Hollande, un président névrosé, ridicule, dérisoire et grotesque aux yeux de ses propres ministres
Publié le 10 Septembre 2013
Par Guy Sauvage pour Riposte-Laïque
1) Ses femmes : il les choisit dominantes, castratrices, plutôt arrogantes, vaniteuses et mal élevées, aimantées par le pouvoir, avec un narcisson particulièrement développé.
C’est en général le choix masochiste de qui apprécie être malmené et méprisé tout en s’imaginant séducteur, donc supposé sûr de lui.
2) Sa « tenue » corporelle : rarement, on a pu voir un dirigeant aussi mal dans son corps.
Sa gestuelle pathétique de pantin désarticulé, inadaptée à son discours, son débit haché, rapide et hésitant à la fois, sa voix instable et mal placée, mal fagoté dans ses vêtements inadaptés quel que soit leur coût, coupés trop grands pour un personnage trop petit, sa démarche inélégante et incertaine, son air de chien perdu lors de ses déplacements et son ébauche de rire idiot et contrefait, brocardé des humoristes :
Tout cet ensemble converge en résultante d’un personnage médiocre qui a « réussi » sa trajectoire en élaborant son intelligence au service de la compensation de sa névrose.
3) Ses « promesses », susceptibles de combler ceux qui y croient: bien sûr, aucun politique ne les tient, sûr de l’amnésie et de l’impunité, mais avec lui, cela relève d’une forme de chef d’œuvre :
- Une éthique irréprochable : avec Lui-président, il n’y aurait plus jamais la corruption attribuée au précédent pouvoir. Effectivement, il y en a beaucoup plus, et avec un cynisme rarement aussi direct (« les yeux dans les yeux …» de Cahuzac), garant d’une pâle apparence de moralité.
« Nous ne sommes pas comme vous nous voyez, nous sommes comme nous désirons être, en sachant que nous ne le sommes pas »…
- Le président de tous les français : sauf, ceux qui ne sont pas d’accord, ceux qui protestent, « la droite », et aujourd’hui près des ¾ de non hollandois… Petit président de parti ( en courant).
Mais le pilier le plus solide de la névrose est sans conteste le DÉNI de la réalité, avec recours à la pensée MAGIQUE. La réalité n’existe pas, elle est remplacée par le désir qu’elle soit autre, et par le lourd replâtrage d’une néo réalité (cela s’appelle aussi le mensonge):
Certes, utilisé par tout pouvoir afin d’estomper échecs et fourvoiements, le déni de réalité atteint actuellement des sommets rarement atteints :
- Vous VOYEZ en direct des émeutiers manifestement banlieusards haineux piller et agresser des passants au Trocadéro, à Brétigny et ailleurs…
MAIS on vous affirme qu’il faut VOIR les malversations des …crânes rasés d’extrême droite.
- La délinquance, le racisme, les agressions physiques quotidiennes, sont majoritairement le fait de populations immigrées non insérées, de français de papiers non intégrés, comme le prouvent les pourcentages carcéraux…
MAIS la « menace » émane évidemment du racisme (blanc sec), et de l’épouvantail réanimé de l’extrême droite bien inexistante (et qui donc menace aujourd’hui les valeurs de la République ?).
- Ces banlieusards racistes « connus des services de police », malheureuses victimes stigmatisées par notre abjecte société française doivent être accompagnés dans leur trajectoire de rédemption, sans traces de répression odieuse, et éduqués par la bienveillance judiciaire qui leur évitera la prison destructrice de leurs bons sentiments.
MAIS les Veilleurs polis et silencieux, les opposants sociaux non violents, les sites d’information mal pensants trouvent à qui parler grâce à l’agressivité judiciaire des auteurs du Mur des cons. Lourdes amendes et prison « préventive » s’avèrent hautement éducatifs pour eux.
- Le sectarisme, asile non temporaire de la névrose et de la dissolution des nuances, où le monde manichéen se partage entre les tous-bons (ceux qui pensent bon, en bonne odeur de sainteté), et les tous-mauvais, (qui pensent mal et nauséabond, tous d’extrême droite nazie ou en voie de contamination).
- Les incohérences majeures : personne n’est, bien sûr, à l’abri, mais lorsqu’on combat les armes à la main l’islam dit radical au Mali, et qu’on le soutient en Libye, en Syrie *, en Egypte et ailleurs, qu’on ferme les yeux devant sa réalité montante en France, à quel moment apparaitra une cohérence minimale ?… sauf à donner des gages à ce qu’il y a de pire dans les valeurs d’Arabie, du Qatar et d’Al Qaïda, réunies dans le même camp des fous religieux discordants…
- Impossible d’être exhaustif devant les violences religieuses déguisées en faits divers isolés, les serments réitérés et toujours trahis de pauses fiscales, la cacophonie propre à l’errance d’orientations, etc.
- Ce président névrosé, ridicule, dérisoire et grotesque aux yeux de ses propres ministres et soutiens (« fraise des bois », fainéant, capitaine de pédalo, incapable, etc…), des dirigeants mondiaux, ce bonheur des humoristes, ce pitoyable pape de transition et d’indigence, se croit « normal » alors qu’il ne fait que tenter d’imposer SES propres normes énormes au pays blessé, un genou à terre et bientôt peut-être couché ou prosterné.
Les certitudes du névrosé l’assurent que son discours supérieur s’adresse à un peuple plus stupide qu’il n’est.
Les remèdes du névrosé SONT le problème.
Guy SAUVAGE
* La notion même de « punition » (disproportionnée ?..), surtout devant l’horreur égale des 2 camps en cause, relève d’un incroyable infantile dans l’ »analyse » de la situation. Ce « tu vas voir ta gueule à la récré » est pitoyable, consternant, irresponsable, contre productif et inutilement dangereux.