Un virus ravageur se propage chez les socialistes (vidéo) - Par Gérard Brazon
Publié le 12 Décembre 2016
Un virus s’est propagé chez les adeptes du socialisme. Il a fait des ravages parmi toute une population s’exprimant en novlangue. Ils peuvent se reconnaître par un discours compassionnel type comme une acceptation intrusive de l’étranger. Une soumission au multiculturalisme. Un désir incontrôlé de rencontrer l’autre, le différent.
Certains, moins nombreux, moins atteints par le virus que la moyenne, arrivent à se contrôler et font payer la note finale aux voisins et mêmes, aux contribuables. Ce qui dénote tout de même, pour ces sujets, une résistance au virus.
Dans l’ensemble, ils ont une attitude gauche. Une incompréhension systématique, des explications alambiquées, des rhétoriques vieillottes, des hallucinations Godwin. Bref, ils subissent une altération des capacités cognitives supérieures.
Ils se retrouvent en général dans les mêmes environnements : éducation nationale, ministères, syndicats politisés, associations humanistes, médias subventionnés, etc. Le foyer est parti dans les années 1980 en pays de Mitterrandie. Il s’est propagé rapidement au parti socialiste, écologiste et communiste.
En 2007, nous avons pu constater que même ceux qui se déclaraient immunisés à droite, ont commencé à tenir des discours douteux. On a pu voir par exemple à cette époque, des cas particuliers qui se sont déclarés à travers les nominations de ministres atteints de ce virus dans un gouvernement d’ouverture.
C’est fort regrettable, mais à ce jour, et dans la situation actuelle, il est possible qu’il y ait une forte rechute en 2017. Pas de vaccins en vue…
Des signes cliniques nous alarment quant à la propagation de ce virus parmi l’ensemble de la population. Il semblerait en effet que cette altération aurait touchée quelques responsables politiques dans un parti qui en principe, devrait être totalement immunisé. De plus, un parti qui n’aurait aucun lien avec la souche d’origine. Pourtant, des signes d’altération cognitive majeure, seraient présents parmi l’entourage très proche de la Présidence.
Après analyse, ce serait dû à une incorporation d’agents viraux venus de l’extérieur, recrutés parmi d’anciens socialistes, voire d’anciens gauchistes, qui après un moment d’acclimatation (incubation ?) auraient commencé à atteindre quelques organes du cerveau directeur.
En clair, l’avenir en 2017 n’est pas si lumineux que ça. À moins que la Présidence ne réalise à temps qu’elle se fait noyauter…