Jours fériés : l’islamo-fellateur Thomas Guénolé veut récompenser les envahisseurs - Par Jacques Vinent
Publié le 17 Avril 2015
Thomas Guénolé fait partie de ces "journalistes" qui ont incendié moult candidats du Front National aux Départementales à la manière des troupes républicaines en Vendée. C'est à dire aux sabres, sans réfléchir et sans quartier. Petit soldat médiatique, qui sévit sur Marianne, l'Express, RMC chez Bourdin, Thomas Génolé avec d'autres, m'a insulté en me traitant d'antisémite ce qui est un comble, alors que d'autres me demandent pourquoi je soutiens Israël. Particulièrement les islamophiles qui soutiennent le hamas. Depuis lors, et malgré ma demande d'un droit de réponse et mes interventions sur son twitter,(@thomas_guenole) j'attends encore. Idem pour Dominique Albertini (@dom_albertini) qui me donne la paternité de titres de livres parus sur Riposte Laïque comme Islamectomie de Yidir Aberkane et de Carole Maillac.
Pas de nouvelles et surtout pas d'excuses. L'ami Bourdin et d'autres de ses compères, continuent de se référer à cette liste (cela ne vous rapelle rien?) de soi-disants "dérapeurs" sur la foi de délateurs médiatiques (des étudiants en sociologie qui opérent sous anonymat) qui n'ont pas, pour la plupart, vérifié les propos. Ce doit-être cela la liberté version socialiste: tais-toi, fais ce qu'on te dit, sinon gare ! Au nom de l'égalité et de la fraternité bien sûr !
C'est un petit rappel que je fais à ces messieurs en leur signalant au passage qu'il n'est pas bon de donner des leçons de propreté et de savoir vivre lorsqu'on a le nez sale.
Gérard Brazon
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Pour Riposte-Laïque
Ecoutez bien, c´est court et très instructif ! (voir vidéo)
Donc, selon Saint Thomas Guenolé, il faudrait distribuer des jours fériés aux juifs et musulmans eu égard à leur ancienneté sur le territoire… ça part d’un bon principe.
Sauf que déjà et à ma connaissance, « les juifs », masse compacte et parfaitement structurée comme chacun sait, n´ont jamais rien « exigé » en la matière. Passons.
« L´Islam est présent en France depuis au moins le XIIIe siècle depuis qu’il s’est installé à Narbonne »: Ben non, c’est dès 711 que la Secte Méphitique a soumis le narbonnais à l’esclavage et la dhimmitude. Pour les jours fériés et l’ancienneté, ça marque encore plus de points. Et, bon sang, sachons nous montrer reconnaissants! Si on ne récompense pas nos envahisseurs, la décadence est assurée.
On pourrait sur le même thème multiplier les exemples à l´envi : Le siège de Nice par l’Ottoman en 1543 vaut bien une mosquée-cathédrale Promenade des Anglais, non ? Si les exactions les plus abjectes ne devaient plus être rétribuées, où irait-on ?
Ceci étant, qu’est-ce que vraiment un « jour férié » ?
Notre islamo-fellateur aurait pu se donner la peine de vérifier que « férié » et « chômé » ne sont pas du tout synonymes, mais il faut le comprendre, c’est une petite nature fragile.
Donc à l’en croire, « jour férié » signifie « jour de congé pris pour raison civile ou religieuse ».
Ne le contrarions pas. Mais:
Monsieur Guénolé, avez-vous entendu parler du Ramadan? Vous savez, cette charmante fête annuelle s’étalant sur quatre semaines, légèrement connotée religieuse, et durant laquelle les joyeux commençaux sont tenus de faire une croix (!) sur leurs fonctions vitales?
Et bien, outre qu’elle implique force désydratation, hypoglycémie (pendant), hyperglycémie (après) , rixes, bagarres et viols, on peut, sans mauvais esprit, ajouter… l’absentéisme. Cause de l’effondrement de la productivité, estimé entre 70 et 90% selon les pays soumis à la Coranerie.
Selon vous, comment peut on appeler un jour d’absence pris pour raison religieuse ? Allez, faites un effort, je suis sûr que vous y arriverez, si si… quoique.
Jacques Vinent