C'est l'histoire d'un mec qui croyait quand on pouvait s'exprimer librement. Que la liberté de dire,...
Publié le 6 Juillet 2017
C'est l'histoire d'un mec qui croyait quand on pouvait s'exprimer librement. Que la liberté de dire, d'ecrire et de faire etait inscrit dans le matbre de la constitution francaise et celui des droits de l'homme, les vrais, pas ceux des socialistes à la manière des bolcheviques et des nazis.
C'est l'histoire d'un mec qui s'est fait broyé par sa hierarchie à la suite d'une délation d'une collègue promue depuis, et d'origine maghrébine comme par hasard.
Si vous vous croyez à l'abri, sachez que nos dirigzants menent une lutte de fond contre les patriotes et fement les pages Facebook, sites et autres réseaux sociaux au nom de la doxa socialiste, du "vivre ensemble" devenu "vivre avec et subir".
Organisez-vous et en plus d'une page Facebook sous menace permanente (La mienne de 4600 contacts et groupes que j'avais fut supprimés sans prevenance) ouvrez une page chez WKontakte.com, site Russe dans un pays décrit comme une prison alors même que la France est devenue une cage à moineaux, une bergerie.
Gerard Brazon
"Je n'aurais jamais, jamais imaginé en arriver à devoir quitter mon propre pays !"
Dans son livre " À mort le flic ", Sébastien Jallamion raconte ce qu'il appelle " sa descente aux enfers " depuis septembre 2014, date des publications Facebook qui lui ont valu dénonciation auprès de sa hiérarchie. Il entend faire demande d'asile politique en Suisse.
http://www.bvoltaire.fr/naurais-jamais-jamais-imagine-arriver-a-devoir-quitter-propre-pays/