Pleurnicherie du syndicaliste FSU Vincent Presumey (innocent?) et réponse-démontage de Paul le Poulpe en suivant.
Publié le 5 Novembre 2015
Le fait que des amis me disent chercher des nouvelles sur ce site à propos de l’attaque directe me visant individuellement sur le site de « Riposte laïque » me conduit à mettre ici, exceptionnellement, ce billet personnel.
C’est vrai qu’on pourrait se demander ce que vient faire la prose personnelle de Présumey sur le site d’une organisation syndicale, dont le rôle, en principe, consiste à défendre les intérêts moraux et matériels de ses mandants. De même qu’on peut s’interroger sur l’engagement de ces syndicats dans le contre-rassemblement de Varennes. Nouvelle preuve du détournement politicien des organisations syndicales par les gauchistes de type Présumey et les crapules staliniennes qui osent parler de liberté après avoir soutenu le pire totalitarisme et avoir pleuré la chute du Mur de Berlin.
Ainsi donc le pire de la réaction m’a fait l’honneur de me dénoncer publiquement et personnellement comme l’expression de ce qu’ils détestent le plus, s’attaquant à travers moi à cette population du Bourbonnais qui les déçoit tant, ainsi qu’à ma fédération, la FSU.
La population du Bourbonnais, comme celle de Varennes et de toute la France, est majoritairement opposée à la venue des clandestins, malgré la propagande d’Etat de ce régime, relayé par les médias aux ordres. Présumey ne représente absolument pas la population locale, mais seulement une très petite minorité d’enseignants. Ceux que nous avons appelés les 200 collabos de Varennes ne la représentent pas davantage. Les syndicalistes de la région ne représentent pas davantage les travailleurs, la France étant le pays où il y a le plus faible taux de syndiqués.
Ils incarnent une nomenklatura politicienne locale, payée par nos impôts, qui impose sa dictature du politiquement correct dans tous les secteurs où elle sévit. Les travailleurs de l’Allier, comme ceux de notre pays, premières victimes de la crise et du chômage de masse, mais aussi de la libre circulation des hommes et des capitaux, voulue par l’offensive mondialiste des oligarchies, sont majoritairement favorables à un arrêt de l’immigration. Ils ne veulent pas d’islam dans leur région, ni dans leur pays. En défendant l’invasion migratoire ce jour, comme ils défendent l’immigration depuis des années, Presumey et ses sbires, planqués pour la plupart dans la Fonction publique où ils bénéficient de la garantie de l’emploi, trahissent socialement et culturellement les salariés du secteur privé, les plus vulnérables du salariat, et se font les meilleurs agents du capital. C’est pourquoi ils sont choyés par le système.
Merci à tous les camarades, organisations, amis, et parfois inconnus personnellement de moi, qui se sont manifestés déjà dans la journée.
Il y a eu une forte personnalisation sur moi à l’occasion de la réaction unitaire de Varennes pour le droit d’asile et la laïcité. Mais qu’on ne s’y trompe pas : après avoir testé une tentative de provocation raciste ouverte, qui a échoué, est testé ici le fait de désigner des cibles parmi les militants, organisateurs, syndicalistes. Je ne suis donc pas seul en cause, loin de là.
Que Présumey ne prenne pas la grosse tête, si on l’a ciblé, c’est parce qu’il s’est vanté d’avoir organisé le rassemblement, et qu’il est tellement caricatural qu’on ne pouvait pas le rater. Il nous fait le coup du racisme, bien évidemment. Faut-il rappeler à ce dégénéré (je persiste et je signe) qu’historiquement, la gauche était opposée à l’immigration, tout simplement parce qu’elle avait compris que les patrons allaient l’utiliser pour peser sur les acquis sociaux et les tirer vers le bas. Faut-il lui rappeler que Marx appelait à la solidarité internationale des travailleurs, mais absolument pas à l’immigration de masse des travailleurs ?
http://ripostelaique.com/historiquement-la-gauche-a-combattu-limmigrationnisme-des-patrons.html
Faut-il lui rappeler les propos de ce « raciste » de Georges Marchais, en 1981 ?
http://www.dailymotion.com/video/x1qmh7_marchais-immigration_fun
Sinon, ce bouffon va nous faire le coup des fascistes des années 1930, bras armé du capital contre le prolétariat, on le sent venir de loin…
Sachez et faites savoir que j’ai déposé une main courante pour insultes et menaces, me réservant la possibilité de porter plainte : l’article de « Riposte laïque » évoque mon quartier et un message dans leur forum appelle à trouver mon adresse dans l’annuaire, plusieurs appellent à la violence. Il est vrai que je suis transparent : je n’ai rien à cacher, on peut depuis toujours me trouver quand on veut et je n’anime pas un site suisse basé en Asie prétendant dénoncer les planqués …
Voilà donc le grand révolutionnaire en action. Outre la honte d’aller pleurnicher chez les flics, qui, manifestement, n’ont pas pris sa plainte, et se sont contentés d’une main courante, cette pleureuse est pris en flagrant délit de contradiction. Nous n’avons jamais donné son adresse, mais simplement indiqué qu’il habitait un quartier paisible, au bord de l’Allier, alors que s’il était cohérent, lui l’adepte du « vivre ensemble », il vivrait au milieu des racailles islamisées d’un quartier chaud de Moulins. Il annonce par ailleurs que son adresse est connue, et qu’il ne se cache pas. Alors, où est le problème, et surtout où sont les menaces, camarade ?
Quant au coup du site suisse basé en Asie (ce qui est faux), nous nous contenterons de rappeler à cet islamo-collabo qui se prétend laïque que ce sont ses copains, imposteurs de l’antiracisme, qui nous harcèlent de procès, et les islamistes, protégés par le silence de la gôche, qui menacent juste le vie de nos principaux animateurs, qui figurent sur des listes noires de leurs tueurs.
Et si je n’ai pas réagi plus tôt dans la journée, c’est parce que je faisais cours…
Cela doit être tellement rare qu’il se croit obligé d’en informer ses amis.
Incessamment, quand j’aurai le temps, je rédigerai une petite analyse de cet article, modèle du genre bouffi de haine grotesque qui nous ramène à « Gringoire » ou « Je suis partout ». Il faut aussi répondre par la confrontation argumentée, ou à défaut par l’analyse de cette prose, la compréhension de ce à quoi on a affaire : nos batailles à nous toujours reposent et devront reposer sur l’effort de la raison et l’amour de la culture.
Cela promet, on va avoir droit aux analyses de Presumey, avec toutes les références historiques ad hoc. Après Hitler, nous avons droit à « Gringoire » ou à « Je suis partout ». Présumey va donc relire Trotski, qui, en 1936, dans « Où va la France », appelait les ouvriers à désarmer les milices fascistes, armée du capital. Et il va s’identifier au fondateur de la IVe Internationale, et voir en nous un mélange des Chemises noires de Mussolini, des SA de Röhm, des SS et sans doute des adeptes de la solution finale…
Mais puisqu’il veut nous faire le coup des années 1940, allons sur ce terrain. En 1940, les envahisseurs étaient des nazis, en 2015, ce sont des musulmans, dont les plus radicaux ne cachent même plus leur volonté de transformer notre pays, comme le leur demandent leurs textes sacrés, en terre d’Islam. En 1940, les collabos qui les accueillaient venaient, pour nombre d’entre eux, de la gauche, et ceux qui leur résistaient n’étaient pas très nombreux.
En 2015, toute la gauche est collaborationniste, et une bonne partie de la droite l’est également, au service du mondialisme. Ce faisant, ils trahissent les hommes libres comme Pascal Hilout, qui, né dans l’islam, entend s’émanciper de cette tyrannie quotidienne et vivre comme un Français profitant de notre laïcité et de notre conception de la femme.
En 1940, le totalitarisme avait les traits d’Hitler ou de Mussolini, et ceux de Staline.
En 2015, il a le visage de l’islam, ce fascisme politico-religieux qui se répand en France et en Europe par une immigration sauvage, voulue par les dirigeants de l’UE et soutenue par le courant de pensée de Presumey et ses complices.
Quant à la confrontation argumentée, c’est ce que nous essayons de faire, et nous n’avons pas besoin, nous, d’aller déposer plainte à la police pour réduire au silence nos détracteurs. Contrairement à la clique Présumey, incapable d’une vraie confrontation démocratique, même virulente, nous offrons même la lecture des écrits de nos adversaires à nos lecteurs. Nous avons le panache de Cyrano, ils sont les descendants de Beria. Nous sommes Voltaire, ils sont les Torquemada de la nouvelle Inquisition. Nous sommes le peuple, ils sont les commissaires politiques de la bien-pensance.
Paul Le Poulpe, qui attend avec impatience la constitution du comité de soutien du camarade Présumey, avec un communiqué signé par tous les partis, associations et syndicats de l’Allier, dans l’esprit du Front Unique Ouvrier réclamé par le prophète Léon Trotski…