Pour quelques dollars la France est vendue à l'Arabie Saoudite!
Publié le 15 Octobre 2015
Un pays des droits de l'homme disent les socialo-républicains vendent la France au titulaire de la commission de l'ONU des "droits de l'homme".
Voilà un pays qui lapide, décapite au nom de la charia qui finance la dette française. Voilà notre pays qui condamne u Vladimir Poutine et encence un roi d'Arabie-Saoudite.
De quoi avoir honte assurément.
Gérard Brazon
Depuis la dernière guerre mondiale, jamais un gouvernement français ne s’est soumis à ce point à une tyrannie totalitaire qui exécute les hommes et les femmes à tour de bras, et qui pratique une forme d’esclavage officiel de pauvres hères indiens ou pakistanais, qui n’ont vraiment rien à envier aux nègres des plantations des Etats confédérés américains.
Cet Etat moyenâgeux endormi sur les revenus d’une substance noires qui fait la joie des conducteurs occidentaux, mais surtout de leur taxation gouvernementale, exécute 80 personnes par an, bien que le chiffre ne puisse bien évidemment pas être vérifié, on coupe les têtes, comme on castre le maïs en France, des relations adultérines des femmes, mais pas des hommes, des Chiites, du moindre opposant qui ose dire que le Roi est un gros porc infatué de ses propres certitudes sectaires, ce qui est pourtant vrai, et donc tombent les têtes comme neige en hiver, empourprant le tapis d’honneur que notre Valls national foula avec conviction lors de son séjour, sans même essuyer à la sortie ses semelles encore dégoulinantes du sang des innocents.
Il est certain qu’il vaut mieux développer des liens commerciaux avec une monarchie archaïque de gentils salafistes, plutôt qu’avec la Russie qui respecte son appartenance au Conseil de l’Europe, et n’a plus pratiqué la peine capitale depuis le 2 septembre 1996, et l’opprobre est pourtant jeter aujourd’hui sur Poutine, cet ignoble dictateur sanguinaire, qui ne tue pourtant personne. Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, le bon Roi, a, lui, des chances d’avoir son clone déposé cérémonieusement au Panthéon de la France soumise.