Assises “La France en danger” : ils prendront la parole à Paris le samedi 10 mars
Publié le 27 Février 2012
Plusieurs personnalités médiatiques ou politiques ont tenté, cette semaine, de déstabiliser la bonne préparation des assises « La France en danger », en publiant notamment des articles diffamatoires à l’encontre d’un des orateurs des assises, Jared Taylor. C’est la raison pour laquelle nous vous le présentons aujourd’hui, aux côtés de Guillaume de Thieulloy et d’Omar Ba.
Jared Taylor
Jared Taylor est une des personnalités les plus attachantes du vaste univers des think tanks conservateurs américains.
Son histoire en fait un des hommes les plus ouverts sur le monde de la capitale américaine. Né au Japon dans un petit village de campagne, il parle un japonais parfait ainsi qu’un excellent français, perfectionné à l’université de Yale et à l’Institut d’études politiques de Paris
À la fin de ses pérégrinations en Europe, après avoir longtemps séjourné en Afrique, il rentre aux États-Unis où il épouse une doctorante d’origine étrangère.
C’est en cosmopolite qu’il analyse les États-Unis et le Japon dans des ouvrages qui stigmatisent les conservatismes et les rigidités de ces deux pays.
Avec le fil des années, son jugement sur l’Amérique devient plus sévère, s’attardant sur les dysfonctionnements qui obèrent son développement harmonieux.
C’est en partant d’une comparaison avec le peuple japonais qu’il connaît parfaitement et les sociétés traditionnelles qu’il a appris à apprécier durant son étape africaine, qu’il a perçu le rôle croissant du dogme de la « diversité » dans le détricotage du tissu social américain.
Véritable religion civile des États unis à partir du président Johnson, l’idéologie de la « diversité » tend à justifier les choix des élites financières et politiques américaines du libre échange des personnes quelque en soit le prix à payer par les citoyens américains ordinaires.
Par exemple, l’arrivée massive de clandestins a eu pour conséquences la baisse des salaires pour la main-d’oeuvre non qualifiée et la hausse vertigineuse du chômage des jeunes noirs que les employeurs délaissent au profit de nouveaux venus, plus aptes à satisfaire les besoins des entreprises.
Cette doctrine imprègne tellement le corps social américain que toute analyse critique de son rôle entraîne une immédiate stigmatisation aboutissant à une vraie mort civique.
Pourtant, non seulement les ravages de cette idéologie de la diversité sont visibles de tous, mais les Américains dans leur vie quotidienne cherchent à s’en affranchir.
Les journalistes conformistes qui chantent à l’antenne les louanges de la société de l’arc-en-ciel vivent dans des quartiers exclusifs protégés par des vigiles armés et leur progéniture fréquente des écoles privées où les seuls Noirs ou hispaniques sont des enfants d’ambassadeurs.
Les quelques voix comme celle de Jared Taylor qui osent crier que le roi est nu avec des arguments solides, puisés tout autant dans l’actualité, les statistiques officielles que dans les travaux les plus avancés de la génétique, mettent à mal les défenseurs de la « diversité » qui, faute d’idées, en sont réduits à la politique du « name calling ».
C’est ainsi que Jared Taylor est devenu, pour certains à gauche, le visage souriant des suprématistes blancs ou la version moderne du vieux colonialisme, pour d’autres à droite, il serait un vrai dissident américain qui dénonce sans peur les « tabous tribaux » contemporains. Sans oublier quelques racistes rances et des néo-nazis en mal de complot juif qui l’accusent d’être « vendu aux sionistes ».
Quoi qu’il en soit, Jared Taylor et le laboratoire d’idées qu’il anime occupent une place originale dans une Amérique traditionnellement conformiste. Sa critique du principe cardinal de la société américaine d’aujourd’hui, le dogme des bienfaits de la « diversité », est d’autant plus douloureuse pour l’intelligentzia progressiste de la côte Est et pour l’establishment financier qu’elle s’appuie sur des faits que tous les Américains connaissent et sur des données scientifiques difficiles à réfuter.
Enfin, son charme naturel, son éducation, sa culture, son cosmopolitisme affiché, ses soutiens dans les milieux les plus différents, des Italo-Américains à la communauté juive en passant par les Amérindiens, ne permettent pas aux terroristes intellectuels de le réduire à une caricature d’extrémiste xénophobe, ignare et borné.
Omar Ba
Omar Ba est un écrivain francophone (sénégalais), né en 1982 à Thiès au Sénégal.
Depuis 2003, l’auteur vit en France, où il a publié trois ouvrages sur l’immigration : Soif d’Europe (2008), Je suis venu, j’ai vu… (2009), et N’émigrez pas. L’Europe est un mythe (2010).
Ses analyses à contre-courant du politiquement correct lui valent souvent les attaques de ses pairs et d’une certaine presse.
Guillaume de Thieulloy
Guillaume de Thieulloy, 38 ans, est directeur de l’hebdomadaire « Les 4 Vérités ».
Cet hebdomadaire ouvre largement ses colonnes à ses lecteurs, préférant donner la parole au « peuple de droite », plutôt qu’à ses représentants auto-proclamés.
« Les 4 Vérités » proposent un débat entre toutes les tendances de la droite française et prend position clairement en faveur de l’entente entre ces différentes tendances (et contre le prétendu front républicain qui voudrait forcer les électeurs de droite à voter pour les socialo-communistes contre la « bête immonde » !).
Infos pratiques
Métro : Porte de Charenton (ligne 8, Balard-Créteil)
Stands dédicaces, restauration et buvette.
Contact : nationalite.nci@gmail.com – Suivez-nous sur Facebook. Les journalistes souhaitant couvrir l’événement doivent obligatoirement demander une accréditation presse à nationalite.nci@gmail.com
Plan d’accès
METRO : ligne 8 direction Balard/Creteil. Station « Porte de Charenton » sortie Espace Charenton (à 180 m.) / ou ligne 6 direction Nation/Charles de Gaulle-Étoile. Station « Dugommier » (à 10 mn à pied de l’Espace Charenton).
BUS : PC 2 et BUS 111. Arrêt « Porte de Charenton » (à 250 m de l’Espace Charenton) ou BUS 87 arrêt « Les Jardiniers » (à 50 m.)
VOITURE : Périphérique extérieur, sortie « Porte de Charenton » (à 2 mn)
ou Périphérique intérieur, sortie » Porte Dorée » (à 3 mn)
ou Autoroute A 4, sortie « Bercy » (à 3 mn)
PARKINGS : 57 Bd Poniatowski (à 250m)
ou Place Lachambaudie (à 600 m)
GARES : Gare de Lyon, Gare de Bercy et Gare d’Austerlitz à proximité. Depuis la Gare de Lyon, prendre le Bus 87 (10 mn trajet pour arrêt Les Jardiniers). Depuis Gare Montparnasse, prendre métro Direction “Nation”, descendre à station “Dugommier” (15 mn trajet puis 5 mn à pied)