Ville de Puteaux: Le retour du p'tit moineau pleureur...
Publié le 2 Mars 2009
Voila le grand retour du Kaliméro de Puteaux.
Le grand retour de notre petit chat pleureur. Aurait-il renoncé à arpenter les trottoirs de la ville pour y dénicher le trou malveillant ou bienveillant suivant l’endroit d’où l’on se place. Cette recherche de trou à combler sur les trottoirs de Puteaux l’a t’il éreinté au point qu’il soit revenu à sa bonne vieille ficelle ?
Serge Gainsbourg nous le chantait déjà, « Un p’tit trou encore un p’tit trou toujours un p’tit il y a de quoi devenir dingue... »
Donc, il revient à sa bonne vieille technique un peu comme les ados boutonneux en mal d’amour reviennent a cette bonne vieille veuve poignée qui vous déçoit rarement dit-on.
Quand cela marche, ça soulage a moins !
Donc le Kaliméro renoue avec cette technique qui consiste à se faire victimiser en permanence.
Elle avait réussi, en son temps, à agréger un certain nombre de personnes autour de lui jusqu’au moment ou, les plus nombreux et les plus intelligents, ont fini par comprendre qu’elle était en réalité le délicat moineau.
Cette technique du célèbre « citoyen bloggeur » défenseur de la libre expression partout dans le monde sauf à Puteaux, ce génial libérateur de l’internet citoyen remet au goût du jour sa victimisation. Sa dignité incompressible et incommensurable dénonce de nouveau l’homophobie ! Ouh le gros mot.
Car, c’est bien connu, vous ne pouvez qu’être favorable à l’homosexualité !
Trouvez absolument génial de voir des hommes s’embrassaient à pleines bouches dans les téléfilms de 20h35 ! Après tout, il suffit d’expliquer à votre gamin de 8 ans que c’est normal mais que surtout, il faudrait mieux ne pas le faire avec son pote de classe à la récréation. Après tout, c’est peut-être Papa et Maman qui sont (bizares) heu... pas à la page!
Comment ? Quoi ? Qu'entents-je,? Vous êtes définitivement hétéro ? Taisez-vous malheureux !
Dans ce monde hygiéniste où plus personne ne prend de risques, ou la liberté cède la place à l'assistanat et à la sécurité à tout prix vous ne pouvez qu’aimer les homosexuels. Sinon vous êtes homophobe. Non mais....
Vous insistez, vous êtes hétéro ? Alors de grâce, ne le criez pas sur les toits. Soyez discret car le moineau pleureur va vous tomber dessus.
Moi, il me connait maintenant car c’est pire !
La vie sexuelle de mes contemporains ? Je m’en fous comme de ma première chemise ! Mais c’est risqué je l'avoue, je suis sur une corde sensible et fragile! Cela frise l’insupportable, l'indécence pour l’ami pleureur ! Mais je m’égare...
Après avoir voulu recomposer l’équipe du CESL de Puteaux en souhaitant mon exclusion, il souhaite dire son mot dans celle de la campagne électorale de Roger Karoutchi. Rien que ça. Il ne manque pas d’air ce monsieur ! A se demander s’il a des poumons !
En effet, suivant son argumentation Monsieur Karoutchi devrait interdire de citer Monsieur Franck Melka car il se serait « lâché » en disant : « pourri et folasse lubrique » en parlant de lui dans l’un des commentaires choisi par le censeur sur son blog!
Bien entendu, lui a toutes les autorisations pour insulter en traitant de xénophobe, islamophobe et homophobe tous ceux qui ne partagent ses avis mais attention... pas de « folasse lubrique » sans que l’on sache d’ailleurs si c’est « folasse » qui le gène ou « lubrique » !
Alors, il dénonce Franck Melka pour ses propos qu’il juge indigne !
Comme il le publie sur son blog, je ne résiste pas à copier ses propos
Je cite :
La seule raison d'exister de Christophe Grébert, petit journaleux à mi-temps du MODEM -bas débit, est bel et bien Joëlle Ceccaldi-Raynaud, femme merveilleusement belle et admirable, que le petit homme jalouse, lui qui n'est pas une femme et qui n'aura que les faveurs des hommes de passage, qu'il rencontre dans les endroits les plus sordides du web pornographique et du réel bien plus sordides encore. Cette rage qu'il a contre Joëlle, est bien l'expression de la rancœur qu'il exprime envers sa propre mère, qui ne l'a jamais autorisé à lui présenter une femme à la maison...
Ouh qu’il est vilain le Franck...
Gérard Brazon