A propos de la Libye, M. Guaino a jugé que le pays était déjà "désagrégé bien avant que la France n'intervienne parce que c'est un Etat qui reposait sur des bases tribales et qu'une partie du pays, notamment du côté de Benghazi" faisait sécession, influencé par l'"onde de choc" des révolutions tunisienne et égyptienne.
"A ce moment-là, est survenue une guerre civile durant laquelle le colonel Kadhafi a menacé d'écraser dans le sang une partie de sa population. Et c'est à ce moment-là que, pour éviter un bain de sang, la France, accompagnée d'autres pays, est intervenue", selon lui.
AFP // Figaro Flash