Une belle manifestation de soutien à Victor Orban. Un espoir pour demain.

Publié le 9 Novembre 2015

SielOrbanhongrieBelle manifestation de Patriotes ce samedi 7 novembre, avenue Foch à Paris ce samedi 7 novembre 2015 !

Le ciel fut clément, l’ardeur des intervenants réelle, nous fûmes nombreux malgré les silences des médias, ceux de partis politiques qui pourtant se réclament du patriotisme, de la lutte contre l’immigration et de l’invasion migratoire. Trop souvent ils dénoncent mais hélas, n’agissent guère. Le politiquement correct ayant fait chez eux les mêmes ravages.

Nous étions nombreux et enthousiastes. Cela faisait du bien de frotter nos âmes déchirées, de comparer nos sentiments patriotes malmenées, nous étions entre-nous, entre amoureux de la France et il suffisait de nous regarder pour nous comprendre. Il y avait la foule des anonymes, les groupes d’auteurs de livres et d’articles, il y avait des femmes et des hommes de bien et de courage. Car aujourd’hui, il en faut bien un minimum de courage pour ne pas craindre d’être vilipendé,  si ce n’est montré du doigt par la bien-pensance,  par les médias aux ordres, les journaleux qataristes, les vendus au plus fort, les collabos de l’instant et de toujours, cette social-lie qui s’est vendue hier, et se vend aujourd’hui ! Toujours au plus offrant. Qu’importe la couleur de l’envahisseur finalement ! Hier, elle était rouge soviétique, puis vert de gris nazi. Le temps de retourner la veste, elle est devenue verte islamique. Pour ces gens-là, l’ennemi est toujours bleu blanc rouge.

Pour ces gens-là, l’ennemi est toujours le beauf, le petit peuple, la plèbe, la valetaille, les sans rien, les sans dent, ceux qui n’ont comme seule richesse, comme seul bien que la patrie disait Jean Jaurès,  que l’amour charnel de leur pays, de leurs racines, de leur culture millénaire. Et cela, même s’ils ne sont pas tous de grands instruits, des licenciés, des maîtres ! Ils sont, ils existent, ils aiment la France sincèrement, et au moins à ce titre, ils méritent le respect et non le mépris de ces dirigeants politiques et médiatiques, de ces adeptes de la socia-lie qui se confondent eux-mêmes, avec une image imposée par les destructeurs européistes des nations. J’ai toujours en tête cette phrase du Marquis de Rivarol que les imbéciles de la socia-lie prennent pour un fasciste: Malheur à ceux qui remuent le fond d’une nation. C’était peu de temps avant les révolutions de 1789 et 1793. Le socialiste Benito Mussolini, créateur du fascisme, n’était pas encore né.

Revenons à cette manifestation ! Nous avons eu le discours de Karim Ouchikh, Avocat et Président de SIEL (Souveraineté, Indépendance Et Libertés) qui fit l’éloge de la Hongrie en rappelant son histoire, ses luttes contre l’Empire Ottoman, contre l’Autriche, contre l’Empire Soviétique. Il remercia Victor Orban et son peuple !

Il y eut l’intervention de Christian Vanneste Député et Président du RPF, celui  que le Figaro, journal dit de droite, dénonce comme étant d’extrême-droite.  Sont intervenus également Charles Beigbeder ancien secrétaire national de l’UMP, qui fit scandale en son temps en déclarant que le Front National était un parti républicain. Suivi par François Billot de Lochnere (Ecrivain -Pdt du collectif France audace) etRoland Hureaux (essayiste et écrivain) qui fit lui, une déclaration sur la volonté programmée de l’envahissement de l’Europe. Il nous fit remarquer les organisations d’afflux à partir de Damas, les passages faciles de la frontière en Turquie, et l’imposition de cette immigration forcée de déserteurs en Europe. Immigration essentiellement musulmane.

Tous ont mis, d’une manière ou d’une autre en avant, l’idée que cet envahissement n’était que la suite voulue d’une mort programmée des Nations par une Europe de Bruxelles liberticide. Faire tomber les barrières culturelles et historiques, noyer les peuples. Jamais et aussi loin que nos mémoires s’en souviennent, une invasion aussi lourde de conséquences n’avait été réalisée.

À mon sens, cette invasion qui se faisait doucement en France, sous anesthésie locale sarkozyste,  à raison, et grâce au regroupement familial de 220 000 immigrés par an, a changé de vitesse à la suite de l’émergence des partis nationalistes. Accélération d’une imposition de cette immigration par le mensonge, par l’émotionnel, par le fait accompli et avec la complicité des médias aux ordres. Tous ont souligné les risques de guerre civile. On ne marie pas l’huile et le vinaigre.

Il y a eu l’étonnant Frédéric Pichon (Avocat- Vice Président de SIEL) qui montra un immense talent d’orateur et souleva la passion en dénonçant les trahisons diverses et variées. Belle prestation. Chapeau bas…

Une déclaration de Christian Combaz lu par Martine Pincemin. Un éditorialiste écarté par le Figaro pour avoir dit la vérité. Autre preuve que ce journal n’est plus ce qu’il était autrefois.

Nous le savons désormais, tous ceux  qui ne sont pas dans le système, dans l’approbation de ce plan d’envahissement et de destruction des nations sont forcément d’extrême droite. Ce qui affole le système médiatique, politique et d’entreprises internationales justement, est que nous sommes de plus en plus nombreux à refuser les règles du système UMPS de cette socia-lie fasciste, qui ment et accuse pour ne pas avoir à assumer ses multiples trahisons.

Étaient présent dans la foule, des hommes de valeurs tels que Renaud Camusd’extrême droite bien sûr, qui en est à sa troisième édition de son livre le Grand remplacement, ce qui prouve là aussi que malgré le silence des « journalistes littéraires » faisant partis du système, son livre est lu.

Étaient présents également Pierre Cassen, fondateur de Riposte-Laïque  etChristine Tasin de l’association Résistance Républicaine qui furent applaudis également lorsque Karim Ouchick leur a rendu hommage.

Il y avait beaucoup de mes amis militants qui, sur les marchés, dans les rues et boulevards distribuent des tracts, collent des affiches, passent des nuits dehors et souvent au détriment de leur vie de famille pour défendre leur  idées.

Il y avait également et aussi hélas, ces grands absents nationaux et régionaux ! Ceux qui marquent les esprits par leur silence assourdissant lorsqu’ils s’agit d’être présent pour protester contre l’invasion migratoire. Jacques Brel chantait au sujet de ces gens-là: il ne faut pas jouer les riches quand on n’a pas le sous ! Faut-il y voir les conséquences d’un politiquement correct ayant, là aussi fait son oeuvre ?

Nous avons terminé cette manifestation par un chant à la gloire des combattants Hongrois contre l’armée rouge de Trotski et bien sûr, par la Marseillaise.

Bref, ce fut une belle journée, une journée d’un espoir consolidé. Nous savons bien que les majorités sont toujours passives. Que l’histoire se fait toujours avec les minorités actives. Vous êtes, chers lecteurs, nous sommes la minorité active et nous avons la foi. Celle en notre France. Un jour viendra ou les collabos devront rendre des comptes à cette France qu’ils ont si souvent, trop souvent salie, bafouée, insultée et trahie.

Allons-nous revivre avec le « Grand Remplacement » ce sentiment souligné par Paul Claudel?

En 1942, il faisait ainsi parler la France : « On n’a pas seulement livré mon corps, on a installé quelqu’un dans mon âme…..On s’est assis sur mon coeur et j’entends quelqu’un qui parle à ma place ».

Vive la France, vive notre France.

Gérard Brazon (Le Blog)

Appel SIEL sam 7

 

Rédigé par Gérard Brazon

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M
J'aimerai ajouter l'hymne hongrois merci Gérard d'avoir accepter de suivre Marine nous lui confions notre salut et celui de nos enfants/<br /> <br /> <br /> Dreuz-logo 11 novembre 2015<br /> Dreuz a besoin de votre soutien financier<br /> 23 janvier 2015<br /> Members of the Muslim Brotherhood moveme 12 novembre 2015<br /> Les Frères musulmans tissent leur toile pour islamiser...<br /> Logo_france_terre_d'asile 12 novembre 2015<br /> Migrants à Calais : le sang va couler....<br /> unnamed 12 novembre 2015<br /> La France anti-juive<br /> Islam turc 11 novembre 2015<br /> L’interminable mythe d’une Turquie européenne…<br /> unnamed 11 novembre 2015<br /> Rencontre Obama-Netanyahou : échec d’Obama, victoire de Netanyahou<br /> Barack_Obama_meets_with_Mahmoud_Abbas_in_the_Oval_Office_2009-05-28_1 11 novembre 2015<br /> État palestinien ou état de déni ?<br /> unnamed 11 novembre 2015<br /> Berlusconi et l’Europe croqués par Martin Linden<br /> ISIS forces prepare for battle in Iraq.Islamic State militants 11 novembre 2015<br /> Attentat déjoué à Toulon : coïncidence, c’est encore...<br /> Maduro-UN 10 novembre 2015<br /> Scandale : l’ONU accorde à Maduro une assemblée...<br /> Screen Shot 2015-11-10 at 14.06.49 10 novembre 2015<br /> Israël : les barbares palestiniens poignardent tous les...<br /> 5261583_calais_800x500 10 novembre 2015<br /> Calais : 16 policiers blessés lors de violents...<br /> nativity-with-the-torch 10 novembre 2015<br /> Attention aux clichés: le « petit Jésus »...<br /> 76698166_73227839_640554_2444967 10 novembre 2015<br /> Allemagne: une manifestation anti-réfugiés rassemble 5000 personnes à...<br /> téléchargement (6) 10 novembre 2015<br /> Migrants: la capacité de l’Allemagne « limitée »<br /> <br /> Previous<br /> Next<br /> <br /> « Previous Story Samira Aidoud<br /> Next Story » unnamed<br /> <br /> 8 novembre 2015 Commentaires (18) Hildegard von Hessen am Rhein Islamisation, Politique Française<br /> Paris était au rendez-vous de Viktor Orban à l’appel du SIEL<br /> <br /> Manifestation Viktor Orban ©Dreuz info<br /> Encadrés par une massive présence policière, ils étaient là, ils sont venus, par centaines, presque un millier de personnes de tous âges, venues, à l’appel de Karim Ouschikh, Président du SIEL, en soutien à Viktor Orban, le premier des résistants Européens à la politique migratoire de l' »UERSS » et de la dirigeante en confusion mentale, pensent certains experts germanophones, Angela Merkel.<br /> <br /> Viktor Orban, menacé avec sa famille par l’Etat Islamique, son pays conspué par les Européens de l’Ouest qui ont dévoyé l’idée Européenne et ses racines gréco-chrétiennes et juives, desquelles sont issues toutes les grandes oeuvres artistiques, qu’elles soient musicales, littéraires, architecturales et picturales. Cette chrétienté qui a trouvé la science et la raison, en opposition à la croyance béate sans réflexion. Ce qui n’empêche pas les esprits les plus évolués de croire à quelque chose de supérieur. Idée impossible en islam. Cette chrétienté que le Professeur Ratzinger, alors Pape Benoit XVI, voulait voir inscrite dans les traités que l’UERSS trotzkarde Barrosienne a refusé. C’est tout cela qu’étaient venus défendre ce presque millier de personnes, Avenue Foch, à Paris, ce samedi 7 novembre 2015.<br /> <br /> Journaliste Manif Vikto Orban ©Dreuz info<br /> <br /> Beaucoup de presse, de photographes, dont on attend les rapports que j’espère honnêtes – mais est-ce possible de leur part. Ici je vise bien entendu les « mainstreams ».<br /> Karim Ouschikh et Christian Vanneste ©Dreuz info<br /> <br /> Karim Ouschikh et Christian Vanneste ©Dreuz info<br /> <br /> Le discours de Karim Ouschikh était très convainquant, Christian Vanneste eut des élans furieusement romantiques, au sens allemand du terme. Le vice Président du SIEL, l’avocat Frédéric Pichon était habité par une solide véhémence militante pour la souveraineté. Renaud Camus, dans la foule, à sa place et dans son rôle auto-proclamé de résistant au Grand Remplacement, dont l’expression entre petit à petit dans l’inconscient populaire.<br /> <br /> Alors que de la bouche de la plupart des orateurs était attaqué le « Grand Capital », coresponsable de cette invasion migratoire, la présence de Charles Beigbeider, qui briguait le poste de Président du MEDEF était plutôt surprenante. On ne sait jamais ou le roseau Beigbeider se plie dans les vents de la politique. Il était UMP…, et le voilà qui s’affiche au SIEL. C’est une tête d’affiche salutaire au SIEL. Et puis, René Marchand, l’islamologue distingué, costume en velour cotelé vert hongrois, de tous les rassemblements patriotes, a également marqué de sa présence l’appel en soutien à Viktor Orban. Le dessinateur TCHO était parmi les manifestants, lui qui gratifie si bien Télé Liberté et Boulevard Voltaire de son talent de dessinateur humoristique, et je l’espère bientôt Dreuz info, que j’ai informé qu’il souhaite faire des dessins pour eux. Nous avons fini dans le jardin de la Closerie des Lilas autour de quelques verres.<br /> <br /> C’était un bel après-midi de novembre, inhabituellement doux, Avenue Foch, devant l’Ambassade de Hongrie à Paris. Les drapeaux de nos deux Nations flottaient au vent, et pour marquer l’ambiance, de mon téléphone portable, j’ai pu faire jouer par la technique, à plusieurs reprises, une version bouleversante de l’hymne Hongrois, que des personnalités comme Christian Vanneste découvraient avec plaisir, tant il est beau et tragique aussi, au vu de son histoire qui ressert les plats à l’Europe et dont je vous mets le texte révélateur de ce qui est en train de nous arriver à ce moment du 21ème siècle en Europe.<br /> <br /> Il est à déplorer l’aspect non massif de ce rassemblement. Que font donc les Français ?<br /> <br /> Et bien, honteusement, ce sont souvent des courageux anonymes devant leur écran, à exprimer leur frustration et leur colère. Qu’ils sachent que cela ne sert à rien et que la prochaine fois qu’un mouvement les appellera, il faut qu’ils se lèvent pour venir rejoindre la contestation. La rue ne doit plus appartenir à la gauche, mais à ceux qui la combattent et, ils sont bien plus nombreux que la gauche, dans ce pays. Il faut qu’ils le fassent savoir. Les Français doivent être de ceux qui sonnent le glas Européen de l’invasion massive islamisée.<br /> <br /> Ils doivent tenir leur rang historique. Ce qu’ils sont encore loin de faire.<br /> <br /> Texte de l’hymne Hongrois qui vous fera comprendre la résistance de Viktor Orban et de son peuple. Il vaut mieux que tous les discours :<br /> <br /> Cet article vous a intéressé ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les nouveaux articles de Dreuz, une fois par jour en fin d’après-midi.<br /> <br /> Bénis le Hongrois, ô Seigneur,<br /> Fais qu’il soit heureux et prospère,<br /> Tends vers lui ton bras protecteur<br /> Quand il affronte l’adversaire !<br /> Donne à qui fut longtemps broyé<br /> Des jours paisibles et sans peines.<br /> Ce peuple a largement payé<br /> Pour les temps passés ou qui viennent.<br /> <br /> Aux Carpates, sur ton conseil<br /> Nos aïeux osèrent s’étendre.<br /> Quelle belle place au soleil<br /> Tu aidas nos pères à prendre !<br /> Aussi loin que de la Tisza<br /> Et du Danube le flot danse,<br /> Aux fils héroïques d’Arpad,<br /> Tu as prodigué l’abondance.<br /> <br /> Tu fis onduler, à l’instar<br /> Des mers, les épis dans nos plaines,<br /> Et tu permis que du nectar<br /> De Tokay nos coupes soient pleines.<br /> Grâce à toi, nos drapeaux ont pu<br /> Flotter chez le Turc en déroute,<br /> Les murs de Vienne être rompus<br /> Par Matyas et ses noires troupes.<br /> <br /> Hélas ! nos fautes, trop souvent,<br /> Ont fait éclater ta colère.<br /> Et de tes nuages ardents<br /> Tu as fait jaillir le tonnerre.<br /> Alors ce furent les Mongols,<br /> Leurs dards sifflants et leurs pillages,<br /> Puis le Turc qui sur notre sol<br /> Posa le joug de l’esclavage.<br /> <br /> Que de fois, sur l’amas sanglant<br /> Des cadavres de nos armées,<br /> Par les cris orgueilleux d’Osman<br /> La victoire fut proclamée !<br /> Que de fois, ô Patrie, enfin,<br /> Tes propres enfants t’attaquèrent !<br /> Et par leurs crimes tu devins<br /> L’urne funèbre de leurs frères.<br /> <br /> Fuir ! Mais d’asile il n’était point<br /> Contre le fer et sa furie.<br /> Dans son propre pays, en vain<br /> Le fuyard cherchait sa patrie.<br /> Il allait par monts et par vaux,<br /> Pour compagnons, douleur et doute,<br /> Pour horizon, du sang à flots,<br /> Et des flammes pour clef de voûte.<br /> <br /> Là, ces ruines furent un fort,<br /> Autrefois y régnait la joie.<br /> À sa place, un râle de mort<br /> Et des plaintes de cœur qu’on broie.<br /> La liberté ne fleurit point,<br /> Hélas ! dans le sang des victimes !<br /> Les yeux de l’orphelin sont pleins<br /> Des pleurs de ceux que l’on opprime.<br /> <br /> Prends pitié du Hongrois, Seigneur.<br /> Si souvent il fut dans les transes !<br /> Tends vers lui un bras protecteur<br /> Dans l’océan de ses souffrances !<br /> Donne à qui fut longtemps broyé<br /> Des jours paisibles et sans peines.<br /> Ce peuple a largement payé<br /> Pour les temps passés ou qui viennent.<br /> Lyrics: Ferenc Kölcsey, adaptation française: Jean Rousselot 1962<br /> Musique: Ferenc Erkel<br /> <br /> Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.<br /> <br /> Source du texte de l’hymne hongrois : Wikipédia
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