La LDH soutient Antonin Bernanos, qui a juste voulu faire brûler 2 flics… Par Gérard Brazon
Publié le 28 Mars 2017
La Ligue des Droits de l’homme a organisé une conférence de presse pour soutenir Antonin Bernanos qui s’en était pris à une voiture de police lors d’une manifestation et a tenté de faire brûler cette voiture avec deux policiers dedans. Une femme et un homme.
Il faut se souvenir de cette image ou l’un des policiers est sorti de la voiture et a résisté seul, contre une ordure gauchiste qui le frappait avec une barre de fer. On ne sait qui est cette ordure, mais on sait que c’est un antifa (groupuscule de fascistes rouge). Antonin Bernanos 21 ans, et Angelson frère de 18 ans, ont été mis en détention pour avoir voulu incendier cette voiture, avec les deux policiers dedans. Angel est sorti !
Les antifas n’ont rien à envier aux racailles de Viry-Chatillon. C’est la même engeance, la même pourriture. Le plus étonnant est que les parents protestent contre la Police, mais ne se posent pas de questions sur leur responsabilité parentale. Sûrement des innocents !
Plus grave, sous l’égide de la Ligue de Defense des Droits de l’Homme (LdH) s’est tenue cette réunion « d’intellectuels » à deux neurones à l’Université de Nanterre pour soutenir le pauvre Antonin Bernanos,victime de la répression policière. Cet homme de 21 ans est incarcéré depuis 9 mois à la prison de Fleury-Mérogis. Il est accusé par un témoin sous X d’avoir participé à l’attaque d’une voiture de police avec son frère, lors du mouvement contre la loi travail. Telles sont les accusations. Antonin était un ami de Clément Méric, ce jeune gentil antifa que d’affreux extrémistes de droite auraient assassiné un soir de juin 2013. Comme lui, Antonin est membre du collectif Action antifasciste Paris-Banlieue.
Voir cette vidéo: http://dai.ly/x4bgf6d
La Ligue de Defense des Droits de l’Homme (LdH) est plus encline à déposer des plaintes contre les sites qui lui déplaisent, qu’elle juge islamophobe, et contraire aux « droits de l’Homme », qu’a s’offusquer que deux policiers aient failli être brûlés vif. Est-ce que dans l’imaginaire de la LDH, les policiers sont-ils encore des êtres humains ?
Antonin Bernanos est le petit fils de l’écrivain Georges Bernanos, mort en 1948, qui de son temps, explorait le combat spirituel du Bien et du Mal. Son petit fils à dû tout mélanger, et son grand père doit se retourner dans sa tombe, lui qui fit la guerre de 1914/1918.
Pour l’impensable Geoffroy de Lagasnerie qui mène le débat à la Faculté de Nanterre, ce qui m’autorise à douter des dites facultés de Lagasnérie, le petit Antonin, fait face à l’État pénal de la bourgeoisie blanche, à l’appareil répressif de l’état. Il faut lutter contre le centre du système qu’est, dans son ensemble, la Justice et la Police.
Bien évidemment, Tubiana surnommé L’Enflure, ne pouvait que présider une telle conférence de presse…
On se demande comment la LDH peut regretter une justice qui lui est par ailleurs, si utile pour se faire un peu d’argent grâce aux tribunaux, contre Riposte-Laïque, Pierre Cassen, Christine Tasin, Eric Zemmour, et j’en passe de ces victimes de la pression judiciaire qui sévit contre ceux qui ne pensent pas comme la LDH et donc, par extension, comme Antonin Bernanos. Ce n’est donc qu’une violence contre Antonin Bernanos ?
Pour Geoffroy de Lagasnerie, la violence première est celle des gouvernants, des dirigeants politiques qui font des lois, et attirent de facto, le peuple dans la rue, produit les vitrines cassées, les agressions contre les mobiliers urbains, et les multiples violences contre les policiers. C’est la faute à Valls, à Caseneuve, etc.
Inversion des valeurs comme sait le faire si bien cette gauche des « valeurs humanistes » !
Ce sont les gouvernants qui sont les grands responsables des conséquences, des décisions prises au parlement élu par le peuple, et qui explique la violence contre les policiers, et donc la violence policière en retour.
Bref, c’est pas nous, c’est eux, c’est la classe des bourgeois, des nantis, des riches, etc. Du Mélenchon pur jus ! Ce n’est donc pas Antonin, c’est la faute à tout le monde , au contexte politique. Le petit Antonin, comme son frère Axel, sont comme le petit Théo : des victimes. Au même titre que ceux que l’on ne retrouvera pas, et qui ont brûlé vifs des policiers à Viry Chatillon. Tous innocents.
Les parents d’Antonin crie eux aussi à l’innocence. Feront-ils une marche blanche ?
Ils considèrent qu’ils n’ont eu que le tort, comme tant d’autres jeunes en France, d’avoir voulu faire entendre leurs voix parce qu’ils s’intéressent à la politique, d’être au mauvais endroit, au mauvais moment. Innocents vous dis-je, et les témoins se trompent, ils sont de mèche avec le pouvoir « bourgeois et socialiste » !
Les Bernanos ne sont pas issus de la plèbe ! C’est une grosse famille bourgeoise et catholique, celle de ces cathos de gauche bien pensants : Gilles, François et Yves Bernanos,(le père) les héritiers du nom. La femme d’Yves, Geneviève Bernanos,(la mère). Les mômes de cette bourgeoisie: Loraine, Victor, Marie, Antonin (l’emprisonné), Jean, Angelet Sara. On devine les affres de cette famille avec un tel ancêtre. Que pensent les parents des engagements de leur fil au collectif Action antifasciste Paris-Banlieue ? Un groupe particulièrement violent !
Beaucoup d’enfants de la plèbe auraient bien aimé être à leur place, bien au chaud ! Alors oui, on n’est pas responsable de sa famille, cela reste vrai. Sauf pour la gauche, pour qui les enfants Le Pen doivent payer chaque jour, leur lien familial ! Les parents Bernanos devraient se montrer discret et éviter de sévir sur Médiapart (site de la gauche extrême) et laisser faire la justice, comme ils disent !
Comment ces deux enfants se sont retrouvés dans cette situation ?
Ah oui c’est vrai, ce n’est pas de la faute des parents, pas celle des enfants, c’est la faute à la société ! Cette gauche est lamentable. C’est pire lorsqu’elle est issue de famille cathos de gauche, qui devraient enseigner aux enfants au minimum qu’il n’y a pas de Liberté sans la responsabilité de ses actes ! Pas celle d’incendier une voiture de police avec des êtres humains dedans.
Gérard Brazon