /> zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs “milices antiracistes” n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui<br /> entendent le rester.<br /> <br /> <br /> Jamais la France n’a été aussi gravement malade. Infecté par le sida de la “coallahboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les<br /> défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif. Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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