TROP D’INDULGENCE ENVERS LES PALESTINIENS Par Noah Beck
Publié le 11 Février 2016
Pris de : InvestigativeProject.org.
Les militants qui veulent vraiment voir la paix régner entre les israéliens et les palestiniens doivent assimiler une recommandation mémorable allitérative : Trop d’indulgence envers les palestiniens perpétue l'impasse. L'opinion globale ignore ou récompense en général le comportement irresponsable des palestiniens, rendant plus susceptible un regain de violence, qu’une paix.
Il y a suffisamment de cas de « passes palestiniennes » injustes et contre-productives pour remplir un tome, mais voici quelques exemples récents.
Fermer les yeux sur l’agressivité du Hamas
Le silence mondial est vraisemblablement l’aspect le plus tragique de la tolérance actuelle accordée à l’annonce palestinienne que le Hamas se prépare à lancer une nouvelle guerre contre Israël, terrorisant les civils israéliens avec leurs sons de forage de tunnel. Un tel silence des principaux médias, des organismes internationaux, des dirigeants politiques, des ONG et des universitaires du monde, contribue à maintenir le Hamas au pouvoir. Et quand le Hamas entreprend finalement de nouvelles hostilités contre Israël, un grand nombre des ces mêmes voix qui ont gardé le silence, blâment Israël pour la souffrance qui en résulte.
Le bellicisme du Hamas est persévérant et est constamment ignoré. Au lieu de préparer les palestiniens pour la paix, le Hamas glorifie la mort et favorise vicieusement des idéologies de haine. Dans une émission de télévision du Hamas nous apprenons : «Nous n’avons aucun problème avec la mort. Nous ne sommes pas comme les enfants d'Israël ... ... Nous aspirons à la mort et au martyre ... Chaque mère élève ses enfants sur la haine des fils de Sion ».
Le mois d’Avril dernier, l'Iran avait viré des dizaines de millions de dollars pour la reconstruction des tunnels et le réapprovisionnement de l’arsenal de missiles du Hamas, détruit en 2014 par Israël lors de l'opération Pilier de Défense. En guise de sanctions ou de censure contre l’Iran pour son soutien au terrorisme mondial, Les mollahs reçurent en récompense un accord sur le nucléaire qui débloque 100 milliards de dollars d'actifs gelés, avec l’évidente perspective qu’au moins, une fraction de cette somme alimentera encore plus le terrorisme.
Régulièrement, le Hamas est celui qui commence ses guerres stériles contre Israël, vouant Gaza à l’inévitable châtiment et à la dévastation. Puis, quand la sympathie et les dons internationaux nécessaires affluent destinés à la reconstruction de Gaza, le Hamas les détourne pour réédifier ses capacités offensives/tunnels (plutôt que les habitations détruites).
Le Hamas a récemment accéléré son programme de forage de tunnels. La preuve nous est donnée par trois effondrements de tunnels en fin Janvier tuant huit foreurs palestiniens du Hamas et deux, la semaine dernière.
Ces rapports démontrent que le Hamas détourne les ressources destinées à la réhabilitation de Gaza afin d'attaquer Israël. L’absurde est que le monde continue à blâmer Israël pour les infortunes des Gazaouis.
Tolérance des abus du Hamas à Gaza
Ironiquement, Tous ceux qui critiquent Israël suite à leur prétendue inquiétude du bien-être des Gazaouis, ne semblent pas s’en soucier lorsque le Hamas leur porte atteinte. Au moins, 160 enfants sont morts en creusant les tunnels du Hamas servant à assassiner des enfants israéliens. Le Hamas torture ses prisonniers politiques juste à côté d’une l'école de filles et abat ceux qui osent se révolter (il a exécuté 25 en 2014). Le Hamas a exécuté 120 Gazaouis pour avoir violé le couvre-feu. Le Hamas tue d’autres palestiniens quand ses roquettes ne décollent pas. Dans le sondage de Septembre dernier, les Gazaouis préfèrent effectivement la domination d’Israël à celle du Hamas.
La tolérance de l’incitation palestinienne
Facebook tolère l'incitation palestinienne mais a rapidement réagit à des plaintes de racisme envers les juifs. La société est clairement en mesure de contrôler les menaces circulant sur son site, comme nous le prouve la récente décision de Facebook de mettre fin à la promotion de ventes d'armes à feu, rendant l'incitation continuelle contre les Juifs et les Israéliens sur Facebook plus scandaleuse. Facebook a beaucoup à apprendre de son rival technique, Google, qui traque sensiblement des recherches de demandes de djihadis qu’il converge vers des sites qui dé-radicalisent.
L'opinion mondiale semble être indifférente à l'incitation (incluant la culture pop palestinienne) qui contribue à la violence palestinienne. Au lieu de condamner les attaques terroristes des palestiniens, le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-Moon, blâma la politique israélienne d’implantation. Cela revient à imputer la politique française sur le port du voile dans les écoles, les attaques du mois de novembre à Paris. (L’ironie est qu’Israël permet actuellement le port de voile dans ces écoles).
Quand Israël abat des agresseurs palestiniens à l’arme blanche, en self-défense, le ministre des affaires étrangères suédois, demande une enquête sur les « exécutions extrajudiciaires » d’Israël, mais demeure bien silencieux lorsque la police française, a tué préventivement par un coup de machette, un islamiste qui brandissait un couteau pour les poignarder dans une station de police à Paris.
Hormis les attaques contre Israël, les dirigeants du monde et les commentateurs ne cherchent jamais à blâmer les victimes de la terreur islamiste. Cette odieuse exception « blâmer la victime » pour les Juifs ne se limite pas à l'état juif. Selon les derniers sondages, la plupart des Français estiment que les Juifs sont responsables d'une hausse de l'antisémitisme en France.
Indulgence diplomatique
Ceux qui prétendent vouloir une réconciliation israélo-palestinienne en faisant pression sur Israël, devraient reconnaître que cette pression réduit effectivement les perspectives de paix (comme le soulignait un architecte de l'accord de paix d'Oslo au sujet des vains efforts de l'Administration d’Obama). Malheureusement, la France réitère les erreurs d'Obama par sa dernière menace de reconnaître la Palestine si Israël ne fait pas assez de concessions à ceux qui tentent de l’éliminer.
Fermer les yeux sur les victimes israéliennes
Phyllis Chesler nous montre comment employer le double standard dans ses rapports de victimes-de-la-violence sur le New York Times. Les Palestiniens sont cités par leurs noms, âges et témoins sympathiques. Cela arrive rarement quand il s’agit de victimes israéliennes.
Récemment, une camera nous à révélé comment les principaux journaux américains minimisent ou ignorent les récents poignardages de femmes israéliennes par des palestiniens.
Le titre de CBS News de la semaine dernière nous donne un exemple classique après que des hommes armés avaient tenté une attaque terroriste à l'extérieur de la vieille ville de Jérusalem.
Trois terroristes sont morts après avoir tué une policière de 19 ans. Le titre ? « 3 Palestiniens tués alors que la violence quotidienne s’affute ». Le réseau a heureusement présenté ses excuses et a changé le titre. Mais la version originale aurait été semblable à un titre sur l’attaque du 9/11 annonçant « 19 musulmans sont morts dans un accident d’avion ».
Fermer les yeux sur les actions positives d’ISRAEL
Le résultat de cette complaisance pro-palestinienne déforme les reportages positifs d’Israël en reportages négatifs. Il n'y a pratiquement aucune mention de la générosité disproportionnée en efforts d'aide humanitaire d'Israël ou de ses contributions exceptionnelles à la résolution des problèmes mondiaux liés à la santé, l'énergie, l'agriculture et la sécurité, (comme l'a fait Israël en Afrique).
Si le monde était correctement informé de la lutte tenace menée par Israël pour résoudre certains des problèmes les plus ardus de la planète, et comment Israël peut aussi être la victime de la guerre et de la terreur, l'opinion mondiale pourrait être moins critique et plus protectrice de la seule démocratie au Moyen-Orient, alors que le minuscule état juif fait de son mieux pour survivre dans un voisinage des plus compliqués du monde.
Toutes ces sortes de tolérance et de complaisance en croissance exponentielle rendent la guerre encore plus laide lorsqu’elle éclate, généralement après un barrage de roquettes du Hamas sur des civils israéliens. Quand Israël ne peut plus se permettre qu’environ 40% de sa population vive sous une pluie de roquettes meurtrières, il fait ce que tout pays normal doit faire - prendre des mesures militaires contre ceux qui l’attaquent. La partialité des médias du monde entier s’ébroue à grande vitesse, rendue possible par « Palliwood », mauvaise pratique journalistique, et la crainte de représailles du Hamas. Le total des victimes grimpent inévitablement, en particulier grâce à l'usage contraire à l'éthique du Hamas qui fait des habitants des boucliers humains, exacerbant les émotions, tandis que les médias concourent pour obtenir des « scoops », ce qui entraîne moins de temps pour vérifier les faits et plus de pression sur la pensée de groupe, favorisant le prétendu opprimé. Les médias biaisés exacerbent alors le parti-pris des dirigeants du monde, des organismes internationaux, des ONG, des universitaires, et des mouvements de boycott anti-Israël.
Ainsi, à chaque guerre, Israël est plus diabolisé pendant que les palestiniens sont présentés de plus en plus comme des victimes irréprochables. Tragiquement, ces biais perpétuent en fait le conflit. Ceux qui veulent véritablement la paix devraient se concentrer sur le monde médiatique, le lobbying, et les remèdes à l'intransigeance palestinienne et l’obsession du Hamas d'attaquer et d'essayer de « détruire Israël »