Hitler, sa haine du christianisme, du judaïsme et de notre civilisation: prélude à l'actuelle civilisation européenne, gauchiste et nazislamiste.
Publié le 2 Mars 2013
[...] il est certain que Jésus n’était pas juif. Les Juifs d’ailleurs le traitaient en fils de putain — le fils d’une putain et d’un soldat romain. T1 p.76
Quel besoin avons-nous d’une fable inventée par les Juifs ? En quoi l’histoire de quelques Juifs pouilleux et épileptiques pourrait-elle nous concerner ? T2 p.257
Le coup le plus dur qui ait frappé l’humanité, c’est l’avènement du christianisme. T1 p.7-8
Le christianisme constitue la pire des régressions que put subir l’humanité. T1 p.312
Si le monde antique a été si pur, si léger, si serein, c’est parce qu’il a ignoré ces deux fléaux : la vérole et le christianisme. T1 p.75-76
Le christianisme est insupportable quand il défend les faibles :
Du fait de la lutte, les élites se renouvellent constamment. La loi de sélection justifie cette lutte incessante en vue de permettre aux meilleurs de survivre. Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique du déchet humain. T1 p.51
Le christianisme est insupportable quand il affirme que Dieu est la source de la vérité et de l’amour :
[…] le christianisme montre l’exemple. Quoi de plus fanatique, de plus exclusif et de plus intolérant que cette religion qui rapporte tout à l’amour du seul Dieu qu’elle révèle ? T2 p.39
Heureusement, le national-socialisme est venu libérer la jeunesse et lui enseigner la vérité :
Nous veillerons à ce que les Églises ne puissent plus répandre des enseignements en contradiction avec l’intérêt de l’État. Nous continuerons à affirmer la doctrine nationale-socialiste, et la jeunesse n’entendra plus que la vérité. T1 p.62
Le christianisme serait ennemi de la beauté :
Il arrive à la musique ce qui arrive à la beauté dans un monde dominé par la prêtraille – la religion chrétienne est ennemie de la beauté. T1 p.314
Le christianisme a commis le crime d’empêcher la domination du monde par des Germains islamisés :
Le christianisme a retardé de mille ans l’épanouissement du monde germanique. T1 p.78
La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animé d’un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés.T2 p.297
Le christianisme est une maladie mentale :
Mais le christianisme est une invention de cerveaux malades.T1 p.141
[…] l’Église catholique a choisi des déments pour en faire des saints. T2 p.149
La fin du christianisme doit permettre l’avènement d’une ère detolérance :
Notre époque verra sans doute la fin de la maladie chrétienne [...] Nous entrons dans une conception du monde, qui sera une ère ensoleillée, une ère de tolérance. T1 p.332
Le monde vit en ce moment l’une des révolutions les plus importantes de l’histoire humaine. Nous assistons aux derniers soubresauts du christianisme. Cela a commencé avec la révolution luthérienne.T1 p.325
L’Église catholique est fortement impliquée dans la résistance au nazisme :
L’Église catholique n’a qu’un seul désir, c’est notre effondrement. T2 p.257
[…] la principale activité des curés consiste à saper la politique nationale-socialiste. T2 p.51
Attendons la fin de la guerre, et un terme sera mis au Concordat. Je me réserve le plaisir de rappeler moi-même à l’Église les nombreux cas où elle l’a violé. Qu’on songe, par exemple, à la collusion de l’Église avec les meurtriers de Heydrich. Non seulement des prêtres leur ont permis de se cacher dans une église de la banlieue de Prague. Mais ils leur ont permis de se terrer dans le sanctuaire de cette église. T2 p.189
L’Église catholique gêne aussi Mussolini :
Le Duce m’a dit à Venise, en 1934 : « Un jour viendra où le Pape devra quitter l’Italie, car il n’y a pas place pour deux maîtres. » T2 pp.238-239
Hitler voue aux prêtres une haine féroce depuis son jeune âge :
À part quelques culs bénis, je puis dire qu’aucun de mes camarades ne croyait plus au miracle de l’eucharistie. La seule différence avec aujourd’hui, c’est qu’à l’époque j’étais persuadé qu’il fallait faire sauter tout cela à la dynamite. T1 p.314
La calotte ! Le simple fait d’apercevoir un de ces avortons en soutane me met hors de moi. T1 p.311
[…] si je devais mourir aujourd’hui, cela me choquerait de savoir qu’il se trouve un seul cureton dans un rayon de dix kilomètres autour de moi. L’idée qu’un de ces êtres pourrait m’apporter le moindre secours me ferait à elle seule désespérer de la Providence. T1 p.332
De terribles persécutions menacent désormais les prêtres :
Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé eût été exterminé. T1 p.310
Après cette guerre, je prendrai les mesures nécessaires pour rendre extraordinairement difficile le recrutement des prêtres. T2 p.52
Le mal qui nous ronge, ce sont nos prêtres des deux confessions […] Toujours est-il qu’en présence de leurs manœuvres j’ai été amené à prendre ma décision. Ils n’ont qu’à bien se tenir, ils auront de mes nouvelles. Je ne me laisserai pas arrêter par des scrupules d’ordre juridique. Seule la nécessité a force de loi. Avant 10 ans d’ici, tout aura pris une autre allure, je puis le leur promettre. T1 p.294
Pour ne pas me rendre complice du mensonge, j’ai tenu la prêtraille à l’écart du Parti. Je ne crains pas la lutte. Elle aura lieu, si vraiment il faut en arriver là. Et je m’y déterminerai aussitôt que cela me paraîtra possible. T1 p.243
Voir en ligne : Adolf HITLER, Libres propos sur la guerre et la paix.
Notes
[1] Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann. Le temps présent, FLAMMARION. Tome 1, 1952. Tome 2, 1954. Version française de François GENOU.