Il est temps de demander des comptes à cette justice pourrie - Par Cyrano
Publié le 2 Novembre 2015
D’un côté, on critique les Français qui avaient fermé les yeux devant l’agression de la jeune femme dans les transports Lillois, de l’autre on condamne ceux qui interviennent. Je pense à l’affaire connue d’Arnaud Gonnet, qui a tout mon soutien, condamné à de la prison avec sursis pour avoir stoppé l’agression sexuelle d’une de ses collègues.
D’un côté, on relaxe un « humoriste » qui traite une élue de la République de "conne", de l’autre on condamne Henri Guaino pour avoir critiqué des juges.
D’un côté, on laisse libres des milliers de multirécidivistes de faits de violences ou de trafics de stupéfiants, de l’autre on condamne à de la prison ferme Nicolas Bernad-Buss, militant de « La Manif Pour Tous », pour avoir refusé des prélèvements d’empreintes digitales et photographiques en protestation de son arrestation arbitraire.
D’un côté, la justice est incapable de protéger les petits commerçants des braqueurs multirécidivistes, de l’autre elle condamne régulièrement les commerçants obligés de se défendre par eux-mêmes.
Il aurait pu ajouter la dernière relaxe des Femen, suite à leur agression dans la cathédrale Notre-Dame, où deux gardiens, pour les avoir sortis, seront eux condamnés pour violence.
Dans la France de Taubira, des racketteurs de l’antiracisme et de nombre de juges pourris, on relaxe ces vandales multirécidivistes, mais on ruine une Fanny Truchelut, qui, sans violence, a demandé à deux femmes voilées de retirer leur accoutrement dans les parties communes du site.
Dans la France de Taubira, des racketteurs de l’antiracisme et de nombre de juges pourris, on déroule le tapis rouge à l’UOIF, émanation des Frères musulmans, on lèche les babouches de ceux qui rêvent de transformer notre pays en terre d’islam, mais on condamne lourdement un apostat de l’islam, Pascal Hilout, et notre fondateur, Pierre Cassen, contre qui le procureur Chauvelot osera demander de la prison avec sursis.
Dans la France de Taubira, des racketteurs de l’antiracisme et de nombre de juges pourris, on condamne Christine Tasin pour un texte paru sur Boulevard Voltaire, mais on laisse le Coran véhiculer des textes appelant au meurtre de tous ceux qui ne sont pas musulmans.
Dans la France des socialauds, on instrumentalise une justice de plus en plus pourrie pour faire passer le message du multiculturalisme, du mondialisme, d’un antiracisme dévoyé livrant la France à l’islam, et on traine devant les tribunaux les patriotes qui, comme Eric Zemmour, Renaud Camus, Jacques Philarchein et bien d’autres, osent se réclamer de la France, et refuser son invasion migratoire et son islamisation. Il paraît que cela s’appelle de l’incitation à la haine.
Et pourtant, quand on voit l’exclusivité que nous rapporte Guy Sauvage, on apprend que, sans Tommy Robinson, patriote anglais encore davantage persécuté que les dirigeants de RL, l’Angleterre aurait pu être dirigée par un djihadiste. Notre France est-elle vraiment à l’abri d’une telle catastrophe, quand on sait que les dirigeants de ce pays sont achetés par le Qatar, comme l’a confirmé Philippe de Villiers.
C’est contre cela se bat Riposte Laïque, et c’est pourquoi ce régime veut nous briser les reins. Nous n’aurons donc plus Joseph pour nous défendre, alors que les procès s’accumulent contre nous, sous la direction de celui que nous appelons l’imam Cazeneuve, qui paye de sa personnes (déjà quatre plaintes déposées en son nom !) pour nous briser.
Jusqu’à ce jour, nous nous sommes comportés loyalement, nous avons assisté à tous nos procès (contrairement au fils Bedos, pourtant relaxé).
Nous allons réfléchir à la suite. En effet, à quoi bon payer des avocats valeureux, se défendre, quand l’institution – malgré des magistrats courageux qui, en milieu hostiles, cherchent à demeurer intègres – est gangrénée par la dictature du politiquement correct et par nombre de serpillières des socialauds, qui pensent d’abord à leur carrière avant de rendre la justice au nom du peuple français.
Assister à nos audiences, payer un avocat, se déplacer au tribunal, n’est-ce pas cautionner une justice qui n’en est plus une, comme le disait Henri Guaino ? Si les jeux sont faits d’avance, à quoi bon participer à cette mascarade ?
Il est temps, par ailleurs, que l’ensemble des Français demande des comptes à cette justice Taubira « Mur des Cons » de plus en plus pourrie, comme les policiers l’ont fait, récemment, en manifestant devant la place Vendôme.
Nous allons réfléchir au meilleur hommage à rendre, cette semaine et pour la suite, à notre avocat résistant Joseph Scipilliti, notre premier défenseur, que nous n’oublierons jamais. Commençons par ces magnifiques lignes, écrites par un responsable de Résistance républicaine.
Un avocat ? Certes… Un écrivain certainement! Quel brillant testament !
Malgré sa souffrance quotidienne il n’y a pas de lamentations dans son texte. Il nous offre un testament non pas pour la postérité mais pour la Vérité. Il exécrait le mensonge qui partout le cernait. L’injustice le rongeait comme le cancer ronge la chair des hommes.
Il y a une dimension tragique dans son acte sauvage. Ce crime n’a rien d’odieux. En iconoclaste, il a voulu détruire un mythe. Quel magnifique blasphème ! Je suis convaincu qu’il serait heureux d’apprendre que sa victime va survivre car ce n’était pas un assassin. Son geste n’est pas une vengeance. Il relève même du sacré. Il s’agit d’un acte politique pur au service de sa passion : l’Humanité.
Ayant constaté son impuissance en tant qu’avocat, il n’a pas refusé de s’engager. Il a agi en homme préférant se damner que subir. En abattant sa victime il a frappé un symbole. Cet engagement fort il l’a assumé. Non, il ne s’est pas lâchement suicidé mais par honnêteté il s’est condamné à mort. Sa mort est une protestation douloureuse.
Je trouve votre destin beau et digne. Adieu, Cher Défenseur de la Veuve et de l’Orphelin, nous savons, nous les patriotes enfermés dans un monde en flammes quel HOMME périt en toi.