Al-Azhar ou la fabrique de psychopathes - Par Malek Sibali - Préface Gérard Brazon

Publié le 21 Janvier 2016

Lorsque l'on entend les Imams, les responsables islamistes, les "docteurs" de l'islam et autres "savants" de l'islam, on reste souvent pantois. En Occident, docteur est un titre sanctionné par un diplôme précédé par une licence et ensuite une maîtrise (LMD). Il s'appuie sur des ouvrages, des mémoires suivant l'expertise et les sujets traités. Un docteur en pharmacie ou en médecine n'a pas grand-chose à voir avec un docteur en droit. 
En Islam, les "docteurs et autres savants" le sont sur la base du Coran, livre religieux et ce qui en découle comme la sunna et la charia. Bref, sur des croyances, sur celle d'un dieu unique que personne n'a jamais vu et qu'importe d'ailleurs le nom que les humains lui ont donné durant les millénaires. D'ailleurs, il y a des dieux d'autrefois que la mémoire humaine a oubliés hormis les vrais savants de l'histoire de l'humanité vivant en Occident.
L'islam produit des "savants" qui s'interrogent sur le fait que la planète Terre n'est pas ronde puisque le Coran ne le dit pas ! Affirme que c'est le Soleil qui tourne autour de la Terre, etc. Sans parler de la naissance, des femmes inférieures de facto à l'homme et j'en passe comme autres absurdités. C'est comme si je considérais certains animaux domestiques comme étant des "savants" parce qu'ils savent comment faire pour garder un troupeau, ouvrir une porte, trouver son chemin, etc. 
Dans cette article la démonstration et encore plus claire. Cessons de considérer ces "savants" pour ce qu'ils ne sont pas ! C'est à dire de véritables savants permettant à l'humanité entière de grandir, de se soigner, de préserver la vie, d'améliorer l'habitat, d'aller dans l'espace, etc.
 
Que je sache, ce n'est pas le Coran qui nous délivrera du cancer !
Ce n'est pas le Coran qui a fait que des familles de Princes arabes vivent comme des millionnaires sans tenir compte de la misère aux alentours de leurs Palais, construisent des terrains de foot, des pistes de skis en plein désert, mais c'est bien grâce à la technologie pétrolière issue du cerveau des mécréants et autres... Même si on peut le regretter par ailleurs. Le Coran n'a rien inventé mais par contre, politiquement, socialement, sociétalement, il continu à faire beaucoup de ravages sur la planète.
Gérard Brazon
A la vue des responsables politiques français, mus par des intérêts politiciens d’une grande bassesse, se rendre à l’université islamique d’Al-Azhar, l’on est en droit de s’interroger quant à la réalité de cette institution.
En effet, les « grands érudits » de la charia islamique y forment, nous dit-on, « l’élite des imams pour le monde entier ». Mais que savons-nous de ce qu’ils professent, et des programmes qui y sont appliqués ?
Un examen de quelques « Traités de jurisprudence » qui constituent le socle fondamental de son curriculum, permet de constater que les étudiants y apprennent bon nombre de bizarreries et d’horreurs ayant des conséquences graves et désastreuses. Le sujet étant très vaste, l’on se limite ici à la mention de quatre types d’enseignements extraits de ces traités.
Primo, des enseignements insolites
Ce sont des abominations qui permettent de stigmatiser la nocivité ainsi que le grand danger de leur utilisation. En voici quelques spécimens :
  • La condamnation d’une hermaphrodite qui copule avec une autre durant le mois de Ramadan (Islah oloum al-din – Réforme des sciences religieuses de Alaa Qaoud, p.158) ;
  • La copulation entre deux lesbiennes ainsi que leur terrible destin (idem) ;
  • L’obligation imposée à un homme de faire ses ablutions si son sexe pénètre le vagin ou l’anus d’une bête, ou la condition d’un animal, comme le singe, qui copule avec un être humain sans verge (traité hanafite rédigé il y a plus de cinq siècles, al-Ikhtiar litaalil al-mokhtar – Le choix justifiant la sélection, p.90) ;
  • Le mode de calcul des menstrues, selon les fatwas en vigueur, pour les femmes ayant deux matrices (les étudiants doivent mémoriser des centaines de fatwas pour apprendre comment calculer selon les cas qui se présentent(idem, p.145) ;
  • Comment juger la position des gens qui doivent s’agenouiller sur sept os : celui du front, ceux des mains, des genoux et des bouts des pieds ;
  • Comment juger la condition et le destin de celui qui est né avec deux têtes, quatre mains ou quatre pieds (idem p.205).
Secundodes enseignements anti scientifiques
Les contradictions scientifiques enseignées sont nombreuses, choquantes et scandaleuses. Les prescriptions se réfèrent uniquement à ce qui est dit dans les livres anciens. Et les enseignants d’al-Azhar s’évertuent dans son explication et forcent leurs étudiants à les avaler avec allégresse.
Quelques exemples frappants, tirés du Traité de l’école hanbalite, rédigé il y a quatre siècles, Al-Raoudh al-morrabbah bicharh zad al-mostanquu (Le pré carré dans l’explication de la nourriture du marécage), suffisent pour mettre en relief la gravité et l’absurdité de cet enseignement.
  • La femme ne peut maintenir sa grossesse que quatre ans seulement (p.389) ;
  • Comment on soigne certaines maladies avec l’urine des chameaux (p. 119).
  • Le mutisme et le bégayement surviennent de l’excès du bavardage durant la copulation avec les femmes (p.355) ;
  • Les muezzens doivent mettre leur index dans les orifices de leurs oreilles afin que leurs voix s’embellissent davantage (p. 72) ;
  • Le sang des menstrues jaillit du fond de la matrice d’une femme pour enrichir la nourriture du bébé et assainir son éducation (p. 43).
Le traité chafiite, Al-Iqnaa fi hall alfaz Abi Chojaa (La persuasion dans le décodage des vocables d’Abi Chojaa), vieux de quatre siècles et toujours professé, regorge également d’enseignements similaires qui contredisent les données scientifiques. En voici quelques exemples :
  • Tout corps mort et dont le sang n’en coule pas, demeure pur (p.76) ;
  • L’eau attire durant la nuit les djinns (les esprits maléfiques) et le fait de sécher les mains après les ablutions avec l’extrémité d’un vêtement engendre la pauvreté (p.69) ;
  • Les vêtements doivent être pliés durant la nuit de peur que les djinns ne viennent les porter et ramener le mal à la maison (p.310) ;
  • La folie est engendrée par la disparition de tout sentiment de cœur, alors que le mouvement et la force se maintiennent dans les membres (p.79) ;
  • Deux enfants dans un ventre ne sont jumeaux que si six mois les séparent(79) ;
  • Il est interdit d’insérer du coton dans le sexe de l’homme d’où sort l’urine(p.80) ;
  • Le sommeil, c’est la décontraction des nerfs du cerveau, laquelle est provoquée par l’humidité des vapeurs qui se dégagent de l’estomac (p.80) ;
  • Il est conseillé de ne pas rester longtemps aux toilettes, car le foie aura des problèmes graves et des crises douloureuses (p.81).
Tertio, la condition de la femme
A propos de la condition de la femme, les manuels d’al-Azhar fusent d’humiliations et d’insultes honteuses à son égard.
Il est dit, à la page 125 du traité déjà cité, Al-Raoudh al-morabbaa, que « le mari n’est pas obligé de payer le cercueil de sa femme ». Puis il ajoute la raison :« Néanmoins Il se trouve obligé, par le fait du mariage, de lui procurer des vêtements, afin de jouir d’elle. Mais tout cela s’interrompt avec son décès. »
A la page 366 de ce même traité, on confirme que « le mari n’est pas tenu d’acheter les médicaments à sa femme ni de payer l’honoraire au médecin qui la soigne si elle tombe malade, parce que tout cela ne fait pas partie de ses besoins nécessaires et habituels ».
 Ce même traité accorde (p.355) à l’homme le droit d’empêcher sa femme d’aller assister à l’enterrement de son père ou de sa mère, comme il lui donne le droit de la frapper si elle lui parle avec agacement.
A la page 417, on stipule que « le prix du sang d’une femme ne vaut que la moitié de celui d’un homme ».
Quant au nombre des copulations qu’un homme doit réserver à chacune de ses femmes, le même traité lui prescrit, page 370, « qu’il doit, s’il le peut, copuler une fois tous les quatre mois avec chacune de ses femmes, et aucune d’entre elles n’a le droit de contester son comportement ni de s’y opposer ».
 Le mariage avec une gamine est autorisé même avant d’atteindre l’âge de neuf ans(p.37).
On trouve dans d’autres manuels et traités enseignés dans al-Azhar des propos détaillés sur la copulation avec les servantes, les modalités du mariage avec elles, la valeur du prix de leur sang et de leur sexe. Leur sang n’a pas la même valeur que celui des femmes libres.
Quatro, la ségrégation religieuse et l’humiliation des Dhimmis (les juifs et les chrétiens) ?
Ce sont des caractéristiques prépondérantes dans les différents ouvrages et traités en usage dans cette institution. Par exemple, dans le traité malikite, Al-Muqarrar min al-charh alsaghir (Le décisif dans la petite interprétation), un ouvrage rédigé il y a deux siècles, on trouve détaillé (p.199), le contrat de dhimmitude et ses modalités.« Ce contrat signifie que les mécréants, notamment les dhimmis, doivent reconnaître leur mécréance et payer le tribut (al-jizya). Il faut les mépriser et les humilier lorsqu’ils se présentent pour le payer. Il faut les faire attendre longtemps et les obliger à tendre leurs mains, conformément à ce qu’Allah ordonne dans le Coran : ‘Qu’ils payent le tribut, alors qu’ils sont humiliés’ ».
 Puis, il ordonne, à la page 200, que « les dhimmis ne soient pas enterrés dans les cimetières des croyants musulmans, qu’il faille éliminer l’avant de leurs têtes, serrer leurs ceintures, les faire entrer dans les salles de bain en leur attachant des grelots ou un anneau en plomb à leurs cous… Ils ont le droit de monter uniquement sur des ânes sans selle et non point sur des chevaux. Il ne faut jamais leur accorder la préséance dans les réunions, ni leur adresser la salutation en premier, ni leur présenter des félicitations à l’occasion de leurs fêtes, ni des condoléances lorsqu’ils perdent des proches, ni leur rendre visite. Il faut leur interdire de montrer leurs cloches et les pousser dans les ravins les plus étroits… »
 Dans ce contexte, on ne peut pas oublier que les pratiques de Daesh se sont également avérées conformes aux enseignements toujours en vigueur à l’université d’Al-Azhar et à ses fatwas incompatibles avec la Charte des droits de l’Homme. Riposte Laïque, et d’autres sites comme Savoir ou se faire avoirPoste de veille, les évoquent souvent.
Ce succinct aperçu sur les programmes nocifs d’al-Azhar est loin d’être exhaustif. Il permet néanmoins d’identifier la véritable source d’intoxication et de manipulation mentale dont se nourrissent les imams musulmans et les terroristes musulmans. Ces spécimens dévoilent des enseignements incompatibles avec la science moderne, des préceptes abracadabrants à propos de la femme et des relations sexuelles, des affabulations insolites incrustées dans l’esprit des jeunes étudiants, ainsi que des propos haineux et macabres à l’égard des croyants d’autres religions. C’est l’essence du « vivre ensemble » que les musulmans cherchent à imposer au monde. Si un tel enseignement ne fabrique pas des psychopathes, des déséquilibrés, des hystériques, des schizophrènes, que peut-il alors engendrer ?
Les maîtres du temple d’Al-Azhar ont donc conçu les programmes éducatifs de cette institution pour faciliter l’endoctrinement culturel et intellectuel de leurs groupes cibles. Ainsi parviennent-ils à les transformer en une pâte souple facile à moduler dans le four de l’extrémisme, de l’ignorance et de l’extravagance. D’autant plus qu’ils leur font acquérir la manipulation stratégique de la taqiya, à devenir maîtres chevronnés dans l’art de la dissimulation, du double langage, du mensonge, de l’hypocrisie. Les musulmans qui squattent les plateaux des médias en France en sont des preuves quotidiennes.
Malek Sibali

Rédigé par Gérard Brazon

Publié dans #Islamisation française

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P
Le coran, qui reprend, à 90 %, les écrits hébraïques (normal, ces peuples ont été judaïsés), contient bcp de répétitions, et d'absurdités.<br /> Comme si ça n'était pas suffisant, les théologiens musulmans en ont rajouté, rendant cette religion encore + débile que ce qu'elle était au départ.<br /> Et c'est ainsi que l'on se retrouve avec des déclarations toutes + stupides, et inexactes, les unes que les autres. Ces "savants" ne se rendent pas compte du ridicule de leurs propos.<br /> Le malheur, pour les musulmans, est que leurs avis "éclairés", rendent leur religion encore + contraignante.
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