Un referendum pour ou contre les clandestins ? Trop drôle ! Par Gérard Brazon

Publié le 23 Septembre 2016

referendum1Un referendum à Allex, une ville confrontée à une réalité qui bientôt sera le lot de beaucoup d’autres villes qui n’auront d’autre choix que celui de se taire et d’accepter les clandestins.

Dans un petit village du centre, une région qui n’a même pas de nom ! Qui comprend pourtant la Beauce, le Perche, le Vendômois, la Sologne, etc., il y a une usine d’abattage de poulet halal. Dans ce petit village ont été embauchés des roumains, des mâles célibataires. Ils vont s’agglutiner autour de l’étang et bavardent tranquillement entre eux mais provoquent un malaise. Ils logent dans une des maisons du village. Qui loue cette maison? Je l’ignore. Une  rumeur circule. Elle saute d’un vide grenier à une brocante, et « informe » que demain, ce seront des Turcs qui viendront. Qu’en sera-t-il vraiment ?

Les « migrants », ce mot fourre-tout qui évite de signaler que ce sont d’abord et avant tout des clandestins qui ont fui leur pays. Que ce sont surtout, vu leur jeunesse, des « déserteurs » si l’on sait a contrario, qu’il y a des centaines de femmes en armes qui se battent en Syrie, en Irak contre l’état islamique et meurent pour leur pays. Ils sont la honte de leurs pays.

Les médias nous abreuvent sur les « migrants » qu’ils refusent d’appeler « immigrés ». La sémantique a son importance. Ils sont Afghans, Pakistanais, Éthiopiens, Somaliens, Irakiens et Syriens, sans compter les Africains de l’Ouest, Ivoiriens, Camerounais, etc. On arrête quand cet accueil délirant ?

Comment un Préfet peut-il faire tout pour des étrangers, et ne rien faire pour les SDF ? Comment peut-on laisser mourir des misérables de France, des sans dent, des personnes qui ont eu des accidents de la vie, et offrir des centres d’accueil, des téléphones, de la nourriture, des soins médicaux, un toit à des hommes et quelques femmes et enfants  gratuitement et sans rien en échange.

Il y a en France, des citoyens qui, par définition, ont donc moins besoin de l’aide nationale que les émigrés. Souvenons-nous des reportages des soirs d’hiver et des places « impossibles » à trouver pour les SDF ! Aujourd’hui, les Italiens viennent quasiment les chercher près des côtes Libyennes.

Alors pour être clair, tout ce que je dis, ne compte pas ! Toute la révolte des citoyens d’Allex ne compte pas. Comme pour les citoyens de Forges les Bains et combien d’autres villes et villages.

Rien ne compte dans ce pays socialiste et totalitaire et certainement pas l’avis des citoyens. Tout le système de cet état socialiste est au service d’une demande de Bruxelles et donc de la folie de la Chancelière Merkel qui remplit sa mission de noyade des peuples et des cultures au service de la finance, de Soros et du grand patronat. Notre état est devenu une province pour faire français, mais en fait, il est devenu un Lander. Le Président de cet état socialiste, n’est plus qu’un vice chancelier comme le disait dans une déclaration, Marine Le Pen au parlement européen.

Cet état socialiste n’est pas un état de droit comme ils disent, puisque la volonté du peuple n’est pas prise en compte. La bien-pensance dit que le referendum est dangereux. Hasardeux puisque jamais le peuple ne répond à la question.

Le peuple est idiot. Il ne comprend rien. Les masses ne sont que des regroupements d’idiots, de bœufs, des vaches à traire, des moutons à tondre, et à égorger en cas de fête.

La bien pensance se veut élite ! Elle se croit investie de droits mais pas de devoirs. Ce n’est pas de son rang. Nous avons créé une République d’aristocrates qui regardent le peuple, ses représentants, comme de vulgaires poulets. Donne-t-on la parole à des poulets alors même qu’ils nous cassent les oreilles depuis leur basse-cour.

Nous sommes le peuple des petits, des sans grade, des sans dent, de la misère invisible puisqu’elle est franchouillarde, qu’elle est française, qu’elle est blanche, qu’elle n’a pas d’horizon à court et à moyen terme, hormis des élections dont tout le monde se targue de savoir à l’avance que ce ne sera pas un patriote qui gagnera, que ce sera encore un compromis à la Merkel. Un doigt de Sarko bien profond, une lichette d’Hollande façon Julie, et une pincée de Juppé salafiste. Secouer et avaler, chers électeurs de la socia-lie centristes, et autres flageolant du genou. Vous n’avez pas fini de ramer et de raquer.

Alors ce peuple patriote regarde du côté de l’Élysée, de Matignon, des tours de la Défense, des beaux quartiers de Paris, là où il n’y a pas un misérable qui vit. Sauf sur les trottoirs. Il regarde et dit simplement: nous voulons un referendum dans nos villes et villagesNous voulons que notre avis soit pris en compte. Nous ne voulons pas de la réponse d’un Préfet comme Josiane Chevalier, la si mal nommée « De toutes les façons, ce centre ouvrira » ! (Valeurs Actuelles 4164, page 26). Nous ne voulons pas non plus de la culpabilisation à la mode des Emmaüs comme à Forge-Les-Bains. « Ce ne sont pas des criminels, ce sont des gens comme vous et moi« ! Comme si nous ne le savions pas ! Sauf qu’ils viennent d’ailleurs, dans un pays faisant face à une misère importante et qui souhaite offrir la soupe et le toit à ces enfants en premier. Nous refusons que des organisations d’entraide humanitaire s’autorisent à parler au nom du peuple.

Nous refusons que des pseudo associations droit-de-l’ hommiste s’arrogent le droit de donner des leçons de morale, décrètent ceux qui sont racistes et ceux qui ne le sont pas, fassent de la lutte contre le racisme une lutte à géométrie variable en abandonnant à leur sort les Français de Chine, victimes de la maltraitance subsaharienne et maghrébine importée d’hier. Quand  elle ne tue pas dans un silence éhonté des médias et des politiques.

La parole du peuple dans cet état socialiste ne compte pas.

Les citoyens, les habitants de ces villes n’ont pas droit à la parole.

Les « déserteurs » vont s’installer que cela plaise ou non, aux administrés de ces villes et villages. Demain, ils demanderont des salles de prières et l’eau et l’électricité qui va avec, toujours aux frais des contribuables des villes et villages.

Car dans cet état socialiste devenu adepte de la dictature douce, la seule chose qui importe, c’est de museler les bestiaux, de les tondre.

Que reste-t-il à un peuple qui vit sous les chaînes de la bien pensance, que la révolte bien comprise ?

Certains, comme à Forges-Les-Bains ont inondé le centre d’accueil, puis l’ont incendié. Mesure de désespoir, mesure dangereuse, mesure efficace puisque de 200 immigrés, la Préfecture est passé à 91. Bien trop encore à mon avis.

Je devais faire un papier sur le referendum. Dire ô combien, j’aime le referendum. Sous Charles De Gaulle, c’était un progrès, une chance car cet homme aimait et respectait le peuple, avec tous ses défauts et ses qualités. Depuis, ce ne sont que des « profiteurs », une suite d’abandons et une forme d’autisme qui frappe les habitants des Palais Nationaux.

Le referendum est mort, car nous savons que jamais ces socialistes de droite comme ceux de gauche, ne donneront la parole au peuple.

Gérard Brazon

Rédigé par Gérard Brazon

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J
Nous savons que ces politicards ne sont que de la pourriture. Les traiter d'aristos est peut-être leur faire beaucoup d'honneur. Espérons que notre ras-le-bol se concrétisera dans les urnes.
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