Oui, l'islam a pris part à seconde guerre mondiale en faveur des nazis d'Hitler et dans la SS.
Publié le 4 Mars 2016
Djamel Debbouze et sa bande avaient voulu nous faire croire, dans un film indigeste, que l’Europe avait été libérée par les Maghrébins (alors qu’il me semble que les Américains y sont pour quelque chose…).
C’est bien connu, les musulmans se seraient bien comportés pendant la Seconde guerre mondiale et il n’y a aucun compte à leur demander. C’est d’ailleurs un de leurs arguments contre l’Etat d’Israël puisqu’ils clament que les Arabes payent pour les fautes des Européens, ce qui est débile quand on sait que 900 000 juifs ont dû quitter les pays arabes après avoir été spoliés de tous leurs biens et après plusieurs pogroms et massacres dans la tradition musulmane, tous comme les pieds noirs ont dû quitter l’Algérie avec la valise ou le cercueil.
La Légion nord-africaine est créée au début de l’année 1944 par Henri Lafont, responsable français de la Gestapo, et le nationaliste algérien Mohamed El-Maadi (ancien officier français membre du mouvement d’extrême droite la Cagoule) sous les ordres du colonel SS Helmut Knochen, no 2 de la police allemande en France (Sipo et SD incluant la Gestapo).
La légion nord-africaine, aussi appelée « Phalange », constituait une force supplétive au service de l’armée allemande. Elle était composée de musulmans recrutés parmi la communauté nord-africaine présente en France, en particulier en région parisienne. Elle ne doit pas être confondue avec la Phalange africaine créée par le gouvernement de Vichy pour lutter contre les troupes alliées en Tunisie après leur débarquement en Afrique du Nord en novembre 1942.
En janvier-février 1944, la Brigade nord-africaine comprend 300 membres d’origine nord africaine et organisés en cinq sections dirigés par Henri Lafont qui porte le grade d’Hauptsturmführer (capitaine) dans la SS. Son adjoint est Pierre Bonny, l’ex « premier flic de France », lui aussi membre éminent de la « Gestapo française », avec le grade d’Obersturmführer (lieutenant). Les chefs des 5 sections sont Paul Maillebuau, Charles Cazauba, Alexandre Villaplane, Paul Clavié et Lucien Prévost, tous promus sous-lieutenants SS (Untersturmführer) tout comme Louis Pagnon, le chauffeur de Lafont, nommé officier de réserve. (Ces hommes n’ont rien à voir avec les Waffen SS français. Ils sont aux ordres d’une autre branche de la SS, le Sipo-SD, police allemande de la SS, souvent appelée par erreur « Gestapo»).
La troupe comprend également une vingtaine de sous-officiers français dont Abel Danos, Raymond Monange, Louis Haré, Jean Baptiste Chaves, Jean Sartore, Paul Victor, Jean Vinas, Jean Delchiappo, Mathieu Fioraventi, Jean Thilmont, Charles Fels, Eugène Slovenski etc.
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