Europe ou la mort des nations. L'Europe responsable de la dictature de la pensée! Commentaires Gérard Brazon.
Publié le 24 Janvier 2012
Pour ceux qui pensent que l'Europe n'est pas le problème des peuples, l'origine de la mort de nos cultures, l'extinction volontaire de l'idée de nation, lisez cet article - tout ce qu'il y a de plus officiel. L'Europe c'est notre mort programmée.
Gérard Brazon
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Recommandation 1975 (2011)1
Vivre ensemble dans l’Europe du XXIe siècle: suites à donner au rapport du Groupe d’éminentes personnalités du Conseil de l’Europe
1. L’Assemblée parlementaire prend note du rapport du Groupe d’éminentes personnalités intitulé «Vivre ensemble – Concilier la diversité et la liberté dans l’Europe du XXIe siècle», présenté le 11 mai 2011, à l’occasion de la 121esession du Comité des Ministres à Istanbul. L’Assemblée espère que le rapport insufflera un regain d’élan et d’engagement politique à diverses activités présentes et futures du Conseil de l’Europe dans le cadre du processus de réforme de l’Organisation.
2. L’analyse menée par le Groupe d’éminentes personnalités offre une base de réflexion sur l’avenir de l’Europe, qui devra impliquer les responsables politiques, les organisations non gouvernementales (ONG), les syndicats, les organisations de jeunesse, les universitaires, ainsi que les représentants des cultes, des médias et des pouvoirs locaux de différents pays et origines. Dans plusieurs domaines, les conclusions du groupe confirment les positions déjà prises par l’Assemblée, tout en suggérant dans certains cas des solutions différentes pour atteindre des objectifs comparables. Le défi était, et reste encore, d’assurer la mise en œuvre dans une situation que le groupe qualifie, à juste titre, de «crise du leadership».
3. De son côté, l’Assemblée est prête et disposée à contribuer aux changements nécessaires pour apporter aux sociétés européennes une plus grande cohésion afin que chacun puisse pleinement bénéficier du «vivre ensemble». Aussi souhaite-t-elle faire part au Comité des Ministres de ses propres réflexions sur la question et proposer des moyens concrets de mettre en œuvre les propositions dans la limite de ses compétences et de ses priorités.
4. L’Europe est multiculturelle et les peuples européens ont prouvé qu’ils étaient capables de vivre ensemble dans la diversité et de construire ensemble leur avenir commun. Si le multiculturalisme connaît des difficultés croissantes au niveau national dans différents pays européens, l’Assemblée reste fermement convaincue que l’assimilation n’est pas une alternative. La réponse à ces difficultés est une approche interculturelle impliquant une interaction active de groupes culturellement différents au sein de la société, afin de développer le meilleur modèle du «vivre ensemble». Il convient de promouvoir le renforcement de valeurs et d’une identité européennes communes de manière à ne pas éliminer les différentes cultures des groupes spécifiques, mais en préservant et en intégrant leurs spécificités au sein du cadre européen commun. Ce processus peut être mis en péril par une politique de plus en plus populiste, xénophobe et identitaire, assortie de discours à visée courte et purement électoraliste. En conséquence de quoi, l’Assemblée en appelle aux Etats membres pour élaborer des politiques prévenant ce type de pratiques négatives. (Du discours qui sent le bolchévisme, la dictature de la pensée, la négation des nations, l'intégration de gré ou de force. ndlr Gérard Brazon)
5. Le respect de sa propre culture permet de mieux comprendre la culture d’autrui et de considérer les différences comme normales et enrichissantes. Hormis l’obéissance à la loi, qui est un élément important de la culture démocratique, d’autres éléments culturels sont à prendre en compte.
6. Les personnes qui viennent légalement vivre dans un pays ne devraient pas avoir à abandonner des éléments de leur identité (croyance, langue, culture, etc.). Elles devraient toutefois se montrer disposées à s’intégrer dans la société du pays d’accueil, en apprenant la langue de ce pays, mais aussi en acquérant une connaissance et une compréhension de la culture locale; elles doivent respecter la démocratie, les droits de l’homme, y compris les droits des femmes, et l’Etat de droit. Ceux qui choisissent de changer de foi ou de culture ne devraient pas être mis au ban de leur communauté d’origine. (Ils expliqueront cela aux islamistes qui leur diront qu'il n' y a pas d'autre dieu que dieu et que Mahomet est son prophète et qu'en conséquence, seule la charia peut s'appliquer aux musulmans et que l'Europe sera musulmane. Ce n'est pas moi qui le dit mais les islamistes. Ces européistes sont ailleurs, ils sont en dehors des réalités. Ndlr Gérard Brazon)
7. Comme l’Assemblée l’a souligné à maintes reprises, l’éducation est le principal outil – mais non le seul – dans la lutte contre les informations trompeuses et les clichés à l’encontre de certains groupes. En outre, l’éducation est indispensable au bien-être individuel et sociétal et au développement culturel, en l’absence desquels la démocratie, les droits de l’homme et l’Etat de droit perdent tout fondement. La capacité à accueillir et à valoriser la diversité dépend largement d’une éducation de qualité. Les recommandations spécifiques du Groupe d’éminentes personnalités sur ce point demandent à être complétées en mettant l’accent sur la formation des enseignants. Les activités du Conseil de l’Europe dans des domaines comme l’éducation à la citoyenneté démocratique ou l’enseignement de l’histoire devraient être intensifiées.
8. Dans ce contexte, l’Assemblée rappelle la Déclaration et le Programme de 1999 du Comité des Ministres sur l’éducation à la citoyenneté démocratique fondée sur les droits et les responsabilités des citoyens et estime que leur mise en œuvre pourrait largement contribuer à développer un esprit européen au sein de la société. Ainsi invite-t-elle les Etats membres à mettre en œuvre à la fois le Programme de 1999 et la Charte (plus récente) du Conseil de l’Europe sur l’éducation à la citoyenneté démocratique et l’éducation aux droits de l’homme, adoptée par le Comité des Ministres en 2010, en prenant des mesures concrètes adaptées à leurs spécificités locales.
9. L’Assemblée rappelle sa Résolution 1754 (2010) «Lutte contre l’extrémisme: réalisations, faiblesses et échecs», dans laquelle elle «déplore que le défi consistant à instaurer plus d’éthique en politique en ce qui concerne le traitement des questions touchant à la race, à l’origine ethnique et nationale, et à la religion soit encore à relever». Les représentants élus ont une responsabilité bien spéciale de changer la situation, tant à titre individuel qu’en tant que membres des organes au sein desquels ils sont élus, que ce soit au niveau local, régional, national ou international. A cet égard, l’Assemblée rappelle que les responsables politiques sont tenus d’éliminer du discours politique les stéréotypes négatifs et les stigmatisations de toute minorité et de tout groupe ethnique ou de migrants, qu’ils se trouvent ou non à l’intérieur des frontières de leur Etat. Il leur appartient de promouvoir un message de non-discrimination, de tolérance et de respect vis-à-vis des personnes d’origines différentes. (La dictature de la pensée à l'oeuvre trouve sa source dans cette assemblée ce qui prouve que les pays n'ont de souveraineté que le temps à mettre pour aboutir à cette résolution. Ndlr Gérard Brazon)
10. L’Assemblée regrette que, comme le soulignent plusieurs passages du rapport du Groupe d’éminentes personnalités,(On ignore les noms de cette gouvernance des idées. Qui sont ces dictateurs? Par qui ont-ils été élus?) ndlr Gérard Brazon) les femmes appartenant à des groupes minoritaires soient particulièrement menacées de marginalisation. La lutte contre cette situation doit être une priorité, non seulement pour garantir l’égalité entre les sexes, mais aussi pour encourager les femmes à assurer le lien entre leur communauté et la société, en éduquant leurs enfants dans une culture de diversité et de dialogue et en les aidant à vivre avec des identités multiples. (Il est affligeant de penser que ces "éminentes personnalités" soient si éloignées des réalités et qu'elles ignorent semble-t-il que l'islam ne reconnaitra jamais autre chose de supérieure au Coran et la charia. L'islam est par définition une idéologie qui ne reconnait pas l'égalité des sexes, la liberté individuelle, la liberté de choix de sa religion, la liberté d'expression, etc. Que nous disent ces éminentes personnalités? Des fadaises face à la radicalisation des islamistes en Europe et partout dans le monde. ! Ndlr Gérard Brazon)
11. L’Assemblée souhaite insister sur la nécessité de privilégier la jeunesse et de mettre en œuvre les droits de la jeunesse comme investissement dans la cohésion et l’avenir de l’Europe. Les Etats membres doivent mettre les politiques de jeunesse au cœur des stratégies visant à construire des sociétés du «vivre ensemble». A cet égard, les pouvoirs publics devraient adopter des mesures spécifiques pour encourager la participation des jeunes à la vie économique et démocratique, et assurer à tous les jeunes l’égalité des chances en vue de contribuer au développement et au bien-être de la société. En outre, une attention accrue devrait être portée aux potentialités du sport en tant qu’outil puissant pour encourager le dialogue interculturel et le «vivre ensemble» parmi les jeunes.
12. En outre, l’Assemblée souligne le rôle central que les médias peuvent jouer dans le renforcement de la démocratie, le respect des droits fondamentaux et le développement de la culture. Elle estime que le Conseil de l’Europe devrait renforcer ses relations avec le monde des médias.
13. L’Assemblée considère que le Centre européen pour l’interdépendance et la solidarité mondiales (Centre Nord-Sud) peut et doit jouer un rôle important et que, à cet effet, il doit recevoir des moyens adéquats pour pouvoir élaborer un vaste programme «vivre ensemble» spécifique – assorti des dimensions des politiques éducative, interculturelle et de jeunesse – afin de soutenir le développement dans les pays non membres de la région méditerranéenne.
14. De son côté, l’Assemblée, motivée par les propositions et les recommandations émises par le Groupe d’éminentes personnalités (Sic), décide:
14.1. de lancer ses propres réflexions sur les moyens d’encourager les responsables politiques et les représentants élus, à tous les niveaux, à s’exprimer sur les défis aujourd’hui soulevés par les menaces au projet et à la solidarité européens;
14.2. de poursuivre la réflexion sur la proposition d’organiser un forum annuel contre l’extrémisme, sans oublier que l’Assemblée doit conserver sa capacité de réaction rapide en cas de nouveaux événements inquiétants;
14.3. d’envisager d’organiser, conjointement avec la Commission européenne contre le racisme et l’intolérance (ECRI) et en collaboration avec tous les secteurs pertinents de l’Organisation et, éventuellement, avec le Parlement européen, une conférence chargée de dresser le bilan des bonnes pratiques et des lacunes dans la mise en œuvre par les Etats membres de la Charte des partis politiques européens pour une société non raciste (adoptée en 2003), ainsi que de la Déclaration sur l’utilisation d’arguments racistes, antisémites et xénophobes dans le discours politique (adoptée en 2005) et de la Recommandation (plus ancienne) du Comité des Ministres no R (97) 20 sur le «discours de haine»;
14.4. d’envisager d’organiser une campagne pour promouvoir les Conventions du Conseil de l’Europe sur la nationalité (STE no 166) et sur la participation des étrangers à la vie publique au niveau local (STE no 144);
14.5. de répondre aux questions soulevées par le vieillissement de la population en Europe, entre autres, au moyen de politiques appropriées d’aide à la famille;
14.6. de s’attaquer au déficit démocratique résultant de l’absence de participation démocratique des immigrés, des Roms et d’autres groupes exposés à une marginalisation.
15. Rappelant que, dans les Recommandations 1927 (2010), «Islam, islamisme et islamophobie en Europe», 1933 (2010), «Lutte contre l’extrémisme: réalisations, faiblesses et échecs», et 1962 (2011), «La dimension religieuse du dialogue interculturel», l’Assemblée a soumis au Comité des Ministres un certain nombre de propositions concrètes – pour lutter contre l’extrémisme et pour promouvoir un dialogue interculturel – préconisant «une nouvelle culture du vivre ensemble», elle invite le Comité des Ministres à examiner ces propositions à la lumière des recommandations du Groupe d’éminentes personnalités.
16. De plus, dans la mise en œuvre des recommandations émises par le Groupe d’éminentes personnalités,(resic) l’Assemblée recommande au Comité des Ministres de considérer en priorité les points suivants:
16.1. promouvoir davantage les Conventions du Conseil de l’Europe sur la nationalité et sur la participation des étrangers à la vie publique au niveau local;
16.2. envisager de lancer une vaste campagne sur le «vivre ensemble», dans la veine des deux campagnes «Tous différents, tous égaux»;
16.3. explorer la possibilité de renforcer le rôle de la Banque de développement du Conseil de l’Europe pour des projets visant à l’intégration dans les Etats membres;
16.4. appeler les Etats membres à créer des passerelles culturelles en encourageant leurs citoyens à apprendre à connaître et respecter la culture, la langue, les traditions et l’histoire des populations immigrées;(D'où le rôle ambigüe de l'éducation nationale sur l'histoire de France et sa volonté d'apprendre aux français les rois d'afrique plutôt que les rois de France. Ndlr Gérard Brazon)
16.5. envisager l’élaboration de lignes directrices sur les droits et les responsabilités des immigrés, et sur leurs liens mutuels, par le biais, au minimum, d’un code de bonnes pratiques sur le «vivre ensemble», qui pourrait servir de base, ultérieurement, à une convention-cadre;
16.6. prendre des mesures urgentes pour la mise en œuvre de laRecommandation 1963 (2011) de l’Assemblée «Combattre la pauvreté», afin d’améliorer l’accès des personnes touchées par la pauvreté, et notamment de celles issues de l’immigration et des minorités, à l’ensemble des droits de l’homme – civils, politiques, économiques, sociaux et culturels; (quid de la pauvreté des nationaux? Ndlr GB)
16.7. étudier les mesures nécessaires pour garantir les droits élémentaires des migrants en situation irrégulière et de leurs enfants, en reconnaissant que nombre de ces personnes sont exploitées et ne peuvent – ou ne veulent – pas retourner dans leur pays d’origine; (Quid du droit de choisir son immigration et du retour de personnes ayant enfreint la loi française en entrant sur le territoire sans autorisation? Ndlr GB)
16.8. renforcer tous ses programmes visant à aider les Etats membres à concevoir des politiques éducatives cohérentes et la bonne mise en œuvre du droit à l’éducation, sans discrimination, tout particulièrement en faveur des personnes issues de milieux défavorisés, de l’immigration ou de minorités, et ce afin de lutter contre la fracture éducative et culturelle dans nos sociétés;
16.9. intensifier les travaux du Conseil de l’Europe dans les domaines de l’éducation à la citoyenneté démocratique fondée sur les droits et les responsabilités des citoyens – en incluant l’éducation au multiculturalisme – et de l’enseignement de l’histoire, notamment en privilégiant la formation des enseignants;
16.10. mettre en place, en partenariat avec les collectivités locales, les établissements scolaires/universitaires et les médias des Etats membres, des projets pilotes sur le dialogue interculturel, dotés, dans la mesure du possible, d’une dimension multilatérale;
16.11. appeler les représentants des religions à contribuer, le cas échéant, aux débats sur les valeurs communes, le patrimoine commun, la protection de la liberté de culte, le respect des droits de l’homme et de la citoyenneté démocratique, et la lutte contre le terrorisme, la xénophobie et l’intolérance;
16.12. instaurer un processus régulier permettant d’évaluer les progrès du dialogue interculturel dans les Etats membres, notamment en organisant régulièrement un forum européen thématique sur le dialogue interculturel;
16.13. entretenir des contacts réguliers avec les principaux réseaux de médias européens, en vue de renforcer la mise en œuvre des recommandations du Conseil de l’Europe concernant des questions liées à la formation, à l’éthique et à la production de contenus;
16.14. pleinement intégrer la dimension d’égalité entre les sexes dans la mise en œuvre des recommandations du Groupe d’éminentes personnalités;
16.15. proposer aux Etats membres des mesures positives pour éviter le risque que les femmes issues de groupes minoritaires subissent une double discrimination – par rapport aux hommes et aux autres femmes – et promouvoir leur participation active à la vie sociale, économique et politique;
16.16. promouvoir la signature et la ratification de la Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique (STCE no 210).
17. L’Assemblée recommande que, lors de la mise en œuvre des recommandations du Groupe d’éminentes personnalités, le Comité des Ministres prenne des mesures spécifiques pour garantir la protection des personnes particulièrement vulnérables ou menacées d’exclusion et de marginalisation, et ainsi leur permettre de vivre dans la dignité. A cet égard, l’Assemblée insiste sur le fait que chacun a droit au respect des droits sociaux qui ne peuvent être refusés. Dans la Recommandation no R (2000) 3 du Comité des Ministres sur le droit à la satisfaction des besoins matériels élémentaires des personnes en situation d’extrême précarité, le Conseil de l’Europe stipule que ce droit devrait à tout le moins couvrir la nourriture, l’habillement, l’hébergement et les soins médicaux de base.
18. Le Groupe d’éminentes personnalités propose (re re Sic! Qui sont-ils?) de désigner un représentant spécial de haut niveau chargé de porter le contenu du rapport à l’attention des responsables politiques et d’en suivre la mise en œuvre. Dans cette perspective, l’Assemblée rappelle que, dans sa Recommandation 1928 (2010) «La démocratie en Europe: crises et perspectives», elle a proposé qu’une personnalité de grande notoriété, sorte de délégué à la démocratie, se voie confier la tâche de «diffuser de façon permanente le message du Conseil de l’Europe sur les questions relevant de la démocratie présentant un intérêt d’actualité majeur». L’Assemblée, estimant que les deux propositions ne sont pas incompatibles et qu’une solution envisageable serait de confier à une seule et même personnalité aussi bien les actions proposées par le groupe que celles proposées par l’Assemblée, invite le Comité des Ministres à examiner cette proposition.
19. Le Groupe d’éminentes personnalités propose d’offrir à des pays d’Asie centrale et du littoral méditerranéen méridional et oriental un statut spécial auprès du Conseil de l’Europe. L’Assemblée rappelle le statut de «Partenaire pour la démocratie» qu’elle a créé à l’intention des parlements de pays situés dans des régions voisines, ainsi que sa Résolution 1818 (2011) sur la demande de statut de Partenaire pour la démocratie auprès de l’Assemblée parlementaire présentée par le Parlement du Maroc et sa Résolution 1819(2011) sur la situation en Tunisie. Etant donné la tournure des événements récents survenus sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée, l’Assemblée soutient sans réserve les moyens de rapprocher du Conseil de l’Europe les pays de cette région.
20. L’Assemblée décide de poursuivre sa réflexion sur ce sujet, notamment en organisant une conférence, avec la participation du Secrétaire Général, de représentants du Comité des Ministres et du Groupe d’éminentes personnalités, du rapporteur et d’autres membres de sa commission des questions politiques, ainsi que des rapporteurs des autres commissions saisies pour avis, afin d’approfondir et d’élargir le débat sur le développement de nos sociétés multiculturelles. A l’issue de cette conférence, un agenda des actions à mener par le Conseil de l’Europe devrait être défini par une session ministérielle, et s’inscrire dans le cadre des préparatifs d’un futur sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du Conseil de l’Europe
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Discussion par l’Assemblée le 22 juin 2011 (23e et 24e séances) (voir Doc. 12631, rapport de la commission des questions politiques, rapporteur: M. Toshev; Doc. 12653, avis de la commission des questions sociales, de la santé et de la famille, rapporteur: Mme Kaufer; Doc. 12650, avis de la commission des migrations, des réfugiés et de la population, rapporteur: M. Díaz Tejera: Doc. 12651, avis de la commission de la culture, de la science et de l’éducation, rapporteur: M. Flego; et Doc. 12640, avis de la commission sur l’égalité des chances pour les femmes et les hommes, rapporteur: Mme Kovács). Texte adopté par l’Assemblée le 22 juin 2011 (24e séance).